Claire Joyes
Claude Monet et Giverny
Ce beau livre ou crée par Claude Monet entre 1883 et 1926, pour lequel il avait donné tous ses soins, tout son amour, toute son attention et dont il était si fier. Rien pour lui ne comptait plus que ce jardin. Dés le début de ce siècle, ce jardin était déja célèbre et les quelques privilégiés qui y étaient reçus contemplaient religieusement ce jardin composé par un grand artiste pour le plaisir de l’oeil.
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La place
Il n’est jamais entré dans un musée, il ne lisait que Paris-Normandie et se servait toujours de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études, serait mieux que lui. Cette fille, Annie Ernaux, refuse l’oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis se petite « place au soleil ». Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui lui disait : « Les livres, la musique, c’es bon pour toi. Moi, je n’en ai pas besoin pour vivre. »
Ce récit dépouillé possède une dimension universelle.
Je l’écoute respirer
Dans une maison où les oiseaux de passage et les chats en vadrouille rappellent à chaque instant l’insouciance de la vie, une femme est en train de mourir. Elle a quatre-vingt-dix ans, une beauté dont ni les rides ni la maladie n’ont abîmé les traits, et comme une sagesse intérieure qui se devine derrière le souffle lent de cette silencieuse agonie. // Anne Philippe, sa fille, écoute respirer celle qui va disparaître, mais dans ces lieux dont chaque objet, chaque meuble, évoque sa propre enfance, c’est aussi la musique des chemins, Anne Philippe sent battre simultanément le pouls du passé, de l’avenir, et d’un présent qui s’apprête à tomber dans l’imparfait.Dans une langue débarrassée de tout lyrisme, Anne Philippe nous parle différemment de ce que tout le monde a vécu un jour ou l’autre : l’impuissance de l’homme devant une disparition inéluctable, et, pourtant, le miracle de la vie qui reprend son cours, jusqu’au prochain barrage. Ici, une respiration qui cesse, là-bas, une respiration qui commence, et, ailleurs, l’incompréhensible respiration de l’infini
Sur les bords de la Gartempe
Sur les bords de la Gartempe réunit trois récits de caractère autobiographique. BLANCHE ET LUCIE nous fait tout d’abord découvrir la petite Léone dans le monde savoureux de la campagne et d’une petite ville française. On retrouve Léone à quinze ans dans LES CAHIERS VOLES. Elle est jolie, vive, insolante et brave ; elle aime passionnément Mélie qui a son âge. LES ENFANTS DE BLANCHE clôt ce cycle par l’évocation d’une famille nombreuse dans une petite ville de province.
Panique à la Maison-Blanche
Golfe de Cook, Alaska. Un SOS vient d’arriver… Le Catawba, un garde-côte, fonce à la rescousse. Le bateau en détresse émerge soudain du rideau de pluie. Les ponts sont déserts et les appels du Catawba restent sans réponse. À bord de l’Amie Marie, tous sont morts, même le chat. Un autre appel désespéré arrive alors du pilote d’un avion livrant du matériel à une équipe de scientifiques sur l’île Augustine, située à 30 milles au nord-est de la position du Catawba : «Savants tous morts, sauvez-moi.» Ainsi commence pour Dirk Pitt, le très séduisant agent secret américain, héros de L’Incroyable Secret, l’affaire la plus difficile de toute sa carrière : une infernale machination dont dépend la liberté du monde. De Washington au Kremlin, de l’Alaska aux Caraïbes, Dirk Pitt nous entraîne sur – et sous – les océans, dans une course implacable.