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W. della Giustina
Comment entretenir et soigner vos pommiers et poiriers
Guide complet pour apprendre à entretenir et soigner vos pommiers et poiriers.
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Airport
Depuis 3 jours, le blizzard immobilise la grande ville américaine et menace de paralyser l’aéroport, immense, ultra-moderne, et pourtant déjà insuffisant pour le trafic. C’est en vain que le directeur, Mel Bakersfeld, redoutant une catastrophe, réclame du secours : pas de crédits, « débrouillez-vous », ce qu’il fait, épaulé par les uns, entravé par les autres. Il peut compter sur un chef d’équipe, pittoresque, véritable force de la nature, et sur une femme, dont l’attachement profond et la vive intelligence lui sont d’un précieux secours. Il doit se méfier d’un pilote de ligne qui ne le porte pas dans son coeur, craindre pour son frère, contrôleur-radar traumatisé pour avoir autrefois provoqué une collision aérienne. Il lui faudra encore affronter l’avocat hargneux des riverains exaspérés par le vacarme des appareils. Devra-t-il craindre aussi ce petit homme bizarre, porteur d’une mallette, qui s’embarque. à bord d’un long-courrier ? Un suspense à la Hitchcock, des situations tragiques, émouvantes, « en l’espace d’une seule nuit… En toile de fond, de ce roman passionnant, l’aéroport, organisme monstrueux animé de sa vie propre, avec ses secrets. Un film a été tiré de ce roman à succès, chef d’œuvre d’Arthur HAILEY
Cash !
«Franz Cimballi, il faut payer – Cash ! Telle est la sentence impitoyable que Martin Yahl. le redoutable financier, l’ennemi de toujours, s’est juré d’infliger à son jeune rival naguère victorieux. La vengeance a changé de camp et, de chasseur, Cimballi devient gibier. Le décor change, mais le terrain de chasse reste le même : celui où s’affrontent les grands fauves de la finance unes nationale, là où – à l’ombre des lois – les dollars par millions servent de munitions. Alors, pour le héros de Money, toute la stratégie désormais consiste à chercher, jusqu’à l’angoisse, quel piège est celui où l’attend Martin Yahl. Est-ce dans la spéculation sur l’argent dont les cours vont subir de spectaculaires fluctuations ? Est-ce dans l’astucieuse opération « Safari » en Floride où Cimballi risque de jouer le rôle du chasseur pris à ses propres filets ? Est-ce dans le pétrole où déjà s’affrontent des intérêts monumentaux ? Ou bien dans le café dont le goût peut devenir subitement très amer De Colombie au Texas et d’Afrique en Californie, c’est une sarabande infernale à laquelle Cimballi va se trouver mêlé, traqué sans relâche et sans merci par Martin Yahl, hanté jusqu’au désespoir par le spectre de la défaite, meurtri par la haine de ceux qui sont attachés à sa perte.
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L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.
L’île des morts
Un château victorien bâti sur une île: c’est là qu’un riche excentrique a convié quelques amis pour le week-end. Au programme des réjouissances, une pièce de théâtre montée par une troupe d’amateurs. Mais quelqu’un trouble la fête, se livrant à de macabres plaisanteries aux dépens des invités. La mort rôde autour de l’île. La terreur s’installe. Cordélia Gray, la jeune détective de La Proie pour l’ombre, joue les gardes du corps et observe d’un oeil attentif ces convives dont les bonnes manières dissimulent des vices inavouables. Energique, intuitive, elle dénoue un à un les fils de cette toile d’araignée criminelle. Avec L’Ile des morts, P.D. James mérite plus que jamais son titre de « reine du crime ». Dans ce roman subtil, la férocité, l’humour et le théâtre élisabéthain se mêlent de façon inimitable.