Barbara Kappelmayr, Marcus Sillober
Far West
Extraordinaire iconographie qui encadre l’histoire des indiens au XIX° siècle. 192 pages avec de nombreuses illustrations en couleur et en grand format retraçant la « conquête de l'Ouest ».
Vous aimerez aussi
Dans les maquis « vietcong »
De novembre 1964 à fin janvier 1965, Madeleine Riffaud a partagé la vie et les risques des combattants du Viêtnam du Sud. « Passée derrière le miroir », dans cette coulisse inexplorée qu'était la jungle, Madeleine Riffaud nous livre, vus de l'intérieur, les secrets Je la «guerre populaire » d'un pays pauvre, qui allait mettre en échec la formidable puissance de destruction des U.S.A., dotés de tout un arsenal d'armes chimiques et électronique Vécue par une femme (qui fut pendant l'occupation hitlerienne une petite fille chef de groupe de partisans et condamnée à mort pour avoir exécuté à Paris un officie de la Gestapo), cette aventure prend une dimension humaine qui dépasse de loin le sensationnel …
L’infant de Parme
Au milieu du XVIIIe siècle, le petit infant de Parme, Ferdinand, est l'objet d'une expérience sans précédent. Désirant en faire un prince moderne, sa mère, Louise Elisabeth, fille de Louis XV, lui donne pour instituteurs l'élite des philosophes français. Convaincus que l'éducation fait l'homme, ils vont pouvoir expérimenter sur lui le bien-fondé de leurs théories. Alors que toute l'Europe des Lumières a les yeux tournés vers lui, l'enfant porte sur ses frêles épaules les espoirs de la nouvelle philosophie. Deviendra-t-il le prince éclairé que chacun espère ?
Histoire de notre temps – Tome I – Toute la vérité
Toute vérité est bonne à dire, pour un historien conscient de sa responsabilité. Toute vérité est bonne à lire, pour un lecteur souhaitant mieux connaitre les données réelles des problèmes qui se posent à son pays, à son temps, et à lui-même.
L’ère des camps
Le système concentrationnaire s'enracine à la structure du XXe siècle. Dénoncé par ses victimes quand elles lui échappent, il l'est aussi par ceux qui brandissent cette dénonciation somme une arme politique contre des régimes réprouvés – mais pas comme le mal absolu. Implacablement le camp s'inscrit dans une sorte de logique de la démence humaine. A chaque découverte, les camps nazis, les camps d'Algérie, les camps soviétiques, de Grèce, du Sud Vietnam… la bonne conscience des « autres » s'exclame : « Comment est-ce possible ? ». Sub specie aeternitatis, c'est au nazisme qu'appartient le triste privilège d'avoir créé le système concentrationnaire et le système d'extermination les plus monstrueusement déments. Mais, en regard de cette terrifiante spécificité » hors concours » du camp nazi, ne peut-on redouter que la conscience universelle ne s'émousse ?