- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Highlands
Philippe Aymond
Highlands
Août 1743, le duc de Plaxton, un riche Écossais qui s’est allié aux Anglais, engage le peintre Joseph Callander. Le duc ne se doute pas que cela aura des conséquences tragiques pour son fils, William, hostile à ses engagements politiques, et, surtout, pour sa fille, Amelia. Victime d’un piège, Joseph est accusé d’avoir dévoilé un détail intime d’Amelia dans ses dessins… Arrêté et blessé, il parvient à s’enfuir. Il se réfugie dans les Highlands, bien décidé alors à retrouver honneur et liberté!
Vous aimerez aussi
Miracle en Alaska
7 octobre 1988. Un chasseur inuit découvre trois baleines prises au piège sous la banquise en Alaska. Aucun espoir ne semble permis pour elles. Mais contre toute attente, un formidable élan de solidarité va changer leur destin. Esquimaux, militaires, compagnies pétrolières, activistes de Greenpeace, et même l'URSS et les Etats-Unis, adversaires inconditionnels en pleine guerre froide, unissent leurs forces pour tenter le sauvetage le plus spectaculaire de tous les temps. Et après plusieurs jours de lutte acharnée contre des kilomètres de glace, le miracle se produit. Une extraordinaire leçon d'humanité et une ode à la vie.
Les secrets de Summer Street
La vie semble s'écouler paisiblement dans Summer Street, charmante rue dublinoise aux maisons colorées et aux balcons fleuris. Pourtant, derrière ces façades respectables, trois femmes vivent avec de lourds secrets. Après une douloureuse rupture sentimentale, Maggie Maguire, belle trentenaire un peu timide, se débat contre des souvenirs de son adolescence qui lui ont laissé de terribles cicatrices. Faye Reid, mère célibataire que tout le quartier admire pour son courage, comprend les ravages qu'elle a causés en faisant croire à sa fille que son père était mort. Christie Devlin, professeur de dessin proche de la retraite et incarnation de la sagesse, voit quant à elle toutes ses certitudes s'effondrer lorsque réapparaît son amour de jeunesse, avec qui elle a eu une liaison vingt-cinq ans auparavant. Quel que soit leur âge, ces femmes vont devoir affronter les démons de leur passé et faire l'apprentissage des choses du cœur.
Calligraphie des rêves
A ceux qui s’étonnaient qu’il ne se soit jamais servi des circonstances, fort romanesques, de sa naissance et de son adoption, Juan Marsé avait jusqu’ici l’habitude de répondre que ses mémoires se trouvent dans ses romans et ses nouvelles. « Je comprends que ce soit un thème très littéraire (ou qu’il puisse le paraître à certains) mais je ne l’ai jamais abordé comme tel, bien que mes romans soient pleins de gamins qui s’inventent leurs père, ou qui décident d’être fils d’eux-mêmes », a-t-il même écrit un jour. Or, c’est une explication que Marsé ne pourra plus avancer : il raconte en effet dans le roman qui nous occupe, et de façon très précise, cet épisode fondateur de sa vie et probablement de son œuvre : sa mère meurt dix jours après sa naissance, laissant son père, chauffeur de taxi, seul avec sa sœur aînée. Le pauvre veuf ne s’en sort pas et songe à confier le nouveau-né à une autre famille.
Et tombent les filles
Alex Cross, policier spécialiste de la psychologie des serial killers, doit affronter deux tueurs qui semblent rivaliser dans l'horreur. Bien que divergeant sur les méthodes, ils choisissent les mêmes victimes :l'un les massacre sauvagement, l'autre kidnappe, pour se constituer un harem, des femmes jeunes et belles, soumises à ses caprices et jouets de ses obsessions. La perfection de leurs scénarios et la complicité qui les unit fait d'eux une redoutable machine criminelle que rien ne semble pouvoir arrêter. La descente aux enfers dans leurs tanières respectives laisse le lecteur abasourdi, épouvanté et sans forces, à l'issue d'une course poursuite psychologiquement exténuante et d'une plongée dans le cauchemar du sadisme.