Jean-Claude Bourret
La nouvelle vague des soucoupes volantes
On ne compte plus les témoins qui déclarent avoir vu des OVNI (Objets Volants Non Identifiés), accompagnés souvent de petits humanoïdes. En France, c’est la Gendarmerie nationale qui recueille les dépositions, et la bonne foi de leurs auteurs peut difficilement être mise en doute. Pour faire le point de la situation, Jean-Claude Bourret a rassemblé, dans une longue série d’émissions, les témoignages les plus divers : hommes et femmes du monde entier qui ont eu l’occasion d’observer des OVNI, et savants qui essaient de donner une explication rationnelle. Le dossier est complet. A vous de juger maintenant !
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Albertine Sarrazin
Quand elle est morte, le 10 juillet 1967, à vingt-neuf ans, Albertine Sarrazin était connue dans le monde entier par trois romans auto-biographiques, La Cavale, L’Astragale, La Traversière. Le premier était une chronique de ses prisons ; le second, l’histoire merveilleuse de sa rencontre avec l’homme qui allait devenir son mari, Julien ; le troisième évoquait le salut par l’écriture, l’entrée en littérature, la conquête, par le courage et le talent, d’une vie nouvelle, heureuse et libre. Mais Albertine Sarrazin laissait après elle une foule d’inédits : lettres, journal intime, carnets, nouvelles, poèmes. Elle laissait aussi, soigneusement classées, des lettres qu’elle avait reçues, et dont elle n’avait jamais voulu se séparer….
Le cri du hibou
« Est-il encore vivant , répète inlassablement la voix intérieurs. Si Sylvie ne mavait pas entraîné, jaurais détaché loiseau. Ses yeux rouges me regardaient, jaurais dû. Maintenant, il est mort. » Ce hibou, Fabrice en est sûr, a espéré en lui. Et à cause dune fille qui a peur et qui pense, Fabrice a passé son chemin, Fabrice sen veut, en veut à Sylvie à la terre entière, pour toujours.
Le fantôme de l’opéra
« Le fantôme de l’Opéra a existé. J’avais été frappé dès l’abord que je commençai à compulser les archives de l’Académie nationale de musique par la coïncidence surprenante des phénomènes attribués au fantôme et du plus mystérieux, du plus fantastique des drames, et je devais bientôt être conduit à cette idée que l’on pourrait peut-être rationnellement expliquer celui-ci par celui-là. »
Les clients d’Avrenos
Quels sont les secrets qui unissent Nouchi, l’entraîneuse de dix-huit ans originaire de Vienne, et Bernard de Jonsac, ce Français d’une quarantaine d’années que tout le monde croit diplomate ? Quels mystères se cachent derrière leur errance aux parfums d’insouciance ? Partis d’Ankara, ils arrivent à Istanbul. Les nuits moites du Bosphore cachent des personnages qui se guettent, se haïssent, sympathisent parfois… Rien ne change dans ce décor où la torpeur gouverne. Et pourtant… Une femme est retrouvée comme morte, Nouchi fascine, et Bernard de Jonsac ferme les yeux sur ce qu’il ne veut pas comprendre.