Jean-Claude Bourret
La nouvelle vague des soucoupes volantes
On ne compte plus les témoins qui déclarent avoir vu des OVNI (Objets Volants Non Identifiés), accompagnés souvent de petits humanoïdes. En France, c’est la Gendarmerie nationale qui recueille les dépositions, et la bonne foi de leurs auteurs peut difficilement être mise en doute. Pour faire le point de la situation, Jean-Claude Bourret a rassemblé, dans une longue série d’émissions, les témoignages les plus divers : hommes et femmes du monde entier qui ont eu l’occasion d’observer des OVNI, et savants qui essaient de donner une explication rationnelle. Le dossier est complet. A vous de juger maintenant !
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Le cri du hibou
« Est-il encore vivant , répète inlassablement la voix intérieurs. Si Sylvie ne mavait pas entraîné, jaurais détaché loiseau. Ses yeux rouges me regardaient, jaurais dû. Maintenant, il est mort. » Ce hibou, Fabrice en est sûr, a espéré en lui. Et à cause dune fille qui a peur et qui pense, Fabrice a passé son chemin, Fabrice sen veut, en veut à Sylvie à la terre entière, pour toujours.
Vies des douze césars
La Vie des douze Césars (en latin De uita duodecim Caesarum libri) est une œuvre de Suétone, auteur latin du haut empire. Il s’agit des biographies des douze premiers imperatores de Rome ayant porté le nom et le titre de César, de Jules César à Domitien. Chaque biographie ne suit pas un schéma chronologique, mais est organisée en une succession de rubriques : origine familiale, naissance et carrière avant l’avènement, son avènement et les présages annonciateurs de son avènement, magistratures exercées, campagnes militaires, œuvre législative et judiciaire, générosités envers le peuple, description physique et caractère, mort et présages annonciateurs de sa mort, etc.. On souligne généralement la richesse et parfois la qualité des informations de Suétone, qui a eu accès à des archives impériales en raison de ses fonctions. La succession des biographies donne une histoire continue de l’Empire romain, de la fin de la République à la fin de la dynastie flavienne.
Le chambrion – Ponson du terrail
le Chambrion est un paysan qui a fait implicitement vœu de solitude et de célibat. S’il a un peu de bien, il le cultive ; s’il n’en a pas, il va en journée, soit comme laboureur, vigneron ou batteur en grange, soit comme bûcheron. Le Chambrion vit seul dans une petite maison presque toujours éloignée de toute autre habitation, et la plupart du temps placée sous bois. Il fait son ménage, sa cuisine, rapetasse ses vêtements, et l’hiver, quand la neige lui défend toute autre besogne, il ne dédaigne pas de se filer un brin de laine pour se faire des bas. Presque toujours, le Chambrion est un être sur lequel plane quelque mystérieuse histoire ou pèse quelque souvenir pénible. L’un est enfant de l’hospice, l’autre a eu des parents qui avaient une mauvaise réputation. Il en est qu’on accuse d’un brin de sorcellerie. D’autres passent pour avoir des remèdes contre le charbon, la rage et la picote. Si, le dimanche, ils se risquent dans le cabaret du village, on les accueille avec un étonnement mêlé de crainte. Au bal, le Chambrion ne trouve pas souvent une fille qui consente à danser avec lui. Il n’y a que peu d’exemples qu’un Chambrion ait fini par se marier. Du reste, il est généralement bon ouvrier, honnête, serviable et hospitalier. »
Le fantôme de l’opéra
« Le fantôme de l’Opéra a existé. J’avais été frappé dès l’abord que je commençai à compulser les archives de l’Académie nationale de musique par la coïncidence surprenante des phénomènes attribués au fantôme et du plus mystérieux, du plus fantastique des drames, et je devais bientôt être conduit à cette idée que l’on pourrait peut-être rationnellement expliquer celui-ci par celui-là. »