Jean-Claude Bourret
La science face aux extra-terrestres
Que se passera-t-il le jour où nous entrerons en contact avec une civilisation extra-terrestre? Question doublement fascinante. D’abord parce qu’elle implique l’existence d’autres vies dans l’univers. Et c’est un pas important dans notre compréhension du cosmos. Ensuite parce qu’elle n’écarte pas la possibilité d’un contact direct entre « eux » et nous. Or, ce n’est pas un auteur de science-fiction qui a soulevé ce fantastique problème. Non. Ce sont tout simplement des exobiologistes, des sociologues, des astrophysiciens, des psychologues, bref, des savants bien de chez nous avec leurs diplômes et leurs certitudes.
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Que se passe-t-il donc dans la paroisse de Santa Liberata? La secte qui y est installée est-elle dangereuse? Et que vient faire dans cette histoire Monguzzi et sa passion pour une correspon-dance datant du XIXe siècle ? Le lecteur est plongé au cœur d'une ville italienne grouillante d'hommes et de femmes apparemment normaux. Les personna-ges du roman sont si nombreux que les auteurs nous donnent un organigramme pour les connaître. Il y a ceux du Turin comme il faut et les autres! L'histoire peut se résumer en un entrefilet de quelques lignes : une bande de voleurs et de prévaricateurs, un gros déficit et un règlement de compte. Mais Fruttero et Lucen-tini.et leur imagination débordante font naître d'insaisissables collusions entre Mafia, édition, Fiat, police, terroristes, curie et drogués. Le commissaire Santa Maria en perd son latin. Toutes les intrigues riches en couleur, parfois sanglantes, vont s'imbriquer les unes dans les autres comme les pièces d'un puzzle.
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Un jour, le 1er janvier 1900, sept enfants naquirent en sept lieux différents du monde. Le premier, Allen Roy Gallway, né à San Francisco, était le fils d’une blanchisseuse et d’un marin. Le deuxième, Lee Lou Ching, vit le jour à Wushi, un village proche de Shanghai. Son père était paysan, sa mère mourut en lui donnant naissance. Le troisième était une fille, Anna Spasskaia. Ses parents habitaient Saint-Pétersbourg où son père était ingénieur dans une grande usine métallurgique. Le quatrième, Karl Merminger, naquit dans une famille bourgeoise de Munich. Le cinquième et le sixième étaient des filles. L’une, Sarah Berelovitz, avait pour père un marchand juif de Varsovie. L’autre, Dolorès, fille d’une Indienne de La Paz morte au moment de l’accouchement, fut adoptée par un père jésuite. Le septième, Serge Cordelier, était le fils d’un professeur de physique au Collège de France. Sept enfants, le même jour, le premier jour du siècle. Que vont-ils devenir au fil des ans ?