- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le bon usage des compliments
Alexander McCall Smith
Le bon usage des compliments
Isabel, la philosophe à l’esprit inquisiteur qui dirige la « Revue d’éthique appliquée », reste difficilement fidèle à ses exigences morales. Entre la naissance du petit Charlie et son amour pour Jamie, le père, de 14 ans plus jeune qu’elle, elle avance en terrain inconnu. Sa nièce Cat refuse cette situation, sa gouvernante Grace lui dispute l’autorité sur son fils et elle-même se trouve mêlée à la disparition mystérieuse d’un peintre, ce qui n’arrange rien. De plus son statut professionnel et l’avenir de sa revue bien-aimée sont menacés par les attaques machiavéliques du professeur Dove, au charme décidément suspect. Pour gérer ces conflits délicats, Isabel devra manier avec doigté « le bon usage des compliments ».
Vous aimerez aussi
En vrille
Traumatisé par le suicide d'un collègue, Benny Griessel replonge dans l'alcool. Sa supérieure hiérarchique le protège en confiant à son adjoint Cupido l'enquête sur le meurtre d'Ernst Richter, créateur d'un site qui fournit en toute discrétion de faux alibis aux conjoints adultères. Richter faisait chanter ses clients. Est-ce là une piste ? L'analyse des relevés d'appels de son portable, l'épluchage des comptes de sa start-up, les interrogatoires de ses employés, les perquisitions ne donnent rien. Les soupçons se portent aussi sur François du Toit, un viticulteur en faillite. Rien de probant. Les Hawks sont dans l'impasse. La solution surgira, contre toute attente, de l'esprit embrumé d'un Griessel au bout du rouleau. Chaque roman de Deon Meyer aborde un sujet différent : ici, les vignobles du Cap et une technologie de pointe au service de l'enquête. Mais le facteur humain demeure déterminant et ses personnages sont plus poignants que jamais.
Adieu mon ange
Le corps d'une fillette est retrouvé sur le chemin de l'école. Pas d'indice, peu de suspects, et pourtant quelqu'un s'acharne sur Kate, cette mère meurtrie dans sa chair. Quelqu'un lui envoie de mystérieux messages informatiques. Quelqu'un achète des jouets pour une enfant disparue. L'inspecteur Harmon s'interroge : est-ce réellement du harcèlement ou les délires d'une mère en état de choc ? Dans un monde où l'ordinateur est roi, chaque visage peut se révéler être celui du coupable.
Personnes disparues
À Taylorsville, non loin de New York, Justin. Six mois, et sa baby-sitter Rebecca, quinze ans, disparaissent. Pas de demande de rançon. Aucune trace. Les raisons de cette disparition restent inexpliquées. Fugue? Acte d’une femme en mal d’enfant’? Crime d’un pervers sexuel? Les hypothèses ne manquent pas. Les soupçons du chef de la police local se portent bientôt sur Ellen Henson. Souffrant d’une dépression due à la mort prématurée de son fils en bas âge, elle pourrait bien avoir agi sous le coup du désespoir. Quant à Doug Blake, professeur de lycée déjà jugé pour harcèlement sexuel sur la personne d’une mineure, il fait un suspect idéal. Mais est-il vraiment coupable ? Dans la petite Ville la tension monte, l’angoisse gagne du terrain, tandis que la mort qui rôde guette patiemment sa prochaine proie…
Le condamné meurt à cinq heure
Défenseur des causes difficiles, certes, mais justes. Toujours justes. Quand maître Lejanvier sauve une tête, c’est une tête d’innocent. Maître Lejanvier a des principes. Et une réputation sans tache. Jamais il ne plaiderait pour un client qu’il jugerait coupable. C’est donc en toute bonne foi qu’il a mis son éloquence, son énergie, son prestige au service de Lazare. Et c’est en toute bonne foi qu’il a fait acquitter un meurtrier. Un meurtrier qui soudain menace de céder à un accès de remords et d’aller confesser son crime. A moins que maître Lejanvier ne consente à quelque petit sacrifice financier… Quelle ingratitude !