- Home
- >
- Grand format
- >
- Le cheval vu par les peintres
Annie Lorenzo, Marie-Josèphe de Balanda
Le cheval vu par les peintres
Le cheval accompagne depuis si longtemps nos réalisations humaines, participe depuis si longtemps à notre paysage familier que nous ne songeons plus à nous étonner de sa présence constante dans l’histoire de l’art. L’impensable, finalement, aurait été qu’il n’y figurât pas ou qu’il y figurât moins.
Vous aimerez aussi
Les Grands désordres
Pourquoi Elsa Labbé a-t-elle, soudain, choisi de raconter sa vie à un inconnu ? Que s’est-il donc passé dans son existence quotidienne, dans sa mémoire, pour qu’elle éprouve ainsi le besoin d’en bouleverser l’équilibre ? Tout semblait pourtant en paix, dans le destin de cette femme de quarante-huit ans: son métier de psychologue la passionne ; elle adore sa fille ; elle ne doute pas, de surcroît, que le savoir puisse résoudre la plupart des désarrois qui risquent, à l’occasion, de tourmenter l’ordre d’une vie. Elsa va découvrir ; à la fin d’un été, que sa fille se drogue, qu’elle est presque perdue – mais est-ce la véritable raison de son trouble ?
SanDiégoZoe
En néerlandais – Fantasy – Een slangendanseres krijgt mot met een louche New Yorkse dierenhandelaar en slaagt erin met haar python, een neusbeer, een slankaap, en een papegaai te ontsnappen. Ze besluiten op zoek te gaan naar SanDiégoZoe: een heerlijk land waar dieren in vrede en vrijheid tussen hun soortgenoten kunnen leven. SanDiégoZoe is een heel bijzondere fantasyroman van Janann V. Jenner die hierin getuigt van haar grote kennis van de dierenwereld.
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.
Quand le destin bascule
Barbara Taylord Bradford nous offre, dans ce roman, l’histoire d’Audra, de Christina et de Kyle, trois femme qui sauront s »affirmer contre l’adversité, au fil de trois générations. Orpheline à quatorze ans, Audra est obligée de travailler comme aide-infirmière dans un hôpital du nord de l’Angleterre. Malgré la pauvreté, les épreuves, les chagrins, elle va tout faire pour arracher au sort contraire sa part d’amour et de bonheur. L’énergie d’Audra, son courage, sa force se retrouveront chez sa fille, Christina, qui rêve de devenir une artiste célèbre, puis chez sa petite-fille, Kyle, aussi belle qu’indomptable et qui entend, comme sa grand-mère et sa mère avant elle, choisir librement sa vie et faire plier le destin à sa volonté. Que Barbara Taylord Bradford analyse les mobiles secrets du coeur féminin, qu’elle décrive les landes du Yorkshire ou les milieux de la haute société new-yorkaise, ses dons de peintre et de psychologue, comme sa puissance créatrice, éclatent à chaque page.