- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le rameau vert
Edith Pargeter alias Ellis Peters
Le rameau vert
Lorsqu’elle signait encore ses romans de son véritable patronyme, Edith Pargeter, la mère spirituelle de frère Cadfael – Ellis Peters – témoignait déjà du suffocant pouvoir d’évocation qui fit des aventures du célèbre bénédictin le héros populaire que l’on sait. On le perçoit dans ce deuxième volume des aventures d’Harry Talvace le Jeune, de retour au pays natal, après l’épisode de La Pierre de vie. En cette première moitié du XIIIe siècle, les hostilités sont incessantes entre l’Angleterre où règne Henri III, fils de Jean sans Terre, et le pays de Galles dont le prince Llewelyn tente de préserver l’indépendance. Harry va se retrouver impliqué malgré lui dans les intrigues qui secouent la Cour.
Vous aimerez aussi
Combustion
Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… Avec ce dixième roman, vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis, Patricia Cornwell offre à ses innombrables « fans » un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que PostMortem ou Une mort sans nom. Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
Dernier refuge
Dena aimait Brian. Lorsqu’elle a été enceinte, elle a cru qu’ils pourraient être heureux. Mais Brian a changé. Il s’est mis à boire, à se montrer brutal et jaloux. Lorsqu’un soir il la frappe violemment, elle comprend qu’il lui faut partir.
Ron et Jennifer, un couple ami, sont tout disposés à l’accueillir. Elle sait qu’elle peut aussi compter sur Peter, un collègue de travail. Mais Brian semble résolu à tout pour ne pas être quitté.
Personnes disparues
À Taylorsville, non loin de New York, Justin. Six mois, et sa baby-sitter Rebecca, quinze ans, disparaissent. Pas de demande de rançon. Aucune trace. Les raisons de cette disparition restent inexpliquées. Fugue? Acte d’une femme en mal d’enfant’? Crime d’un pervers sexuel? Les hypothèses ne manquent pas. Les soupçons du chef de la police local se portent bientôt sur Ellen Henson. Souffrant d’une dépression due à la mort prématurée de son fils en bas âge, elle pourrait bien avoir agi sous le coup du désespoir. Quant à Doug Blake, professeur de lycée déjà jugé pour harcèlement sexuel sur la personne d’une mineure, il fait un suspect idéal. Mais est-il vraiment coupable ? Dans la petite Ville la tension monte, l’angoisse gagne du terrain, tandis que la mort qui rôde guette patiemment sa prochaine proie…
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.