- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 09 – Piquées de grève
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 09 – Piquées de grève
La plupart d’entre nous n’ont jamais fréquenté les hôpitaux que comme patients, sans vraiment soupçonner ce qui arrive dans les coulisses. Et c’est tant mieux. Car, si l’on en croit Bercovici et Cauvin, le petit monde des chirurgiens, infirmières, médecins et autres spécialistes ne manque ni de dévouement, ni de cynisme, ni d’imagination, ni de loufoquerie. Sur un sujet parfois grave, une succession de gags qui réconciliera les patients que nous sommes tous un jour ou l’autre avec le monde hospitalier, qui a fort à faire pour ne pas perdre la tête.
Vous aimerez aussi
50 honorables raisons de détester le japon
Ils sont partout, dans l’électronique comme dans l’automobile, avenue de l’Opéra comme à Wall Street, dans la haute couture comme dans l’art contemporain. Edith Cresson les a comparés à des « fourmis » tandis que d’autres nous les proposent comme modèles. Les Japonais sont devenus inévitables. Faut-il pour autant s’incliner devant les nouveaux puissants du jour et prendre pour argent comptant l’image d’Epinal qui nous est donnée de ce peuple uni et travailleur, à l’exquise politesse orientale ? Stéphane Benamou refuse de tomber dans le piège. Le Japon qu’il nous croque en cinquante articles demeure la puissance impérialiste et totalitaire d’hier, un pays rongé par le racisme et l’apartheid, qui ne renie rien de ses ambitions, dissimule ses crimes passés et travaille à sa revanche déjà bien engagée. Ce guide impitoyable de « l’autre Japon » est avant tout une invitation à la lucidité.
La vie privée des animaux de compagnie
Plus de 35 millions d’animaux familiers en France : chiens, chats, canaris….. Ils font partie de notre univers sociologique, économique et affectif. Vétérinaire, Marc Traverson porte un regard critique et amusé sur la société des animaux de compagnie et nous apprend à vivre en bonne entente avec eux.
L’affreux
Aristide est un brave garçon, pourtant, sa mère a décidé qu'il irait vivre chez ses grands-parents près d'Avignon. Mais parce qu'ils n'aimaient pas ses cheveux trop bouclés, ils n'en ont plus voulu. Il est donc placé dans une famille à Argenteuil, les Foucard. Ils sont plutôt gentils, même s'ils l'appellent «l'affreux». Chez eux, la vie n'est pas désagréable, surtout grâce à Nathalie, la fille aînée qui a une sacrée poitrine, et à Mme Bergson, la prof de français. Mais voilà, un jour, Mme Bergson est assassinée et tout le monde l'accuse. Aristide s'enfuit alors à Marseille, à la recherche de son père…
Avec L'affreux, Franz-Olivier Giesbert raconte les tribulations tragi-comiques d'Aristide Galupeau, «comique, cosmique, malin et moraliste», et livre une fable contemporaine, racontée avec humour et tendresse, sur l'exclusion ordinaire.
L’homme à la tortue
Lorsqu’il sort de prison, au bout de dix ans, Victor le violeur sait que David, le jeune détective qu’il a grièvement blessé lors de son arrestation, est désormais cloué sur un fauteuil roulant. Victor lui en veut d’être devenu un héros, un modèle de courage célébré par la presse. Obstinément, il va tenter de l’approcher, de devenir son ami, de s’identifier à lui. En même temps, son obsession du viol est plus forte que jamais. Et aussi la phobie des tortues qui le poursuit depuis l’enfance. Prix Golden Dagger et Prix Edgar Poe 1987, L’Homme à la tortue réalise ce tour de force : nous faire entrer dans le monde intérieur du violeur et partager ses fantasmes, jusqu’à l’atroce dénouement. C’est d’après cet ouvrage que Pedro Almodovar a réalisé son film En chair et en os.