- Home
- >
- Science-fiction
- >
- Les puissances de l’invisible – Tome I et II
Tim Powers
Les puissances de l’invisible – Tome I et II
Tome I et Tome II – Londres, 1963. Andrew Hale, distingué professeur dans un collège universitaire d'Oxford, reçoit un coup de téléphone codé. Une dizaine d'années après sa mise à la retraite anticipée pour services rendus au monde libre, il semble que les services secrets britanniques aient à nouveau besoin de ses services. Ce qui ne peut, hélas, signifier qu'une seule chose c quelqu'un – les communistes ? Les nationalistes arabes ? Les américains ? – cherche à reprendre contact avec les puissances occultes qui siègent sur le mont ararat. Andrew, un des rares survivants de la première expédition sur le mont en 1948, est chargé d'infiltrer l'opération et de la faire échouer. Mais sur l'échiquier du grand jeu, les espions deviennent vite des pions sacrifiables.
Vous aimerez aussi
Hunger Games (Tome III) – La révolte
Contre toute attente, Katniss a survécu une seconde fois aux Hunger Games. Mais le Capitole crie vengeance. Katniss doit payer les humiliations qu’elle lui a fait subir. Et le président Snow a été très clair : Katniss n’est pas la seule à risquer sa vie. Sa famille, ses amis et tous les anciens habitants du district Douze sont visés par la colère sanglante du pouvoir. Pour sauver les siens, Katniss doit redevenir le geai moqueur, le symbole de la rébellion. Quel que soit le prix à payer…
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Univers 1989
La S-F féminine ferait-elle un retour en force en ce millésime 1989 ? Quatre Américaines à notre sommaire: Kate Wilhelm, l’une des grandes dames de la S-F américaine, et Octavia E. Butler, Pat Cadigan, Pat Murphy, brillantes révélations de ces dernières années. Et aussi une francophone, Wildy Petoud, de nationalité suisse, au talent tout en fulgurances. Épaulées par un Francis Valéry en veine poétique, des auteurs d’outre-Atlantique trop rares par chez nous, Bruce McAllister, Michael Bishop, Walter Jon Williams et deux Britanniques, lan Watson, un fidèle de nos Univers littéraires, et Eric Brown, qui fait des début aussi fracassants que le laisse entrevoir le titre de sa nouvelle : Krash-Bangg Joe et l’équation Pineal-Zen.
Le langage des pierres
Au XVe siècle, dans un pays qui ressemble aux Iles Britanniques, Will, un jeune garçon de treize ans, est arraché à ses parents adoptifs par le mage Gwydion. Ce dernier, persuadé que l'adolescent est la réincarnation d'Arthur et qu'il a le pouvoir d'épargner au pays le bain de sang qui approche, veut en faire son apprenti. Il va l'initier au langage des pierres, aux pratiques magiques, aux jeux d'adresse, à ceux de la diplomatie, et lui inculquer les rudiments de la sagesse. Car le Royaume vit une époque troublée : les pierres magiques, autrefois symbole de paix et de protection contre les invasion, ont perdu leur pouvoir. Et un sorcier, tenaillé par la soif du mal, a parié sur le chaos et la guerre afin d'assurer sa prise de pouvoir sur le monde. Gwydion et Will parviendront-ils à sauver le Royaume du désastre annoncé ?