- Home
- >
- Sociologie
- >
- L’extension de l’assurance au Sénégal : un défi public et privé – État neuf
Biram Ndeck Ndiaye
L’extension de l’assurance au Sénégal : un défi public et privé – État neuf
L’objet de cet ouvrage est de proposer une analyse des avancées et des difficultés de l’extension de l’assurance au Sénégal. Biram Ndeck Ndiaye est chargé de mission de l’Agence de la Couverture Maladie Universelle (Cmu) et a écrit plusieurs articles sur l’assurance et la protection sociale.
Vous aimerez aussi
Pour que refleurisse le monde
Sept jours durant, au début de l’été 2001, deux femmes prirent le temps de se rencontrer pour mieux comprendre le monde dans lequel elles vivent. Jetsun Pema, sœur du Dalaï-Lama, personnalité tibétaine de premier plan, est une femme habitée par la spiritualité bouddhiste, marquée par l’histoire de son pays et confrontée sans cesse aux bouleversements de sa culture. Irène Frain, écrivain occidental, n’a cessé de réfléchir sur les mutations de notre société, tout en se passionnant pour l’Orient. Quel regard la « petite mère du Tibet » porte-t-elle sur l’occident et sur la femme occidentale ? Quelle est la vision bouddhiste de l’éducation et de la féminité ? Comment survivre à une tragédie telle que l’exil ? En questionnant Jetsun Pema, Irène Frain a voulu connaître sa façon d’aborder la vie, de faire face aux difficultés, en miroir à ses propres interrogations.
Les métamorphoses de la famille
La famille est un pilier de la société. Peut-être le seul à résister à l’usure du temps. Cela, on le pensait au milieu des années 60. Mais aujourd’hui, son éclatement fait le « Une ». Pour s’en réjouir, le déplorer, ou simplement le constater, sociologues, journalistes, historiens, politiques, tous se penchent au chevet de l’institution. Ils en décrivent les spasmes. Extrêmement documenté, ce livre nous décrit cette métamorphose de la famille.
Les illusionnaires
« De coeur avec vous ». Fonvieille-Alquier est de coeur avec tous ceux qui, en mai et juin, ont remis en cause une société attachée à des plaisirs médiocres. Si aujourd'hui, six mois après l'explosion, il s'adresse à eux – qu'avec tendresse et colère, il appelle les illusionnaires – c'est pour faire avec eux le bilan. Un bilan que nous connaissons, et qui lui permet de se montrer sévère. La fièvre retombée, les illusionnaires peuvent entendre le langage que leur tient Fonvieille-Alquier. L'essentiel est qu'entre les deux générations, celle des pères et celle des fils, le dialogue ne soit pas rompu.
Le mammouth m’a tuer…
Ce récit de vie, qui rapporte toute l’existence de l’auteur au travers de l’éducation nationale, se révèle particulièrement plaisant à lire. On y voit certes, l’école péricliter. Mais on y découvre aussi des hommes et des femmes pleins de courage et de pugnacité, qui font quotidiennement tout leur possible pour apporter le maximum aux enfants qu’ils ont dans leur classe. Cela se révèle parfois très difficile, tant certains sont réfractaires à l’éducation pour de multiples raisons, quand ce ne sont pas les autorités scolaires elles-mêmes qui viennent mettre des bâtons dans les roues à leur personnel enseignant. Dans la préface de Marc Le Bris, celui-ci compare d’ailleurs ces modernes hussards noirs de la République aux soldats de la guerre de 14 envoyés coûte que coûte à la boucherie, sans aucune chance de s’en sortir, par une élite militaire aveuglée par son idéologie défectueuse.