Roland Brown
Motos – Les plus beaux modèles classiques
Cet ouvrage brosse un panorama fascinant des plus beaux modèles classiques de tous les temps. Plus de cent cinquante, choisis parmi les plus intéressantes machines de l’histoire du deux-roues, sont présentés ici et décrits en détail avec leurs caractéristiques et leurs performances. Machines des pionniers des années 1900 ou grandes classiques britanniques, puissantes V-twins américaines, fascinantes italiennes ou superbikes japonaises raffinées vous attendent parmi bien d’autres, illustrées de superbes photographies en couleurs.
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Promets-moi
Six ans. Six ans déjà que Myron Bolitar, ex-champion de basket, ex-agent sportif, ex- détective de choc, n'a pas touché une arme à feu. Six ans qu'il s'est tenu loin des petites frappes et des gangsters de tout poil. Mais cette existence tranquille est sur le point de basculer… Myron Bolitar a fait une promesse. Celle d'être là pour Aimée, la fille d'une amie. N'importe où, n'importe quand. Quelques jours plus tard, la jeune fille disparaît. Myron est la dernière personne à l'avoir vue… Fugue ? Enlèvement ? Myron mène l'enquête, pour prouver son innocence, mais aussi parce qu'il a promis aux parents d'Aimée de retrouver leur fille. Et une promesse est une promesse… Sueurs froides, frissons, un suspense diabolique par le maître de nos nuits blanches.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
Je sais que je ne suis pas seul
« Je regarde le ciel, le désert puis de nouveau le ciel, et n’y vois personne. Ce monde est un jeu de massacre où les gens se fracassent les uns contre les autres comme des poupées de verre. » Horizon bouché : Romain, dix-sept ans, a l’impression de vivre en cage. Les semaines en pension s’enchaînent, ponctuées par les week-ends avec son père-homme d’affaires ou avec sa mère et » celui qui la baise « . Il choisit de s’évader en inventant des rêveries horrifiques : histoires de femme-baleine, de démon du bitume, de rock star infernale… sa vie imaginaire est aussi riche que son existence est terne. Non, Romain n’est pas seul : ses cauchemars l’accompagnent.