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Philip Pullman
Northern Ligths
En Anglais – Without this child, we shall all die.’ Lyra Belacqua and her animal daemon live half-wild and carefree among scholars of Jordan College, Oxford. The destiny that awaits her will take her to the frozen lands of the Arctic, where witch-clans reign and ice-bears fight. Her extraordinary journey will have immeasurable consequnces far beyond her own world…
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Résisterez-vous aux pouvoirs de l'Icône ? Lorsque Matthew Spear, conservateur du Metropolitan Museum de New York, rencontre Ana Kessler, il est immédiatement séduit par l'impressionnante collection d'art grec que lui a léguée son grand-père. Notamment une précieuse icône que l'on pensait disparue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Vierge de Katarini, réputée pour ses pouvoirs extraordinaires et maléfiques. Mais l'icône disparaît de nouveau, réveillant les démons d'un passé auquel ni Ana ni Matthew ne sont étrangers. Des fantômes de la résistance grecque aux couloirs du Metropolitan Museum, entre mysticisme orthodoxe et traque des œuvres volées par les nazis, un suspense étonnant, exceptionnel de maîtrise. Dans la lignée de Ian Pears et de Dan Brown, un fascinant thriller à la croisée de l'art et de l'histoire.
99 francs
« Un rédacteur publicitaire, c’est un auteur d’aphorismes qui se vendent. » Octave, riche concepteur-rédacteur de 33 ans, se rebelle et s’insurge contre l’univers superfétatoire de la publicité qui brasse des millions d’euros en vendant des produits inutiles à de pauvres ménagères. Le rédacteur publicitaire détient le pouvoir absolu des mots et des formules lapidaires. Il suscite l’envie, influence votre inconscient et décide à votre place ce qu’il vous semblera indispensable d’acheter. À la recherche d’une pureté perdue, Octave écrit son livre pour détruire la publicité et se faire licencier. Mise en abîme de l’acte d’écrire, 99 francs est une avancée narrative qui progresse au rythme de ses réflexions ironiques, de son existence régentée par l’argent, le sexe et la cocaïne. « Tout s’achète : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi. » Ce roman est une sorte de diatribe, de confession enragée scandée par des scénarios publicitaires qui interrompent savamment le récit, non sans dérision. Octave, lucide et critique à l’égard de ce système mercantile n’en est pas moins le jouet et le restera jusqu’au bout. –Nathalie Jungerman
En gros, leur idée c’était de détruire les forêts et de les remplacer par des voitures. Ce n’était pas un projet conscient et réfléchi: c’était bien pire. Ils ne savaient pas du tout où ils allaient, mais y allaient en sifflotant – après eux, le déluge (ou plutôt les pluies acides). Pour la première fois dans l’histoire de la planète Terre, les humains de tous les pays avaient le même but: gagner suffisamment d’argent pour pouvoir ressembler à une publicité. Le reste était secondaire, ils ne seraient pas là pour en subir les conséquences.
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Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.