- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- One day in the life of Ivan Denisovich
Alexander Solzhenitsyn
One day in the life of Ivan Denisovich
En Anglais – – First published in the Soviet journal Novy Mir in 1962, One Day in the Life of Ivan Denisovich stands as a classic of contemporary literature. The story of labor-camp inmate Ivan Denisovich Shukhov, it graphically describes his struggle to maintain his dignity in the face of communist oppression. An unforgettable portrait of the entire world of Stalin’s forced work camps, One Day in the Life of Ivan Denisovich is one of the most extraordinary literary documents to have emerged from the Soviet Union and confirms Solzhenitsyn’s stature as « a literary genius whose talent matches that of Dosotevsky, Turgenev, Tolstoy »–Harrison Salisbury
Vous aimerez aussi
L’Amour et le pouvoir
110 avant J.-C.: la République est à son apogée et, pourtant, elle est déjà minée par l’argent, la cupidité et les luttes de factions. Deux hommes vont se lever. Deux hommes d’exception, avec, chacun, l’ambition de devenir le «Premier parmi les Romains», distinction accordée à de très rares occasions depuis les origines de la République. Aucun des deux, cependant, ne dispose à priori des moyens pour parvenir à ses fins. Marius a contre lui ses origines: c’est un notable enrichi et il n’appartient donc pas à l’une ou l’autre des grandes lignées patriciennes dont les représentants dominent le Sénat et gouvernent la cité depuis la chute de la monarchie. À l’opposé, Sylla est de naissance aristocratique, mais il a contre lui d’être un homme désargenté qui a décider d’oublier sa condition dans la recherche effrénée des plaisirs. De tous les plaisirs.
Mozart – Aimé des dieux
Découvertes Gallimard / Musique – A trente-cinq ans, Mozart mourait. Trente-cinq ans pendant lesquels les plus grandes joies avaient côtoyé les jours les plus sombres. A six ans, Wolfgang composait son premier menuet. A onze ans, son premier opéra. Jeune homme, il avait tout dit ou presque. Mozart s’éteindra sur un envol, un jour de décembre 1791, porté par le Requiem qu’il écrivait alors et que la mort seule interrompit.
L’appel des engoulevents
La grande fresque familiale de Claude Michelet continue avec ce roman. Trois générations, un même esprit et un même cœur, la famille Vialhe n’est pas près de s’éteindre. 1974… Saint-Libéral ne compte plus que trois cent quatre habitants. Pierre-Édouard – le doyen – se désole. La population vieillit, le village se meurt. Jacques Vialhe s’échine sur l’exploitation familiale. Dominique, son fils, ingénieur agronome en Afrique, ne parle pas de prendre la relève. La petite Jo est partie faire le tour du monde au bras d’un photographe… Seul Jean, le fils de Guy, rêve de devenir éleveur et de travailler la terre de ses ancêtres… Qu’adviendra-t-il de Saint-Libéral lorsque Pierre-Édouard et Mathilde auront fermé les yeux, et que Jacques, épuisé, aura rendu les armes ?
Le rosier de Madame Husson
Les choses ne sont pas ce qu'elles semblent. Un rosier peut en cacher un autre. La première qualité de ce livre est de mystifier le lecteur: il y a du piquant dans le titre, mais il ne vient pas de l'arbuste qu'on croit. Dans cette savoureuse histoire de chasteté récompensée, le rosier est un garçon et la fleur est d'oranger. Un beau charivari auquel Mme Husson et les habitants de Gisors assistent éberlués. Le projet de la respectable dame est des plus louables: honorer la continence, célébrer la tempérance est bien. L'ennui est que la réalisation n'est pas à la hauteur de l'espoir. En voulant magnifier les vertus gardiennes de l'ordre social, la trouvaille de Mme Husson provoque un désordre. Mieux que d'autres livres de Maupassant, ce recueil de contes se gausse ainsi de toutes les tentatives faites pour sauvegarder les apparences de la vertu.