- Home
- >
- Dépôt-vente
- >
- Regards Croisés – Les Peintres du Suwer – État neuf
Michel Renaudeau
Regards Croisés – Les Peintres du Suwer – État neuf
Dans ce livre, construit autour de diptyques photographies/peintures «suwers», Michel Renaudeau révèle entre elles de troublantes ressemblances.
Vous aimerez aussi
Nicolas Sarkozy – Le pouvoir et la peur
La journaliste, chef du service politique de France Info, a vérifié auprès de ceux qui l'entourent le paradoxe de ce président qui a coutume de dire « Je n'ai pas peur » et dont le moteur serait en réalité la peur. Certains diront que c'est un livre féminin qui fait la part belle à la psychologie, aux sentiments. Cependant, la thèse que défend Marie-Eve Malouines dans Nicolas Sarkozy : le pouvoir et la peur est rationnelle, sérieuse, argumentée. Fruit d'une enquête menée à bonne source, avec cependant ce regret que les informateurs ont exigé l'anonymat, elle éclaire les interrogations qui courent en ce moment sur la façon dont le président de la République conduit le pays : est-il vraiment maître du jeu ou victime de trop fortes passions ? Sujet sensible abordé ici avec sang-froid sans que jamais affleure ni l'agressivité ni l'esprit polémique.
L’Année Terrible
En décembre 1908, Jules Garçon, jeune écrivain originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais, termine, sous le pseudonyme de Georges le Tervanick, la transcription des souvenirs de Dominique Thelliez relatifs à son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870. Car il faut dire que son enfance, comme tant d’autres, a été bercée par les récits de cette guerre et, sans doute, par nombre de couplets revanchards ayant pour thème l’Alsace et la Lorraine. Jules Garçon entend donc témoigner à la fois des souffrances et du désarroi de toute une génération, celle de ses grands-parents, et de la modeste grandeur de deux hommes : Dominique Thelliez, « un vieux, brave troupier », et Léopold Foulon, son propre grand-oncle, « mobile » du Pas-de-Calais. Deux « obscurs », acteurs à peine, niais témoins actifs, attristés souvent, souvent malicieux, discrètement critiques, de cette campagne lamentable où les humbles, servirent de pions dans le jeu de dirigeants politiques et militaires d’une confondante incompétence.
Piccolo – Le sage d’Asco
Son baccalauréat en poche, Jean, surnommé « Piccolo » à cause de sa petite taille, quitte sa Corse natale pour La Sorbonne, où il étudie les lettres. Il y découvre Jaurès, le socialisme et le pacifisme avant d’être mobilisé dans le 38è régiment d’infanterie, à Saint-Etienne. Comme toute une génération sacrifiée par la guerre de 14-18, c’est à ses années d’enfance heureuse et à l’espoir d’épouser la belle Laure qu’il devra de tenir dans l’enfer des tranchées de Verdun et de la Somme…Et aussi à ce supplément d’âme qui fait que ce sage en herbe cultive la moindre pépite de bonheur de son jardin intérieur. Jean-François Mattei nous fait découvrir dans ce roman ses racines corses et plus particulièrement la vie de son grand-père paternel, le « sage d’Asco ».
La saga de Buenos Aires
Le journaliste retrace l'histoire de la ville argentine de Buenos-Aires à travers des journaux intimes, des carnets de route et des reportages. En deux siècles, une bourgade coloniale est devenue une célèbre ville de l'hémisphère Sud. Parmi ses personnalités figurent Pedro de Mendoza, Che Guevara, Diego Maradona, Evita Peron, les mères de la place de Mai, les disparus de la dictature…