Albert Olivier
Saint-Just et la force des choses
Avant la prise de la Bastille, Saint-Just, jeune étudiant en droit, démontre dans un long poème satirique, Organt, « l’analogie générale des mœurs avec la folie ». La Révolution sera pour lui une remise en cause non seulement du monde politique, mais de la condition humaine. Son ultime raison d’être, il la livrera quelques jours avant de mourir dans ces phrases célèbres : « Je méprise la poussière qui me compose… Mais je défie qu’on m’arrache cette vie indépendante que je me suis donnée dans les siècles et sous les cieux.
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Quel rôle était assigné à la France dans l’Europe que devait régir le « Reich millénaire » ? Que représentaient les hommes de Vichy et de Montoire pour la race des Seigneurs ? Qu’attendait-on à Berlin de la collaboration ? Ce livre répond à ces questions capitales avec une sûreté d’analyse et un luxe de détails exceptionnels. Replacés dans la stratégie générale de Hitler, Pétain, Laval, de Brinon et beaucoup d’autres prennent les dimensions qui leur étalent assignées par l’envahisseur. On connaissait déjà le détail de certaines rencontres entre le Maître, ses disciples ou ses victimes ; on appréciait plus difficilement les raisons et les intentions du Führer. Une documentation considérable fait de ce livre, qui faisait défaut de toute évidence, un ouvrage de référence désormais fondamental.
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La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d’Indochine) est une guerre qui oppose, de 1955 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne, soutenue matériellement par le bloc de l’Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (dit Viet Cong), et d’autre part la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines).
Héros et Dieux du nord
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