- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Samir and Yonatan
Daniella Carmi
Samir and Yonatan
Winner of the Mildred Batchelder Award, this very human novel of the Israeli/Palestinian conflict is both touching and timely. Nothing could be more frightening to Samir, a Palestinian boy, than to be where he is now: an Israeli hospital ward, trapped among the very people he blames for his brother’s death. Amid this explosive atmosphere, Samir begins to learn about the Israeli kids around him. He discovers their hurts and conflicts – and hesitantly begins to share his own. This is a story of violence and healing – the story of a boy facing the enemy he has been taught to fear.
Vous aimerez aussi
La grosse et la maigre
L’une pèse la moitié de l’autre. Quel est le poids réel ou imaginaire des kilos dans la vie amoureuse, familiale, professionnelle, sociale ? Christiane Collange, 82 kg , et Claire Gallois, 42 kg, se posent sans concession les questions qui obsèdent tant de femmes – et tant d’hommes – dans une société qui confond trop souvent l’être et le paraître. Leurs réponses sincères et imprévues confirment qu’il ne s’agit pas d’un mince problème.
Ces enfants d’ailleurs
Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur Tomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Tomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus… Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Le dauphin et le régent
Edouard, Jacques : deux enfants de Georges Pompidou ? Bien sûr. Un aîné qui aime l'ombre et un cadet qui piaffe d'impatience ? Nul n'en doute. Des « amis de trente ans ? Peut-être. Deux complices qui ne sauraient devenir des rivaux ? Rien, désormais, n'est moins sûr. Car, dans l'histoire d'Edouard et de Jacques, il y a eu beaucoup de malentendus, quelques illusions et un certain nombre de duperies. Assez, en tout cas, pour que cette belle histoire tourne mal et conduise, inéluctablement, à un affrontement qui risque d'être fatal à l'un – ou à l'autre. C'est donc cette histoire, ses coulisses, ses enjeux, et son climat parfois cocasse, parfois douloureux, que Catherine Nay a voulu raconter dans ce livre.