- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Skinny Dip
Carl Hiaasen
Skinny Dip
En Anglais – Marine biologist Chaz Perrone can’t tell a sea horse from a sawhorse. And when he throws his beautiful wife, Joey, off a cruise liner, he really should know better. An expert swimmer, Joey makes her way to a floating bale of Jamaican pot-and then to an island inhabited by an ex-cop named Mick Stranahan, whose ex-wives include five waitresses and a TV producer. Now Joey wants to get revenge on Chaz and Mick’s happy to help her.But in swampy South Florida, separating lies from truths and stupidity from brilliance isn’t easy. Especially when you’re after a guy like Chaz-who’s bad at murder, great at fraud, and just terrible at getting caught…
Vous aimerez aussi
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
Un américain en Picardie : Sacrés français !
Jonathan Bradley, cost-killer, est chargé de dégraisser une petite usine de robinetterie victime de la mondialisation. L'affaire est simple, mais il tombe sur un tas d'os : le code du travail, l'Urssaf, la CGT, la grève et ses piquets, le délégué syndical qui dit toujours non, les salariés peu conciliants… Ted Stanger chasse les vaches sacrées sans complexe dans cette satire qui fera rire et réfléchir, notamment sur la place du « modèle français » dans un monde qui bouge.
Vatican 2035
Il y a quelque temps, je m’agenouillai dans l’obscurité d’un confessionnal. Et je fis cet aveu à un prêtre : la fureur m’envahissait à la vue de mon Église, tellement impuissante, si peu crédible. Mon confesseur, ne sachant pas bien sûr à qui il s’adressait me prêcha l’humilité : » Faites ce que vous pouvez… » M’aurait-il parlé aussi librement s’il avait vu mon visage, s’il avait compris qui j’étais ? Certainement non. Ainsi en est-il, également, pour ce livre : que chacun le lise pour ce qu’il raconte sans être influencé par la personnalité de l’auteur. S’il s’était agi d’un traité, ou d’un essai, peut-être aurait-on trouvé ici des traces de mon amertume. Mais pour rêver un autre avenir, j’ai préféré à travers un roman créer des personnages de chair et de sang – Paddy, Paul, Leah, Jeanne-Marie, Kate… et Thomas Ier, un pape qui va enfin révolutionner l’Église. – Pietro De Paoli
Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.