- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Skinny Dip
Carl Hiaasen
Skinny Dip
En Anglais – Marine biologist Chaz Perrone can’t tell a sea horse from a sawhorse. And when he throws his beautiful wife, Joey, off a cruise liner, he really should know better. An expert swimmer, Joey makes her way to a floating bale of Jamaican pot-and then to an island inhabited by an ex-cop named Mick Stranahan, whose ex-wives include five waitresses and a TV producer. Now Joey wants to get revenge on Chaz and Mick’s happy to help her.But in swampy South Florida, separating lies from truths and stupidity from brilliance isn’t easy. Especially when you’re after a guy like Chaz-who’s bad at murder, great at fraud, and just terrible at getting caught…
Vous aimerez aussi
Bouche cousue
Pour la première fois, je désire un enfant. Je fais ce livre pourtoi, l'enfant qui viendra un jour, pour que tu échappes aux mots qui ont tissé ma muselière. Il y a des gens, que nous ne connaissons pas, et qui saccagent mes souvenirs. Je dois maintenant les reconstituer pour t'offrir un passé différent des livres d'histoire et des piles de journaux. Pendant cinquante-huit ans, il n'était pas mon père. Tu trouveras ces cinquante-huit ans autre part. Tu comprendras qu'ils ne m'appartiennent pas. Qu'ils me font concurrence. Longtemps, j'ai même ignoré l'orthographe exacte de son nom. Comme tout le monde, j'hésitais entre un R ou deux. J'en avais honte, aussi ne pouvais-je demander à ma mère, encore moins à mon père, comment écrire M-i-t-t-e-r-r-a-n-d. Il ne m'a pas tout raconté. Mais il ne faaut pas croire ce que disent les autres. Les autres parlent toujours d'eux. Mon témoignage à moi est vivant. Et vivant restera ainsi ton grand-père. Mazarine Pingeot, normalienne, agrégée de philosophie, a trente ans. Ce livre est son quatrième ouvrage. Elle est chroniqueuse littéraire à la télévision et termine sa thèse de philosophie.
Vatican 2035
Il y a quelque temps, je m’agenouillai dans l’obscurité d’un confessionnal. Et je fis cet aveu à un prêtre : la fureur m’envahissait à la vue de mon Église, tellement impuissante, si peu crédible. Mon confesseur, ne sachant pas bien sûr à qui il s’adressait me prêcha l’humilité : » Faites ce que vous pouvez… » M’aurait-il parlé aussi librement s’il avait vu mon visage, s’il avait compris qui j’étais ? Certainement non. Ainsi en est-il, également, pour ce livre : que chacun le lise pour ce qu’il raconte sans être influencé par la personnalité de l’auteur. S’il s’était agi d’un traité, ou d’un essai, peut-être aurait-on trouvé ici des traces de mon amertume. Mais pour rêver un autre avenir, j’ai préféré à travers un roman créer des personnages de chair et de sang – Paddy, Paul, Leah, Jeanne-Marie, Kate… et Thomas Ier, un pape qui va enfin révolutionner l’Église. – Pietro De Paoli
Que la vie est douce à l’ombre des palmes
Saviez-vous qu’aux dernières nouvelles d’Égypte, Ramsès serait toujours vivant et qu’on peut même l’apercevoir à l’heure du déjeuner à Louxor ? Que, du côté de Lycopolis, une alchimiste du nom de Cléopâtre détiendrait le secret de la haute science ? Drôles, merveilleuses, poétiques ou mystérieuses, les vingt-trois nouvelles que Christian Jacq présente ici pour la première fois sous forme de recueil ne cessent de nous surprendre. Situées au temps des pharaons ou de nos jours, écho de textes égyptiens anciens ou souvenirs d’aventures vécues, toutes invitent à une séduisante rêverie entre étrange et réalité. Et qu’ils soient bergers ou puissants, artistes ou aventuriers, guerriers ou divinités, les héros de ces récits nous entraînent, par-delà le temps et l’espace, à réfléchir au sens de nos vies…
L’empire de l’Eau
Dans l’Empire de l’eau, Yvan Stefanovitch raconte pourquoi la gauche n’a jamais exigé la nationalisation de ce bien public, sous le Front populaire et à la Libération. Ce livre fourmille d’anecdotes sur les petits et grands arrangements, la palme du double langage revenant au PCF, aussi remonté au plan national qu’accommodant au niveau local. C’est à Paris que la Générale des eaux a historiquement institué son quasi-monopole. En 1910, le débat municipal sur la reconduction de son contrat avait duré trois semaines. Rien à voir avec le débat à la sauvette organisé sous Bertrand Delanoë.