- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The cider house rules
John Irving
The cider house rules
First published in 1985 by William Morrow, The Cider House Rules is John Irving’s sixth novel. Set in rural Maine in the first half of the twentieth century, it tells the story of Dr. Wilbur Larch—saint and obstetrician, founder and director of the orphanage in the town of St. Cloud’s, ether addict and abortionist. It is also the story of Dr. Larch’s favorite orphan, Homer Wells, who is never adopted.
Vous aimerez aussi
Scrupules
Sans grâce, rejetée par son entourage, malheureuse, Billy est la parente pauvre d'une des meilleures familles de Boston. Son séjour d'une année à Paris la métamorphose en jeune femme séduisante. De retour à New York, elle savoure sa nouvelle vie avec avidité, jusqu'à son mariage avec le milliardaire Ellis Ikehorn. Jouissant du pouvoir illimité que donnent l'argent et la beauté, Billy crée à Beverly Hills une boutique de luxe, Scrupules, où se côtoient les célébrités du monde du cinéma, de la haute finance et de la mode. La petite paria mal aimée de Boston prend enfin sa revanche…
Passions captives
Sa soeur a été violée et assassinée par des pirates. Sirena décide de la venger : la jeune fille prude et timide, mariée par sa famille au riche Regan van der Rhys cache en réalité une redoutable navigatrice. Déguisée en corsaire, elle écume les mers, éperonnant sans merci tous les navires pour retrouver les assassins d’Isabel… Regan, lui, n’a qu’une obsession : capturer cette sirène des mers qui hante ses rêves. Il désire violemment cette femme guerrière et sensuelle, si différente de son épouse confite en dévotions. Le duel. tant attendu tourne à la joute chamelle… Hélas, Regan et Sirena seront arrachés à leurs caresses par la haine et la jalousie d’Alvarez, le meurtrier d’Isabel. Leur amour saura-t-il vaincre les perfidies du cruel Espagnol ?
La malédiction de Manderley
J’ai révé l’autre nuit que je retournais à Manderley… Ainsi commence Rebecca, l’inoubliable roman de Daphné du Maurier immortalisé par le célèbre film d’Alfred Hitchcock. Manderley, c’est le magnifique chateau des Winter, toujours habité par le souvenir obsédant de Rebecca, la première femme de Maxim ; Manderley, ravagé par les flammes dans les dernières pages du roman. L’incendie n’était-il qu’un accident ? Quest-il advenu de Maxim et de sa nouvelle femme ? L’ombre maléfique de Rebecca sera-t-elle toujours un obstacle à leur bonheur ? Comme des millions de lecteurs, Susan Hill, l’une des plus grandes romancières anglaises actuelles, a longtemps été hantée par le chef-d’oeuvre de Daphné du Maurier. Recréant avec un talent étonnant l’atmosphère mystérieuse de Manderley, elle divient à son tour la douce Mme de Winter, la narratrice de cette fascinante histoire, pour nous dévoiler enfin dans La malédiction de Manderley , les secrets de Rebecca.
Les sanguinaires
Jack l’Éventreur, l’Étrangleur de Boston, le Vampire de Düsseldorf, le Boucher de Hanovre… ces criminels ont tous un point en commun : ils séduisent leurs victimes avant de les sacrifier. Et s’ils ont le goût du sang, ils ont aussi humour, charme, sensibilité et intelligence. Contre toute logique ils sont à notre image… Mais un jour, ces « Messieurs-Tout-le-Monde » sont passés à l’acte. Ils ont abattu, torturé, mutilé. Pour quelle raison, ou par quelle déraison ? Jacques Vergés ne se satisfait pas de l’explication habituelle, qui consiste à qualifier d’inhumains tous les comportements qui révoltent. Qu’il s’agisse de crimes collectifs ou individuels, l’inhumain, selon lui, fait encore partie de l’humanité. Et c’est bien ce qui nous dérange…