- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The hours
Michael Cunningham
The hours
In 1920s London, Virginia Woolf is fighting against her rebellious spirit as she attempts to make a start on her new novel. A young wife and mother, broiling in a suburb of 1940s Los Angeles, yearns to escape and read her precious copy of Mrs Dalloway. And Clarissa Vaughan steps out of her smart Greenwich village apartment in 1990s New York to buy flowers for a party she is hosting for a dying friend. The Hours recasts the classic story of Woolf’s Mrs Dalloway in a startling new light. Moving effortlessly across the decades and between England and America, this exquisite novel intertwines the worlds of three unforgettable women.
Vous aimerez aussi
L’Ange des Ténébres
New York, juin 1897. L’épouse éplorée d’un diplomate espagnol engage la détective Miss Sara Howard pour lui venir en aide : sa petite fille a disparu… Immédiatement, l’équipe de Lazio Kreizler se reconstitue autour de Sara, et de déductions en analyses, le profil psychologique du kidnappeur apparaît peu à peu sur leur grand tableau noir. Se dresse progressivement le portrait d’un être dont les mobiles ne sont pas politiques, d’une personnalité en proie à une étrange perversion, d’un tueur d’enfants ayant toutes les apparences de la normalité.
Captive du temps
Brillante étudiante en histoire, Alexandra fait un jour une rencontre troublante avec un fantôme. Tout commence par la visite d’un musée de Boston et la découverte d’un portrait. Celui de Xavier Blackwell, dernier descendant d’une célèbre famille d’armateurs. Une silhouette élancée mais tout en muscle, de longs cheveux noirs, un regard pénétrant. C’est sans doute l’homme le plus séduisant qu’elle ait jamais vu. Un seul ennui : il est mort en… 1804 ! Dans des circonstances étranges : il a été exécuté par le sultan de Tripoli dont il avait enlevé la belle-fille. Est-ce l’ombre de Xavier qui vient désormais hanter les nuits d’Alexandra ? Oui, ces mains invisibles qui couvrent son corps de caresses brûlantes ne peuvent être que les siennes… Abandonnant tout, la jeune fille part pour Tripoli. Sur les traces de l’homme qui vécut deux siècles avant elle !
Regent’s Park
Mary Jargo décide de quitter son ami Alistair qui lui a reproché, avec violence, d'avoir fait un don de moelle osseuse à un inconnu atteint de leucémie. Elle est hébergée par un vieux couple d'aristocrates qui lui confient, le temps d'un voyage à l'étranger, la garde de leur chien et de leur maison situé près de Regent's-Park. Grâce à l'association de don d'organes, Mary va faire connaissance de Léo, l'homme qu'elle a sauvé. Contrairement à Alistair, qui ne cesse d'ailleurs de la poursuivre, Léo est doux, fragile, attentif. Il lui ressemble tant qu'il pourrait bien être l'homme qu'elle a toujours attendu.
Le médecin malgré lui
Sganarelle, le faiseur de fagots, est dans de beaux draps : voici que par une ruse vengeresse, sa femme le fait passer pour médecin. Le vieux Géronte, qui l'a fait mander pour guérir sa fille, semble perplexe face aux explications de ce docteur peu orthodoxe :
« Géronte – On ne peut pas mieux raisonner, sans doute. Il n'y a qu'une seule chose qui m'a choqué : c'est l'endroit du foie et du cœur. Il me semble que vous les placez autrement qu'ils ne sont; que le cœur est du côté gauche, et le foie du côté droit. Sganarelle – Oui, cela était autrefois ainsi; mais nous avons changé tout cela, et nous faisons maintenant la médecine d'une méthode toute nouvelle. » Les cocasseries perpétuelles de Sganarelle et son charabia scientifique suffisent à tromper la crédulité de la patiente et de son entourage, pour notre plus grand bonheur. Et, pour comble de l'ironie, le faux médecin a affaire à une fausse malade…