Zaccaria Guèye
Tuutaan – La légende du dernier Pharaon – État neuf
Pendant plusieurs milliers de lunes, l’ordre cosmique avait été bien respecté par tous les sujets de Râ, et ce, jusqu’au jour ou il décida de transférer le pouvoir sur terre et de le confier aux humains. Ses sujets ne cachèrent pas leur inquiétude, mais nul n’osa contester la décision de Suprême-Divin. Séét, qui avait vainement mis en avant la faiblesse des humains et leur incapacité à exercer le pouvoir sur leurs semblables, entra en dissidence contre la décision de son Seigneur et décida d’établir sa propre voie. Il créa ainsi la première secte sur terre. Et avec beaucoup d’éloquence, il commença à inciter les humains à le vénérer lui-même…
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Par un chaud dimanche d’été, près du bassin du port de l’Arsenal, sur le boulevard Bourdon, à Paris, deux promeneurs, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent par hasard sur un banc public et font connaissance. Ils s’aperçoivent qu’ils ont eu tous deux l’idée d’écrire leur nom dans leur chapeau : « Alors ils se considérèrent. ». Tombés sous le charme l’un de l’autre, Bouvard et Pécuchet découvrent que non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu’en plus ils ont les mêmes centres d’intérêts. S’ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne.
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De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
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Tome 2 – Aux trois gentilshommes mousquetaires Athos, Porthos et Aramis, toujours prêts à en découdre avec les gardes du Cardinal de Richelieu, s’associe le jeune gascon d’Artagnan fraîchement débarqué de sa province avec pour ambition de servir le roi Louis XIII.
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