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Rebecca Brandewyne
Un amour défendu
Lorsquil revient dans la ville de son enfance, Renzo Cassavettes nest plus le petit Italien pauvre et rejeté de tous quil était autrefois. Journaliste réputé, il na plus rien à prouver à personne sauf peut-être à ceux qui, douze ans plus tôt, lont accusé du meurtre de lun de ses camarades et contraint à fuir loin des siens. Sauf aussi à la belle Sarah Kincaid, avec qui il a vécu un amour interdit à lépoque, et dont il est resté sans nouvelles depuis Mais son arrivée provoque bien des remous au sein de la petite communauté, où certains napprécient guère de voir revenir celui qui nest à leurs yeux quun assassin. Comme pour leur donner raison, deux crimes sont commis, auxquels tout semble le lier. Et tandis que le piège se referme sur lui, Renzo découvre quil ne peut compter sur Sarah Sarah qui ne la pas oublié elle non plus, et qui durant toutes ces années lui a caché un bouleversant secret
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Il y a quelque temps, je m’agenouillai dans l’obscurité d’un confessionnal. Et je fis cet aveu à un prêtre : la fureur m’envahissait à la vue de mon Église, tellement impuissante, si peu crédible. Mon confesseur, ne sachant pas bien sûr à qui il s’adressait me prêcha l’humilité : » Faites ce que vous pouvez… » M’aurait-il parlé aussi librement s’il avait vu mon visage, s’il avait compris qui j’étais ? Certainement non. Ainsi en est-il, également, pour ce livre : que chacun le lise pour ce qu’il raconte sans être influencé par la personnalité de l’auteur. S’il s’était agi d’un traité, ou d’un essai, peut-être aurait-on trouvé ici des traces de mon amertume. Mais pour rêver un autre avenir, j’ai préféré à travers un roman créer des personnages de chair et de sang – Paddy, Paul, Leah, Jeanne-Marie, Kate… et Thomas Ier, un pape qui va enfin révolutionner l’Église. – Pietro De Paoli
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En gros, leur idée c’était de détruire les forêts et de les remplacer par des voitures. Ce n’était pas un projet conscient et réfléchi: c’était bien pire. Ils ne savaient pas du tout où ils allaient, mais y allaient en sifflotant – après eux, le déluge (ou plutôt les pluies acides). Pour la première fois dans l’histoire de la planète Terre, les humains de tous les pays avaient le même but: gagner suffisamment d’argent pour pouvoir ressembler à une publicité. Le reste était secondaire, ils ne seraient pas là pour en subir les conséquences.
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Dans l’Empire de l’eau, Yvan Stefanovitch raconte pourquoi la gauche n’a jamais exigé la nationalisation de ce bien public, sous le Front populaire et à la Libération. Ce livre fourmille d’anecdotes sur les petits et grands arrangements, la palme du double langage revenant au PCF, aussi remonté au plan national qu’accommodant au niveau local. C’est à Paris que la Générale des eaux a historiquement institué son quasi-monopole. En 1910, le débat municipal sur la reconduction de son contrat avait duré trois semaines. Rien à voir avec le débat à la sauvette organisé sous Bertrand Delanoë.