Andréa de Nerciat
Félicia ou mes fredaines
Félida ou Mes fredaines, le plus connu et le plus réédité des romans de Nerciat depuis sa parution en 1775, concentre l’essence du romanesque libertin en un dosage subtil d’humour, d’évasion et d’élan passionnel. Le tour de force de l’auteur est de se livrer à une parodie jubilatoire tout en écrivant un vrai roman d’aventure, avec ses mystères, ses épisodes palpitants, ses improbables coïncidences et hasards merveilleux… Avec Margot, Thérèse ou Juliette, Félicia est à coup sûr l’une des plus grandes courtisanes de la littérature du XVIIIe siècle. Cette nouvelle édition de Jean-Christophe Abramovici nous la restitue « fraîche et insolente comme aux jours de ses premiers succès ».
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Après la mort brutale de ses parents, Martin Hopkins part vivre dans la région du Yorkshire, chez la sinistre Mme Crow. Qu’attend donc de lui cette inquiétante personne ? De mystérieuses cérémonies nocturnes se tiennent dans l’enceinte d’une usine nucléaire désaffectée, à proximité du village. Avec, pour seul indice, l’inscription » Les Portes du diable » griffonné à la hâte sur le mur. Martin et son unique ami, le journaliste Richard Cole, vont tenter de déjouer le terrible complot qui menace la paix du monde.
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