Arthur Masson
Toine retraité
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
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Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s’écoule au fil des saisons, à l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Les gens de médecine
Catalogue raisonné de Jean Adhémar, conservateur en chef du cabinet des Estampes. Une idée, tout ensemble originale et naturelle, a présidé à ce choix des gravures de Daumier concernant la médecine et les médecins. Elles n’avaient été étudiées, jusqu’ici, en un rassemblement particulier, que par G. Beytout et L. Sergent, il y a de longues années. L’ouvrage reproduit, décrit et présente les 48 planches lithographiées ayant trait à la médecine exécutées par Honoré Daumier.
Comment se débarrasser d’un ado d’appartement
En 2006, Anne de Rancourt, mère admirable de quatre jeunes adolescents, faisait rire la France entière (et certains pays adjacents) avec un inénarrable pamphlet : Comment élever un ado d’appartement ? Cinq ans plus tard, lesdits ados enfin élevés (mal) et devenus grands (dadais) refusent de quitter le cocon familial. L’auteure au bord de la « crise de mère » ne sait plus alors à quel saint se vouer pour enrayer leur « tanguysme » chronique. Il faut que jeunesse se casse ! C’est pourquoi elle imagine des stratagèmes pervers pour les persuader d’aller voir ailleurs « si elle y est ». Il faudra qu’elle leur « pourrisse grave » la vie et qu’elle s’immisce entre autres dans leurs fêtes rituelles pour qu’ils se décident enfin à ouvrir un œil sur ce qui les attend hors du cocon familial. Mais leur mère si aimante acceptera-t-elle de les laisser partir ? C’est tout le paradoxe de ce livre aussi drôle qu’émouvant.
Ma vie, mon oeuvre, mon scooter
« C’est un livre que j’ai longtemps mûri : l’idée m’en est venue quand j’avais trois ans et demi, pendant que mon père cassait des cailloux en Allemagne, du 9 au 16 novembre 1989. Simplement, pour le publier, j’ai attendu de savoir écrire et d’être légitime – parce que moi, je ne veux pas du soupçon. » J. S.