- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le bon usage des compliments
Alexander McCall Smith
Le bon usage des compliments
Isabel, la philosophe à l’esprit inquisiteur qui dirige la « Revue d’éthique appliquée », reste difficilement fidèle à ses exigences morales. Entre la naissance du petit Charlie et son amour pour Jamie, le père, de 14 ans plus jeune qu’elle, elle avance en terrain inconnu. Sa nièce Cat refuse cette situation, sa gouvernante Grace lui dispute l’autorité sur son fils et elle-même se trouve mêlée à la disparition mystérieuse d’un peintre, ce qui n’arrange rien. De plus son statut professionnel et l’avenir de sa revue bien-aimée sont menacés par les attaques machiavéliques du professeur Dove, au charme décidément suspect. Pour gérer ces conflits délicats, Isabel devra manier avec doigté « le bon usage des compliments ».
Vous aimerez aussi
Le condamné meurt à cinq heure
Défenseur des causes difficiles, certes, mais justes. Toujours justes. Quand maître Lejanvier sauve une tête, c’est une tête d’innocent. Maître Lejanvier a des principes. Et une réputation sans tache. Jamais il ne plaiderait pour un client qu’il jugerait coupable. C’est donc en toute bonne foi qu’il a mis son éloquence, son énergie, son prestige au service de Lazare. Et c’est en toute bonne foi qu’il a fait acquitter un meurtrier. Un meurtrier qui soudain menace de céder à un accès de remords et d’aller confesser son crime. A moins que maître Lejanvier ne consente à quelque petit sacrifice financier… Quelle ingratitude !
Le nuisible
Un envoi anonyme vous raconte par le menu quelques faits de votre vie, de ceux que vous avez préféré cacher à votre femme, à vos amis et relations… Vous attendez logiquement que ce maître-chanteur très bien renseigné fasse connaître ses exigences. Erreur. Votre correspondant vous veut du bien. Il vous révèle les trahisons dont vous êtes victime. Il vous suggère d'écrire la suite, d'imaginer la punition, de donner des ordres aux puissances de l'ombre… Il suffit de vouloir. Georges, éditeur de « thrillers » à succès, ne résiste pas à la tentation grisante d'utiliser ce serviteur sans visage. Et nous entrons sur ses pas dans un labyrinthe où le chasseur et la proie, la victime et le bourreau, s'échangent indéfiniment les rôles dans un cauchemardesque jeu de miroirs.
Personnes disparues
À Taylorsville, non loin de New York, Justin. Six mois, et sa baby-sitter Rebecca, quinze ans, disparaissent. Pas de demande de rançon. Aucune trace. Les raisons de cette disparition restent inexpliquées. Fugue? Acte d’une femme en mal d’enfant’? Crime d’un pervers sexuel? Les hypothèses ne manquent pas. Les soupçons du chef de la police local se portent bientôt sur Ellen Henson. Souffrant d’une dépression due à la mort prématurée de son fils en bas âge, elle pourrait bien avoir agi sous le coup du désespoir. Quant à Doug Blake, professeur de lycée déjà jugé pour harcèlement sexuel sur la personne d’une mineure, il fait un suspect idéal. Mais est-il vraiment coupable ? Dans la petite Ville la tension monte, l’angoisse gagne du terrain, tandis que la mort qui rôde guette patiemment sa prochaine proie…
Court circuit
Un paquebot de luxe détourné par un psychopathe qui a court-circuité les commandes… Thorn, le taciturne antihéros de Marée rouge, ne s'attendait pas à devoir démêler un tel mystère. Pour sauver son vieil ami Sugarman, il se trouve précipité au cœur d'un imbroglio infernal : une curieuse affaire d'extorsion de fonds, une prise d'otages, un drame familial, le tout pimenté de quelques meurtres… Thorn n'aura décidément pas le temps de s'ennuyer ! D'autant plus que s'il n'intervient pas rapidement, la destination du bateau devenu incontrôlable pourrait bien être… le néant. Sexe, argent, amour et mort sur fond de secrets de famille, dans les décors sauvages de la Floride : un suspense implacable par James W. Hall, l'auteur d'En plein jour et de Bleu Floride.