- Home
- >
- Science-fiction
- >
- Netwar – la guerre des réseaux
Thierry Bretton
Netwar – la guerre des réseaux
Cosmos 1692, le plus silencieux des satellites soviétiques, espionne sans répit le territoire Américain. A l’écoute du ciel, Serguei Voronone refugié aux U.S.A tente de percer son mystére …
Vous aimerez aussi
Invasion
Tout commence par un mystérieux disque noir, fait d’une matière inconnue, avec lequel un étudiant californien, Beau, se blesse au doigt en l’examinant. Pris d’une violente fièvre, Beau se rétablit très vite… mais son comportement n’est plus le même. à la fois euphorique et incohérent, il commence à inquiéter sérieusement Cassy, son amie. Et l’épidémie se répand. Ceux qu’elle ne tue pas, à leur tour, changent de personnalité, pour s’agréger bientôt à une sorte de secte prosélyte, qui se répand dans le monde entier, cherchant à contaminer les autres. D’où provient ce virus redoutable ? Quelle puissance invisible s’exerce à travers lui, cherchant à sélectionner les humains et à les transformer en les mettant à son service ? Sheila, médecin hospitalier, Jonathan, informaticien, et quelques autres vont prendre conscience du danger et mettre en commun leurs forces pour contrer ce virus dont ils ne savent qu’une chose : il n’est pas d’origine terrestre. Maître du thriller médical, Robin Cook rejoint ici l’anticipation. Une anticipation qui, à l’heure des épidémies nouvelles et des manipulations biotechnologiques, pourrait bien n’être pas invraisemblable…
Univers 1989
La S-F féminine ferait-elle un retour en force en ce millésime 1989 ? Quatre Américaines à notre sommaire: Kate Wilhelm, l’une des grandes dames de la S-F américaine, et Octavia E. Butler, Pat Cadigan, Pat Murphy, brillantes révélations de ces dernières années. Et aussi une francophone, Wildy Petoud, de nationalité suisse, au talent tout en fulgurances. Épaulées par un Francis Valéry en veine poétique, des auteurs d’outre-Atlantique trop rares par chez nous, Bruce McAllister, Michael Bishop, Walter Jon Williams et deux Britanniques, lan Watson, un fidèle de nos Univers littéraires, et Eric Brown, qui fait des début aussi fracassants que le laisse entrevoir le titre de sa nouvelle : Krash-Bangg Joe et l’équation Pineal-Zen.
Le vieil homme et la guerre – Tomes 1 à 6
Tomes I à VI – “J’ai fait deux choses le jour de mon soixante-quinzième anniversaire. Je suis allé sur la tombe de ma femme et je me suis engagé.” À soixante-quinze ans, l’âge minimum requis, John Perry n’est pas le seul à intégrer les Forces de défense coloniale, le seul ticket pour les étoiles, mais sans retour. Plus rien ne le retient sur Terre. Combien d’années de vie peut-il encore espérer ? En revanche, s’engager, c’est défendre la Terre, protéger l’expansion de l’humanité dans les étoiles, retrouver une seconde jeunesse et, à l’issue du service, obtenir le statut de colon sur une planète nouvelle. Sur Terre, nul ne sait ce qu’il advient de ces recrues à part qu’on leur promet une guerre sans merci contre la myriade d’espèces intelligentes qui se partagent un “espace vital” interstellaire beaucoup trop étroit. John Perry devient donc soldat. Avec son nouveau statut commencent les révélations, inimaginables.
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »