Marie Brantôme
Avec tout ce qu’on a fait pour toi
Journal d’une adolescente en détresse, à Versailles, en 1951. Depuis la mort de sa soeur, renversée sous ses yeux par un tramway, May n’a plus goût à la vie. Elle programme son suicide pour son quinzième anniversaire. Autour d’elle, personne n’est en mesure de l’aider. Sa famille part à la dérive : folie d’une mère, insouciance d’un frère, absence d’un père Mais l’écriture, qu’elle découvre en tenant son journal, lui fait entrevoir d’autres horizons et ranime en elle la flamme de l’espoir. May choisira finalement de vivre…
Vous aimerez aussi
La vie peut-être
Pour adolescents – Sofia est morte et Florian est à terre. Il ne parvient pas à se relever, à accepter l’absence. Il ne la comprend pas et refuse de vivre avec. Une seule issue : revenir sur les lieux de la tragédie, dans l’hôpital psychiatrique où on avait enfermé Sofia. Là-bas, Florian cherche des traces, des preuves de l’existence de son amie. Il rencontre Mehdi, un soignant qui s’occupe de lui. Mais Florian ne veut pas être aidé. Mehdi tient bon, l’oblige à entrer en relation avec les autres. Peu à peu, Florian baisse les armes, et un lien invisible se tisse entre les deux garçons. Et si la vie reprenait ses droits avec le chiffre deux ?
Louison et Monsieur Molière
Louison n’a que dix ans quand Molière la choisit pour jouer dans sa dernière pièce. Fille de comédiens, la fillette va enfin pouvoir réaliser son plus beau rêve : être actrice. Et pas n’importe où ! À la Comédie Française, devant la cour du Roi-Soleil, Louis XIV…
Dès 9 ans – Lief, Barda et Jasmine ont entrepris une quête périlleuse pour réunir les sept pierres précieuses de la Ceinture magique de Deltora. Quatre d’entre elles ont été retrouvées. La quête doit continuer coûte que coûte. Pour récupérer la cinquième pierre, les héros s’aventurent très près de la frontière du Pays des Ténèbres et pénètrent dans les Montagnes Redoutables, où règne un crapaud monstrueux. Un royaume à libérer Trois pierres précieuses à retrouver Entrez dans la quête!
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»