- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Oknam -5- Dossier M.I.A.
Benoit Roels
Oknam -5- Dossier M.I.A.
Après des humanités classiques, Benoît Roels poursuit des études d’arts graphiques à l’Institut St Luc à Bruxelles dont il sort en 1988, pourvu d’un diplôme en bande dessinée. En octobre 1988, il propose au Lombard d’adapter les romans Signes de piste de Jean-Louis Foncine. C’est ainsi qu’il dessine La Bande des Ayacks sur un scénario de Jean-François Di Giorgio. En 1990, sortent les deux premiers albums La Bande des Ayaks et Le Relais de la Chance au Roy. Le troisième tome La Forêt qui n’en finit pas paraît en 1992.
Vous aimerez aussi
Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.
Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Le secret du roi – Tome III – La revanche américaine
A son avènement en 1774, l’un des premiers actes de Louis XVI est de dissoudre le » Secret « , fondé dix-huit ans plus tôt par son grand-père Louis XV. Mais le service disparu, ses agents demeurent, et ils n’entendent pas renoncer à jouer leur partie dans les grands événements du monde. Or l’Amérique bouge. Les Insurgents bravent la tutelle anglaise, et le numéro un du Secret, Charles de Broglie, conçoit le projet de leur venir en aide. C’est cette entreprise clandestine, à la fois raisonnée et folle, méthodique et démesurée, que nous conte ici Gilles Perrault, en historien de premier ordre, en même temps qu’en conteur à grand souffle. Entrent en scène Beaumarchais, Dumouriez, le fantasque chevalier d’Eon, et enfin La Fayette, jeune aristocrate sans grand relief à qui Broglie va forger un extraordinaire destin … Autour d’eux, toutes les grandes figures du temps, de Turgot et Vergennes à Benjamin Franklin, sans oublier Louis XVI et Marie-Antoinette, peu à peu dépossédés, au milieu de la cour de Versailles, d’un siècle qui leur échappe…
Une mort sans nom
Une jeune femme est retrouvée nue, adossée à une fontaine de Central Park, à New York. Les recherches concernant son identité restent vaines. En revanche, Kay Scarpetta, Marino et Wesley devinent rapidement celle du tueur : Temple Gault. Mais le choix de la ville, de la victime et le changement de modus operandi les laissent perplexes. L’autopsie ne révélant aucune trace de contrainte, ils ne comprennent pas pourquoi la jeune femme a accepté de se déshabiller par ce froid glacial. Scarpetta lutte contre le découragement. À l’exception des dents de la victime, soignées de manière inhabituelle, les indices sont bien minces.