- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- La jungle en folie -11- Mambo, Zizi, Panda
Mic Delinx
La jungle en folie -11- Mambo, Zizi, Panda
Un classique de la bande dessinée animalière humoristique. Au début des années 70, Christian Godard, le scénariste, et Mic Delinx, le dessinateur, ont créé un monde qu’il est impossible de trouver sur une carte, mais dont les principaux habitants, de Joe le tigre à Gros Rino, nous ressemblent beaucoup.
Vous aimerez aussi
Les OVNI en Union soviétique
Les documents du KGB sont enfin dévoilés, les objets volants dans le ciel soviétique ont bien existés. Durant des décennies, l’activité ovni dans le ciel de l’Ex-URSS fut censurée. Les rapports d’observations sont désormais disponibles et ils permettent d’avoir une vision générale et non plus tronquée du phénomène ovni. La lecture des dossiers ovnis du KGB prouve clairement que les autorités soviétiques étaient conscientes du phénomène ovni, mais que, conformément à l’esprit de méfiance qui prévalait lors de la Guerre Froide, elles se gardèrent bien de laisser filtrer la moindre information vers l’Occident. Aujourd’hui, les ufologues occidentaux peuvent étudier ces dossiers, ainsi que les nombreuses observations civiles d’ovnis qui se sont multipliées depuis 1991. Résultat : pour la première fois peut-être, les ufologues disposent d’une vision vraiment globale du phénomène ovni.
Dame suisse sur un canapé de reps vert
Assise sur le canapé vert qu’elle affectionne, dans le salon paisible de la pension helvétique où elle passe l’été, Marguerite Droz songe à son existence. Du passé surgit son enfance avant la guerre, à Neuchâtel, entre un père calviniste, cabinotier de pendules, et une mère catholique et française, que l’amour a transplantée dans le Jura suisse, non sans malentendus ni homériques disputes, qui ont marqué la petite fille qu’elle était. Bien avant de se marier, par deux fois – avec Dietrich, ingénieur d’origine alémanique, qui mourra dans un accident d’avion, puis avec Julien, gros fermier sarthois, tué d’une balle perdue à la chasse – Marguerite a connu le bonheur des vacances en France à la campagne, chez ses grands-parents maternels, dans les années 30. Sont venus les amours adolescentes, une passion romantique et l’éveil aux idées, au monde, d’une jeune fille qui, toute la guerre, s’est sentie comme prisonnière, comme assiégée dans son îlot neutre, au coeur d’une Europe à feu et à sang.
Marie de Médicis
Elle est grande, elle est hautaine, elle a le teint très blanc, un double menton, mauvais caractère, 27 ans déjà. En l’an 1600, Marie de Médicis épouse Henri IV. C’est un mariage d’argent : les Médicis sont une richissime famille de banquiers florentins devenus grands-ducs de Toscane. C’est un mariage politique : le Pape et l’Espagne veulent amarrer la France au catholicisme après 45 ans de troubles et de guerres religieuses. Entre Henri IV et Marie de Médicis, la vie conjugale devient souvent un enfer. Maîtresses, scènes de ménage, histoires d’argent ; Sully arbitre comme il peut. Quand Henri IV est assassiné, son fils Louis XIII n’a que 8 ans et demi. Marie de Médicis devient Régente. Elle met la France au pillage pour acheter la tranquillité des nobles, remplir les poches de ses favoris Leonora Galligaï et Concino Concini, et satisfaire une passion sans frein pour les diamants…
L’église verte
Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel. Il semble avoir vécu un certain temps caché au cœur de la forêt, cette « église verte « , ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables… Ou eux-mêmes. Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature – dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète – L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?