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Laurence Harle, M.Blanc-Dumont
Jonathan Cartland
Jonathan Cartland (ou simplement Cartland) est une série de bande dessinée de western dessinée par Michel Blanc-Dumont et écrite par Laurence Harlé. Nommée d’après le personnage principal et apparue en 1974 dans le magazine Lucky Luke, elle a été publiée en dix volumes jusqu’en 1995. C’est l’un des « westerns contemporains les plus importants1.
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Gouverner sa maison, sans y avoir été préparée
Mais la vie de tous les jours, qui vous l’a apprise ? Votre mère toujours pressée, votre père souvent absent ? Vous savez faire un lit, laver votre lingerie et faire cuire un beefsteack ou un œuf, cela suffit pour survivre. Et, comme vous êtes intelligente, d’ennuis en catastrophes vous arriveriez à vous débrouiller, mais au prix de bien des dépenses inutiles, de beaucoup de temps perdu, d’énervement et de larmes parfois.
Ce livre s’adresse à vous, toute jeune maîtresse de maison. Quand vous rentriez de l’école, vous aviez encore du travail et un peu de temps pour jouer. Au lycée, cela ne s’est pas arrangé, vous avez passé de plus en plus de temps entre livres, cahiers et transports. Plus tard, vous avez appris un métier et vous avez travaillé huit heures par jour.
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L’arc-en-ciel
Puissant businessman américain, Henry Potter vient de fêter ses cinquante ans. Sa vie est une réussite. Sa femme est charmante et belle, et, pourtant, il s’ennuie un peu. Au cours d’une sortie au théâtre, il rencontre un jeune metteur en scène qui parvient à le persuader de commanditer une pièce. Alors commence pour Henry Potter une nouvelle vie… Sans rien connaître au théâtre, notre industriel va aller de découvertes en découvertes dans un monde insolite, compliqué, cruel aussi. Peu à peu il va se prendre au jeu, subir le charme étrange des comédiens, s’acharner à faire de son pari une réussite. Henry Potter devient un autre homme, d’autant mieux qu’il trouve sur son chemin une jeune et troublante actrice qui ne sait pas très bien faire la part de ses rêves et celle de la réalité. Henry Potter retrouvera-t-il son équilibre? Reviendra-t-il à sa vie antérieure, auprès de son épouse? Et quelle sera la conclusion de cette aventure théâtrale assez curieuse. C’est tout le sujet de ce beau roman, le dernier de la grande romancière américaine.
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La ménopause effacée
La ménopause ne peut pas être considérée comme un simple événement chronologique. Se cantonner à cette définition simpliste ne serait pas une attitude objective, et conduirait à une dangereuse désinvolture : l’ignorance des phénomènes qui l’accompagnent, des complications et des dégénérescences qui la suivent. La réalité et l’universalité des troubles qu’elle occasionne, leurs conséquences physiques, fonctionnelles, physiologiques et sociales, la décompensation de pathologies pré-existantes, jusque-là bien contenues, les conséquences dangereuses à long terme des perturbations trophiques ou métaboliques et les pathologies invalidantes qu’elles entraînent, sont autant de faits objectifs qui n’autorisent ni la légèreté, ni la négligence, ni l’ignorance. Ce n’est pas en ignorant, en niant ou en minimisant les faits déplaisants ou insupportables qu’on les supprime. Le désintérêt, la méconnaissance que rencontrent les femmes à ce sujet, la solitude où elles restent, ou sont rejetées, ne sont pas de bons moyens de les aider, ni d’effacer leurs problèmes.