- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- La saga du Grizzli
Vaxlaire, Faure
La saga du Grizzli
Claude Auclair est un dessinateur et scénariste de bandes dessinées. À la suite de ses études aux Beaux-Arts de Nantes, il devient au milieu des années 1960 décorateur de théâtre. Lassé, il arrête en 1967 et part en voyage autour de la Méditerranée.
Vous aimerez aussi
Tristesse et beauté
Chez Kawabata, les beautés élégiaques, qui se laissent dépouiller, abandonner, prostituer, éviscérer par amour, préparent en silence l’avènement des beautés pernicieuses, ces petits démons qui exécuteront autour du mâle la danse de la mort. Dans Tristesse et beauté, la mort esquisse ses premiers pas pendant que sonnent les cloches de fin d’année dans les monastères de Kyôto. Oki, le romancier vieillissant, cherche à revoir un ancien amour. Elle avait seize ans, lui plus de trente. Au lendemain de la rupture, elle avait trouvé refuge chez les fous, lui dans l’écriture d’un roman qui devait lui apporter argent et gloire. En sortant de chez les fous, elle choisit de ne plus se donner qu’à l’art et devint peintre renommé. Un quart de siècle plus tard, il tente de renouer avec le passé. Mais le destin a placé aux côtés de la femme peintre une élève de dix-sept ans, diaboliquement belle et diaboliquement dévouée à son professeur.
Le jeu de la tentation
Après La chambre des dames, Le jeu de la tentation est le second volet de la chronique familiale des Brunel. Nous sommes en juin 1266, le dernier bel été du règne de Saint Louis. Marie, la plus jeune fille des Brunel, est veuve depuis deux ans et mère attentionnée de deux enfants, Vivien et Aude. Elle a vingt-sept ans, un métier qu’elle adore, enlumineresse, et un amant fougueux, Côme Perrin, maître mercier. Mais trois truands lombards font peser sur sa famille une terrible menace. Commence alors le jeu de la tentation : argent, luxure, violence, désespoir, mort, jusqu’à la sainteté et au martyre.
Les OVNI en Union soviétique
Les documents du KGB sont enfin dévoilés, les objets volants dans le ciel soviétique ont bien existés. Durant des décennies, l’activité ovni dans le ciel de l’Ex-URSS fut censurée. Les rapports d’observations sont désormais disponibles et ils permettent d’avoir une vision générale et non plus tronquée du phénomène ovni. La lecture des dossiers ovnis du KGB prouve clairement que les autorités soviétiques étaient conscientes du phénomène ovni, mais que, conformément à l’esprit de méfiance qui prévalait lors de la Guerre Froide, elles se gardèrent bien de laisser filtrer la moindre information vers l’Occident. Aujourd’hui, les ufologues occidentaux peuvent étudier ces dossiers, ainsi que les nombreuses observations civiles d’ovnis qui se sont multipliées depuis 1991. Résultat : pour la première fois peut-être, les ufologues disposent d’une vision vraiment globale du phénomène ovni.
La veuve Egalité
Les révolutionnaires qui eurent l’idée de rebaptiser Louis XVI Louis Capet et sa veuve, « la Veuve Capet », crurent assurément avoir touché au but, à savoir humilier le plus bassement possible leurs victimes. Mais l’Histoire a de ces retours inattendus et féroces que plus d’un politicien devrait garder en mémoire, ne serait-ce que pour se préserver lui-même. Ainsi, le surnom de la Veuve Capet est désormais synonyme de martyre et le restera encore pour longtemps. Le terme n’a plus rien d’humiliant, hormis pour ceux qui le forgèrent. En revanche, le titre « la Veuve Egalité » provoque immanquablement la grimace et suscite le mépris non certes par la faute de celle qui se retrouva le porter mais à cause de celui sans qui il n’aurait jamais vu le jour, Louis-Philippe-Joseph d’Orléans, arrière-petit-fils du Régent et de Melle de Blois, fille légitimée de Louis XIV et de Mme de Montespan, par conséquent arrière-arrière-petit-fils de Monsieur, frère de Louis XIV et de la princesse Palatine et, de ce fait, arrière-arrière-petit-neveu du Roi-Soleil en personne ….. L’ouvrage de Michel de Decker n’ait peut-être pas le meilleur sur la question mais il a au moins le mérite de faire sortir de l’ombre celle qui, quoi que l’on en dise, fut bien plus que la simple Veuve Egalité.