- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Découvrez enfin tout ce que vous vouliez savoir sur les infirmières sans jamais oser le demander : comment font-elles pour supporter les malades capricieux, pour aider les docteurs aussi pénibles que les malades, pour consoler la famille éplorée qui, généralement, traîne dans leurs pieds.
Vous aimerez aussi
Lovers
Belle, talentueuse, ambitieuse, Gigi Orsini vient d'être embauchée par la plus prestigieuse agence de publicité californienne. La voilà lancée entre l'univers de Hollywood et le monde des affaires. Un monde brillant et féroce où les rivalités professionnelles et amoureuses sont implacables. Dans le même temps qu'elle obtient ses premiers succès, elle est séparée de l'homme qu'elle aime, Zach Nevski, metteur en scène adulé. Ben Winthrop, un magnat des centres commerciaux, lui semblera celui auprès de qui elle peut retrouver le bonheur… Jusqu'au moment où elle découvrira son vrai visage. Entre Los Angeles et New York, entre Venise et le Japon, bien des épreuves l'attendent encore avant…
Le testament français
Charlotte, une femme d’origine française émigrée en Sibérie avec sa mère entre les deux guerres, raconte à son petit-fils Aliocha le Paris et la France de son enfance, où elle a grandi. Peu à peu, celui-ci s’imprègne de culture française à travers la langue et les récits de sa grand-mère. Cette France devient pour lui une véritable Atlantide, où par exemple au bistro Au ratafia de Neuilly ledit ratafia est servi dans des coquilles d’argent… Cette double sensibilité franco-russe, îlot d’altérité au-dedans de lui, lui pèsera (ses camarades russes perçoivent et sanctionnent cette différence) puis l’enrichira, l’élèvera et le poussera vers la France.
Ce roman d’un Russe francophone n’est pas seulement l’histoire de sa relation avec la France, mais aussi une vaste fresque tragique de la vie des populations à travers les immenses plaines de Sibérie sous l’ère soviétique. Famines, viols, conditions de vie extrêmes, misère, mais aussi chaleur des relations humaines, premières amours, joie et espérance s’entremêlent.
Les frères Malory – Magicienne de l’amour
Que faites-vous ici, Amy ? C’est trop fort ! Juste au moment où Warren montait à l’étage avec une jolie rousse, il a fallu que cette gamine insupportable surgisse ! Depuis qu’il est arrivé à Londres, elle n’a cessé de le poursuivre de ses assiduités. Jusqu’à lui proposer le mariage ! Et jusqu’à le suivre dans ce bouge… Allez-vous répondre ou préférez-vous rester plantée là ? Vous voulez prendre la place de la putain ? Merci bien. Je préfère m’en tenir à cette fille. Elle, au moins, ne me demande que quelques pièces en échange du bon temps que je vais prendre. Votre prix est trop élevé, lady Amy. Je n’ai nulle envie de me marier. Les yeux violets d’Amy étincellent de rage. Des cinq frères Andersen, elle a choisi le pire : Warren a vraiment un fichu caractère ! Mais Amy est une Malory. Et les Malory ne renoncent jamais…
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…