David Morrell
La fraternité de la rose
On l’appelle l’homme aux yeux tristes. Son nom: Edward Francis Eliot. Sa fonction : chef du contre-espionnage, CIA. Son rôle : former des jeunes gens à l’art de tuer. En faire de super-assassins. Béret vert et corde à piano. Radio-piège et close-combat. Un arsenal d’une très haute technicité. De cette école, Saul et Chris, orphelins que l’infortune a unis comme frères de sang, deviennent rapidement l’élite, as parmi les as. Pour eux, Eliot est mieux qu’un professeur : un père qui leur demande, par amour, d’aller verser le sang de par le monde, un père qui, pourtant, n’hésitera pas à donner l’ordre de sacrifier ses «enfant. Entre Saul, Chris et Eliot commence alors une mortelle partie de cache-cache, en forme de sanglant master-mind. La partie s’achèvera en apothéose dans le « Sanctuaire’ de l’Hermitage, un de ces fameux refuges pour espions de tous bords où – en principe — nul n’a le droit de tuer.