Françoise Burgaud
La cuisine de A à Z crustacés et coquillages
Pour la première fois en Livre de Poche une véritable encyclopédie culinaire pratique, complète, moderne, abondamment illustrée de photos en couleurs; Conçue et réalisée sous la direction de Françoise Burgaud, elle contient les principes essentiels, les conseils et les recettes réunis dans la série, désormais classique de La Cuisine de A à Z. Autour d’un thème déterminé, chaque volume présente l’essentiel de ce qu’il faut savoir pour réaliser sans difficultés, en toutes occasions, les recettes les plus simples ou les plats les plus raffinés.
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Orient-Express
Plus que tous les paquebots de toutes les mers, plus que les plus fastueuses Rolls ou que les plus casse-gueule des avions du monde, plus encore que tous les autres trains du monde, l’Orient-Express constitue un mythe. Un mythe avec son cortège de déesses et de demi-dieux qui sont espionnes de haut vol, princes russes et aventuriers de tout poil. Avec ses cohortes de conducteurs, voituriers, sleepings, avec ou sans madone. Et c’est sur ce mythe-là que Pierre-Jean Remy a voulu écrire. Mais comme l’amour, l’aventure et les belles étrangères sont inséparables de l’histoire de l’Orient-Express telle que nous nous plaisons à nous la raconter, ce sont six portraits de femme que Pierre-Jean Remy a tracés. Six images qui sont devenues une seule histoire en même temps qu’une somptueuse machine à faire rêver… L’Europe et ses trains de luxe entre 1914 et 1939. D’une guerre à l’autre, l’amour, l’aventure et la mort.
La vieille dame de Djerba
Lorsque Joseph Joffo rencontra la vieille dame de Djerba, elle lui dit s'appeler Liza. Et il l'écouta… Il l'écouta lui raconter ses multiples vies depuis la nuit des temps, l'histoire du rebbé Avram et celle de lenkélé le marchand d'étoffes, celle du roi qui voulait la mort des oiseaux et celle de Sabine qui aimait un pingouin…, etc. Ces récits, frais et tendres, drôles et bouleversants, nous racontent, au fond, l'histoire de l'humanité et sont un hymne à la performance du bien sur le mal, et, comme dans la tradition juive dont ils sont inspirés, un pari sur l'avenir de l'homme. C'est sans doute, le meilleur livre de Joseph Joffo, depuis « Un sac de billes », qui l'a rendu mondialement célèbre.
Le templier de Jérusalem
Il y avait un siècle que, au cri de « Dieu le veult ! », ils étaient partis, hommes et femmes de toute condition, avec une ferveur inouïe, vers cette terre dont ils ne savaient rien, pour libérer le tombeau du Christ. Et ils avaient réussi. Autour de Jérusalem reconquise, ils avaient fondé un royaume, à l'image de ce qu'ils connaissaient, avec un roi et des barons, des prêtres et des évêques, et des fiefs, des châteaux, des églises – et toutes leurs querelles. Et ils avaient créé des Ordres, dont celui des Templiers.
Il y avait un siècle, et le royaume latin de Jérusalem, miné par ses divisions, menacé par Saladin, appelait à l'aide les princes et les seigneurs d'Occident. Seule, une nouvelle croisade pouvait sauver la Terre sainte. C'était le temps où Notre-Dame commençait à s'élever au cœur de Paris, le temps aussi où Henri Plantagenêt et Philippe Auguste, tout occupés à se faire la guerre, détournaient leurs regards du Saint-Sépulcre. C'est dans ce temps-là qu'un jeune seigneur du Rouergue, Guilhern d'Encausse, était fait chevalier et héritait du serment de son père: se croiser. Il quittait sa femme, ses enfants et ses pauvres terres d'entre Larzac et Cévennes, prenait le chemin de l'Orient.
Elise ou la vraie vie
L’histoire se passe en France pendant la décennie de la guerre d’Algérie : Élise, jeune Bordelaise rêvant de « vraie vie », monte à Paris, trouve un travail dans une usine et y rencontre Arezki, un Algérien, dont elle s’éprend. Publié à une époque où monte la contestation, le roman a été remarqué par la justesse de sa description socioculturelle, notamment du monde ouvrier et des relations entre Français de métropole et d’Algérie. Situé pendant la guerre d’Algérie, il évoque leurs relations en France pendant une guerre non admise comme telle (les journaux, la radio, la télévision parlaient des « événements » d’Algérie), les tensions, la peur du FLN, les rafles. En combinant vie quotidienne et histoire d’amour, Claire Etcherelli révèle le climat de xénophobie dans la France de cette époque, visible dans tous les milieux. Le récit est en partie autobiographique, son auteur ayant été ouvrière.