
A Londres, la tour de la Terreur était un lieu d’emprisonnement et de tortures. Sue et son frère Eddie ont très envie de la voir de plus près. Mais au cours de leur visite guidée, ils s’égarent et se retrouvent face à un personnage menaçant aux allures de bourreau. Sortiront-ils indemnes de cette sinistre prison ?
À 12 ans, Gideon voit son père, un scientifique travaillant pour le gouvernement, se faire abattre sous ses yeux. À 20 ans, Gideon est au chevet de sa mère, qui lui révèle que son père n’était pas le traître que tout le monde croyait, mais qu’il fut la victime d’un complot d’État. À 32 ans, Gideon est enfin en paix avec lui-même. Il a exaucé les derniers souhaits de sa mère qui, sur son lit de mort, lui avait soufflé : «L’heure de la revanche a sonné…» Il vient enfin d’éliminer l’assassin de son père, un ancien général haut gradé… Une officine travaillant pour la CIA a suivi ses «exploits.» Elle connaît de surcroît son passé de cambrioleur et sa maîtrise des nouvelles technologies. Elle le contacte alors pour lui confier une mission aussi secrète que dangereuse…
Derniers adieux
Est-ce parce quelle attend un enfant que lagent du FBI, Kimberly Quincy, se sent particulièrement concernée par le récit incroyable et terrifiant dune prostituée enceinte ? Depuis quelques temps, elles sont plusieurs à avoir disparu dAtlanta sans explication, comme évaporées, et Kimberly est bien la seule à sen préoccuper. Un serial killer sattaquerait-il à ces filles vulnérables ? Aurait-il trouvé la clé du meurtre parfait ou sagit-il de crimes imaginaires ?
Sans le savoir, la jeune femme senfonce dans le piège tendu par un tueur qui samuse à rendre bien réel le cauchemar qui hante la plupart des femmes. Comme pour sa mère et sa sur, victimes autrefois dun tueur en série, le temps des derniers adieux est peut-être arrivé pour Kimberly…
L’homme aux cercles bleus
« Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ? » Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu: trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon… Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de, mauvais augure. Il le sait, il le sent: bientôt, de l’anodin saugrenu on passera au tragique. Il n’a pas tort. Un matin, c’est le cadavre d’une femme égorgée que l’on trouve au milieu d’un de ces cercles bleus.
Le Monastère oublié
Avec cette nouvelle aventure de Cotton Malone, Steve Berry tisse une toile machiavélique autour du secret ésotérique le mieux gardé de la République populaire de Chine.
1974, province du Shaanxi. En creusant un puits, des paysans trouvent d’étranges statues enterrées. Appelés sur place, des archéologues mettent alors au jour l’incroyable mausolée de Qin, premier empereur de Chine, qui s’étend sur 56 kilomètres carrés et renferme une armée de 7 000 soldats et chevaux en terre cuite, gardiens du tombeau.
Plus de trente-cinq ans plus tard, le contenu exact du tombeau n’a toujours pas été rendu public par les autorités chinoises, qui, aujourd’hui encore, interdisent l’accès de ce site archéologique pourtant unique au monde.
2012. Cotton Malone reçoit un e-mail inquiétant : son amie Cassiopée Vitt a été kidnappée après avoir dérobé un objet d’art très rare. Les quelques indices dont il dispose le conduisent vite au beau milieu de la Chine. C’est le début d’une aventure passionnante qui va le mener sur la piste des mystères du mausolée de Qin, puis, à la frontière sino-pakistanaise, au cœur d’un monastère oublié, perdu dans les montagnes, siège d’une confrérie secrète.
« Avec ses thrillers palpitants, Steve Berry fait preuve d’un véritable don pour entrelacer le présent et l’histoire de la manière la plus intrigante qui soit. »
Le passager
Je suis l’ombre. Je suis la proie. Je suis le tueur. Je suis la cible. Pour m’en sortir, une seule option : fuir l’autre. Mais si l’autre est moi-même ?…
« Grangé a le chic, en construisant avec une minutie d’horloger son intrigue au long cours, de rendre crédible ce que son imagination débordante invente de façon totalement débridée. Bravo l’artiste ! » Blaise de Chabalier, Le Figaro littéraire.
Diaboliquement construit suivant le principe des poupées russes, « Le Passager » se dévore avec un mélange d’effroi et de jubilation.
Grangé explore la frontière ténue qui sépare la raison de la folie. Celle floue entre le bien et le mal. Il nous entraîne vers des abîmes d’autant plus angoissants qu’il les a puisés dans l’ordinaire – à peine exagéré – de la société contemporaine et ses dérives.
Le rituel de l’ombre
Rome, avril 2005. Une archiviste du Grand Orient est assassinée lors d’une soirée à l’ambassade de France, suivant un rituel qui évoque la mort d’Hiram, fondateur légendaire de la franc-maçonnerie. À Jérusalem, en possession d’une énigmatique pierre gravée subit un sort similaire.
Le commissaire Antoine Marcas, maître maçon, et son équipière, Jade Zewinski, qui abhorre les « frères », se trouvent confrontés aux tueurs implacables d’une confrérie nazie occulte, la société Thulé, adversaire ancestrale de la maçonnerie.
Ethique (Ed.1907)
L’Éthique est une œuvre philosophique de Spinoza rédigée en latin entre 1661 et 1675, publiée à sa mort en 1677 et interdite l’année suivante. Il s’agit sans doute de son ouvrage le plus connu et le plus important : son influence, entre autres sur les penseurs français, va grandissant depuis les années 1930.
La réflexion suit un cheminement qui part de Dieu pour aboutir à la liberté et la béatitude. Son projet relève ainsi de la philosophie pratique car le philosophe invite l’homme à dépasser l’état ordinaire de servitude vis-à-vis des affects pour s’émanciper et à connaître le bonheur au moyen d’une connaissance véritable de Dieu, identifié à la nature, et de la causalité. Il récuse la notion de libre arbitre, conjuguant un déterminisme causal intégral et la possibilité de la liberté.
Le texte est réputé d’un abord difficile en raison de son écriture qui s’apparente davantage à un traité mathématique à la manière des Éléments d’Euclide qu’à un essai littéraire. Comme son titre complet l’annonce, l’Éthique se veut « démontrée suivant l’ordre des géomètres », c’est-à-dire à la manière des mathématiques.
Dialogues désaccordés
Combat de blancs dans un tunnel
Mais de cette confrontation est née une réflexion passionnante et musclée sur les mutations sociétales que nous vivons sans vraiment prendre le temps de les analyser pour mieux les comprendre. Au travers ces deux regards, nous suivons les subtilités de chacun pour expliquer différents sujets aussi variés (quoique !) les affaires DSK, la dégradation du débat intellectuel, le mariage pour tous, la politique de gauche, le triomphe du capitalisme absolu, la mondialisation, Hugo Chavez, le Front national, Marine Le Pen… Chacun étayant ses propos d’une solide culture qui donne à ses Dialogues désaccordés des accents de match de boxe de légende où chacun se rend coup pour coup avec intelligence et noblesse. Avec ces échanges virils mais corrects, Naulleau et Soral redonnent un vrai sens au débat intellectuel. Chacun d’entre nous se voit amené à affronter ses contradictions et ni l’un ni l’autre ne laisse la place à une quelconque mollesse de jugement.
Le malade imaginaire
Angélique et Cléante se sont promis l’un à l’autre… Argan, père autoritaire, en a décidé autrement : sa fille Angélique épousera un médecin qui le soignera de toutes ses maladies imaginaires. Comment amener ce faux malade à se ranger du côté de l’amour vrai ? Toinette et Béralde y travaillent, mais la tâche est ardue et Argan têtu. Bibliocollège propose : • le texte intégral annoté, • des questionnaires au fil du texte, • des documents iconographiques exploités, • une présentation de Molière et de son époque, • un aperçu du genre de la comédie-ballet, • un groupement de textes : « Les comédies du quiproquo ».
Phèdre
Odieuse marâtre ! Inflexible belle-mère ! Hippolyte, beau-fils maudit, en sait quelque chose… Son prénom, même, est banni du royaume ! Mais que cache Phèdre sous cette cruelle apparence ? Quel secret ? Quel mystère ? Maintenant, elle se meurt. Serait-ce l’inquiétude qui la ronge alors qu’elle est sans nouvelles du roi depuis des mois ? De quel mal souffre-t-elle ? L’issue semble fatale et ressemble étrangement à une délivrance ! Si seulement les dieux pouvaient l’apaiser… Hélas ! Eux-mêmes sont impuissants. Et puis, à tant les solliciter, ne risque-t-on pas d’attiser leur colère ? La tragédie est en marche…
Qui es-tu ?
Alors qu’elle vient d’enterrer son père, Tommie est contactée par une femme dont la fille a été kidnappée il y a trente-et-un ans et qui prétend… être sa mère. La vie de la jeune femme repose-t-elle depuis toujours sur un mensonge ? Lancée dans une quête d’identité et de vérité, Tommie se plonge dans un passé qu’elle découvre parsemé de cadavres. Bientôt elle est traquée par des individus prêts à tout pour la contraindre au silence… Notre pouls bat au rythme de celui de l’héroïne dans ce thriller mené tambour battant. Un premier roman percutant !
Dans mes yeux
Johnny Hallyday existe dans nos vies, dans nos imaginaires, dans notre patrimoine depuis plus d’un demi-siècle. Il agace, il passionne, il divise, il galvanise, jamais il ne laisse indifférent. Il est notre seule star. Sagan, Duras, Labro, Rondeau se sont penchés sur Johnny Hallyday. Les mythes vivants sont rares et les écrivains sont des vampires. Quand l’idée de ce livre nous est venue, j’ai su que c’était important pour moi. Mes névroses de femme et d’auteur sont réunies en ce seul homme. La dualité, l’immortalité, la vie, le temps qui passe, le talent, les passions, les blessures. Le livre sera écrit à la première personne parce que, dans ce livre, c’est ma façon de raconter qui compte, pas moi. Je prends un plaisir fou à me glisser dans sa peau, à emprunter sa voix, à chercher le bon ton. Nous avons déjà passé des semaines ensemble, et ça durera plus d’une année. Nous avons partagé et partagerons des moments d’intimité, le trac avant la scène, des dîners, des souvenirs. Il parle avec plaisir. On se tait aussi. Je ne le bouscule jamais. Il me dit ce qu’il veut bien m’avouer et Johnny est à un moment de sa vie où il a beaucoup à dire. Amanda Sthers Après bien des blessures et des combats, Johnny a décidé, à 69 ans, de tout dire et de se livrer sans fard, mais à une seule personne : Amanda Sthers.
Un sentiment plus fort que la peur
Dans l’épave d’un avion emprisonné sous les glaces du mont Blanc, Suzie Baker retrouve le document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains.
Entraîné par l’énigmatique et fascinante Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu’à toucher du doigt l’un des secrets les mieux gardés de notre temps.
Des personnages qui vous collent à la peau, un suspense haletant…
Avec ce nouveau roman, Marc Levy cisèle une histoire d’une modernité surprenante.
Ce qu’il advint du sauvage blanc
Au milieu du XIXe siècle, Narcisse Pelletier, un jeune matelot français, est abandonné sur une plage d’Australie. Dix-sept ans plus tard, un navire anglais le retrouve par hasard : il vit nu, tatoué, sait chasser et pêcher à la manière de la tribu qui l’a recueilli. Il a perdu l’usage de la langue française et oublié son nom. Que s’est-il passé pendant ces dix-sept années ? C’est l’énigme à laquelle se heurte Octave de Vallombrun, l’homme providentiel qui prend sous son aile à Sydney celui qu’on surnomme désormais le « sauvage blanc ».
Une histoire illustrée de la Commission des Affaires Africaines de l’Union Internationale du Notariat et de ses activités de 1989 à 2013.
Edité à l’occasion de son 25ème Congrès – Anniversaire à LOME (TOGO) en Novembre 2013
Daniel-Sédar Senghor a tenu à réunir ses archives personnelles et ses souvenirs pour en graver la mémoire dans le marbre de cet ouvrage.
Un avion sans elle
Qui est » Libellule « , ce nourrisson unique rescapé d’un crash d’avion ? La réponse viendra, dix-huit ans plus tard… 23 décembre 1980. Un crash d’avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ? Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu’il s’apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu’il referme aussitôt, assassiné. Il ne reste plus à Émilie qu’un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité… » Un événement… Machiavélique… Une merveille de chez merveille. Une révélation. Vraiment, allez-y ! C’est énorme ! » Gérard Collard
Ils arrivaient en foule devant les grilles du Château qui tremblaient sous leurs coups. Il y avait des vieux, des jeunes, des hommes et des femmes, des employés, des paysans, des professeurs, des lycéens, des juges, des médecins, des précaires, des furieux, des chômeurs, des indignés et des fatigués. Sa Majesté demanda ce qu’ils criaient. Le cardinal de Guéant, qui avait l’oreille fine, lui répondit : « Ils crient : Dégagez, Sire ! »
Le silence des loups
Non loin de Chamonix, dans une ferme isolée au cœur de la montagne, trois cadavres sont découverts. L’un d’entre eux, un vieillard portant un tatouage des camps de concentration, a eu la langue tranchée. Au même moment, Daniel Dernemont, quinquagénaire qui s’est toujours cru orphelin, se découvre une famille. Un frère jumeau, d’abord, et puis… des parents ? À la poursuite de son passé, il va croiser la route de Matthieu Guillaume, le jeune lieutenant chargé de l’affaire de Chamonix, et se retrouver pris avec lui dans un engrenage aussi dangereux qu’implacable. Meurtres, complots, course effrénée contre la mort, la vérité a toujours un prix.
Vendanges sanglantes au cœur du Chianti
Tout se déroulait à merveille pour Frank Gatow : il avait décroché un reportage photo en Toscane, dans les vignes du Chianti, la lumière était magnifique, sa fille ne tarderait pas à la rejoindre pour profiter de quelques jours de vacances, et il s’initiait à la dégustation de vin… Jusqu’au jour où Gatow se fait brutalement agresser alors qu’il photographie un domaine dont le propriétaire et son fils disparaissent sans laisser de traces. Immédiatement soupçonné par les carabinieri, le photographe remarque des coïncidences étranges et se lance à la recherche des meurtriers, qu’il est le seul à pouvoir identifier. A moins que…Pourquoi a-t-il menti sur les circonstances de son agression ? Pourquoi n’y a-t-il jamais de témoins pour corroborer ses dires ?
Qu’est-ce qui pousse Stéphane, seize ans, issu d’une famille ordinaire, à se convertir à l’islam et à se radicaliser ? Pourquoi Assya, élevée laïquement en France, décide-t-elle de porter le niqab et de s’inscrire sur un site de rencontres communautaires ? Que part chercher Abou Hamza dans les montagnes afghanes ?… Un juge, l’un des meilleurs spécialistes des filières islamistes, nous fait pénétrer au cœur du « Jihad individuel ». Illustrant ses propos théoriques par des récits, il se met dans la peau d’apprentis terroristes, pour tenter de comprendre leur progression insidieuse vers la déraison. Car les « petites histoires du terrorisme » nous en apprennent bien plus que tous les discours dogmatiques.
Serment d’Automne
Guillaume, brillant architecte, met momentanément de côté sa carrière pour se rendre au chevet de son jumeau, Robin, gravement malade.
Ce qui devait n’être qu’un court séjour s’éternise au fur et à mesure que les problèmes s’accumulent : le paysan chargé des vignes familiales menace de partir et la femme de Robin, enceinte, ne s’en sort plus.
L’arrivée de Ralph, le fils rebelle de Guillaume, qui vient de lui voler sa fiancée, ne va pas arranger les choses…
Un blanc dramatiquement blanc
Voici le récit exceptionnel de 55 années d’existence hors norme en Afrique Noire francophone d’un Français autodidacte devenu patron de presse (Afrique Sport, Afrique Médicale, Africa International, Editions Chaka…), proche de plusieurs Chefs d’Etat alors que d’autres l’auraient volontiers pendu. Voici un regard frondeur sur l’Afrique, ses élites, ses mœurs, sans retenues ni déférence, sans préjugés ni parti pris. Le récit fourmille de faits inédits, de péripéties drôles et fâcheuses.
Corruption
Un labyrinthe de fausses pistes, une plongée fascinante dans l’atmosphère sulfureuse et violente de l’Angleterre des Tudors, une nouvelle enquête de tous les dangers pour le brillant avocat bossu Matthew Shardlake.
Été 1545, Alors que le pays se prépare à repousser les troupes françaises, Matthew Shardlake se voit confier une mission délicate par la reine : enquêter sur l’étrange suicide de Michael Calfhill. Fils d’une fidèle suivante, ce précepteur a été retrouvé pendu après avoir déposé plainte contre les Hobbey, un couple chargé de protéger les biens de son ancien élève Hugh Curteys. Mais de quelles « monstruosités » Hugh aurait-il été la victime ? Et pourquoi le troublant jeune homme se montre-t-il si peu concerné par cette affaire ? Avec acharnement, et au péril de sa vie, Matthew entreprend de sonder les odieux secrets des Hobbey.
À leur suite, c’est toute la corruption des institutions que l’avocat va mettre au jour. Et dans un royaume régi par le pouvoir et l’argent, certains sont prêts à tout pour conserver leurs privilèges…
Dans « Je ne suis pas un serial killer », le jeune John Wayne Cleaver était la proie de pulsions effrayantes et redoutait de devenir un tueur en série. Aujourd’hui il n’a plus de doutes : un assassin, qu’il a surnommé Mr. Monster, sommeille en lui, susceptible de se réveiller à tout instant. Ce qui, étrangement, n’a pas que des mauvais côtés. Sans Mr. Monster John n’aurait jamais pu débarrasser sa petite ville du tueur qui y sévissait. Mais à présent il n’est plus du tout sûr de pouvoir maîtriser son côté obscur. D’autant qu’autour de lui nombreux sont les importuns qui mériteraient d’avoir affaire à Mr. Monster. Sans compter ces nouveaux cadavres qui apparaissent aux quatre coins de la ville et cet inspecteur du FBI qui commence à sérieusement le suspecter d’être impliqué dans les meurtres. Il va ainsi devenir de plus en plus difficile de ne pas laisser les rênes à ses démons. Plaisir coupable auquel il serait tragique de prendre goût…
Dan Wells dynamite de nouveau tous les clichés du thriller pour nous offrir une seconde nuit blanche aux côtés d’un des monstres les plus attachants qu’il nous ait été donné de rencontrer depuis longtemps.
La soeur de l’ombre
Lorsqu’Alex, jeune étudiante et fille unique, perd ses parents dans un accident de voiture, elle se croit seule au monde. Mais le testament lui révèle l’incroyable secret de sa mère: alors qu’elle était au lycée, elle a donné naissance à une petite fille mise en adoption par la suite.
Obéissant aux dernières volontés de sa mère, Alex part retrouver sa demi-soeur Dory… et découvre que celle-ci est en prison pour avoir tué la fille de sa famille adoptive. Dory se dit innocente et, décidée à la croire, Alex mène l’enquête.
Mais peut-elle réellement faire confiance à celle dont elle ignore tout? Lorsque sa propre vie est mise en danger, Alex doit lutter de plus belle contre les doutes et les lourds secrets du passé…
Volte-Face
Grand avocat de la défense, Mickey Haller est bien surpris lorsque le procureur du comté de Los Angeles le prie un jour de plaider pour l’accusation. Et l’affaire n’est pas des moindres. Incarcéré depuis vingt-quatre ans pour le meurtre d’une fillette, Jason Jessup vient d’être libéré sous caution, le tribunal ayant conclu à la nécessité d’une révision de son procès suite à un test ADN qui semble l’innocenter. Haller est sûr que Jessup est coupable et prend Harry Bosch comme enquêteur et son ex-épouse, Maggie McPherson, comme assistante. En face de lui, l’avocat Clive Royce, dit «l’astucieux, » et des médias tout excités par ce procès : quoi de plus sensationnel qu’un tueur innocenté par son ADN ?
À ceci près que Jason Jessup, qui parade devant les médias le jour, se livre à d’étranges activités la nuit.
Arrive un vagabond
C’est au cours de l’été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg, chargé de deux valises – l’une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l’autre une importante somme d’argent. Charlie y tomba deux fois amoureux. D’abord, il s’éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d’un Dieu qu’ils avaient toutes les raisons de juger plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d’autres : il n’y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg. La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass. Après Féroces et Une femme simple et honnête, Robert Goolrick dépeint, avec Arrive un vagabond, les membres d’une communauté face à une tragédie en marche ; des hommes et des femmes ordinaires, partagés entre la terreur de ce qu’il va advenir de leur fils préféré et la fascination devant les événements qui écriront le souvenir de leurpassage sur terre dans la poussière des siècles.
Arguments d’un désespoir contemporain
Dernier homme, déclin de l’Occident, meilleur des mondes, règne de la quantité, de la technique, crise de la culture, homme unidimensionnel, société de consommation ou du spectacle, désenchantement du monde, ère du vide, de l’éphémère ou du moindre mal, condition postmoderne, homo festivus, etc. Comment, après tant de formulations heureuses mais récupérées par le culturel et l’antiracisme, et sans tomber dans la nostalgie, comment nommer ce monde nouveau, ce cauchemar posthumaniste, ce totalitarisme light ? Peut-être est-il trop tard. Au moins ne serons-nous pas dupes d’une stratégie globale qui inscrit le monde dans une horizontalité toujours plus large et fade, dépourvue de relief, de hiérarchie, de verticalité, de goût, de mémoire.
Autant d’arguments en faveur d’un désespoir qui soit un surcroît de lucidité.
La liste de Freud
1938 : l’Allemagne nazie s’apprête à envahir l’Autriche, les Juifs cherchent à fuir par tous les moyens.
Alors qu’on lui délivre des visas pour l’Angleterre, Sigmund Freud est autorisé à soumettre une liste de ceux qu’il souhaite emmener avec lui.
Figurent sur cette liste, entre autres, son médecin et ses infirmières, son chien, sa belle-soeur, mais pas ses propres soeurs. Tandis que le père de la psychanalyse finira ses jours à Londres, toutes les quatre sont déportées dans le Camp de Terezin.
Adolfina, la soeur préférée de Freud, âme sensible et douée, enfant mal aimée, femme condamnée à la solitude, raconte : l’enfance complice avec son frère adoré, ses aspirations dans cette Vienne de fin de siècle, pleine du bouillonnement artistique et intellectuel, son amour déçu pour un camarade d’université, l’éloignement d’avec son génie de frère, sa rencontre avec Klara Klimt dans un hôpital psychiatrique, son rêve de Venise, sa blessure familiale…
Le 24 décembre, dans un palace déserté de Montréal, Martin Ladouceur, célibataire endurci, s’apprête à passer le pire réveillon de sa vie. Avec pour seule compagnie un concierge protocolaire, un groom débutant et une femme de chambre timide, l’ex-légende du hockey canadien se retrouve, en prime, au régime sec, sans strip-teaseuses ni grands crus. Mais, contre toute attente, en cette nuit de Noël, un petit bonhomme va lui offrir le plus beau des cadeaux. Et, comme par magie, la terreur des patinoires découvrira un sentiment qu’il ignorait jusqu’alors.
Au pays des pierres de lune
A partir de 13 ans – Quand il neigeait à Boulogne, tous les Russes de l’immeuble étaient heureux. C’était la fête. Ma grand-mère débarquait dans ma chambre à sept heures du matin. « Debout là-dedans ! hurlait-elle. Regarde ! » Elle ouvrait les volets d’un geste magistral pour me montrer le ciel blanc. « Il neige ! Habille-toi ! Vite ! » Babou n’était pas une grand-mère ordinaire. Elle me racontait que les yeux des filles, en Russie, brillaient comme le reflet de mille pierres de lune dans la nuit. Les garçons les aimaient, ils les embrassaient, puis ils les oubliaient. C’est l’hiver de mes treize ans qu’à mon tour j’allais découvrir l’amour. Il s’appelait Boris. Il avait les yeux bleus et quelque chose au milieu qui me donna envie d’y plonger.
Mort ou Vif (1)
Le retour de Tom Clancy après 7 ans d’absence. Un suspense époustouflant plusieurs mois en tête des ventes aux U.S.A. – Le Campus : une organisation secrète, créée sous l’administration du Président Jack Ryan, chargée de traquer, localiser et éliminer les terroristes. Et tous ceux qui les protègent.
– Son pire ennemi : l’Émir, un tueur insaisissable, qui a programmé la destruction de l’Occident.
– Ses hommes : Jack Ryan Jr et ses cousins, plus quelques recrues de choc.
– Leur mission : prendre L’Émir. Mort ou vif !
– Nº1 des ventes aux U.S.A., « Mort ou vif » signe le retour tant attendu du maître incontesté du techno-thriller. Comme toujours parfaitement informé des enjeux politiques et militaires les plus secrets de la planète, l’auteur d’ « À la poursuite d’Octobre rouge » s’y montre d’une prescience troublante, à l’instar du terrifiant « Sur ordre » qui avait anticipé cinq ans à l’avance l’attentat du 11 septembre 2001.
Le soleil à mes pieds
Il y a la petite, 22 ans, un âge comme deux cygnes posés sur un lac. Fragile et ravissante, elle peine à se jeter dans le grand monde et se réfugie dans la solitude de son appartement.
La grande, 24 ans, s’agite dans la ville : nymphomane, tyrannique et machiavélique, fascinée par la mort, elle se nourrit de la dépendance affective qu’elle impose à sa cadette.
Deux sœurs qui ont grandi avec un terrible secret et qui, dix-huit ans plus tard, se démènent pour tenter d’exister.
Le sort semblait avoir scellé leur destin, mais les rencontres quelquefois peuvent rebattre les cartes.
le soleil à mes pieds est, avant tout, l’histoire d’une résurrection.
Un voyage low-cost… dans une armoire Ikea! Une aventure humaine incroyable aux quatre coins de l’Europe et dans la Libye post-Kadhafiste. Une histoire d’amour plus pétillante que le Coca-Cola, un éclat de rire à chaque page mais aussi le reflet d’une terrible réalité, le combat que mènent chaque jour les clandestins, ultimes aventuriers de notre siècle, sur le chemin des pays libres.
Il était une fois Ajatashatru Lavash Patel (à prononcer, selon les aptitudes linguales, « j’arrache ta charrue » ou « achète un chat roux »), un hindou de gris vêtu, aux oreilles forées d’anneaux et considérablement moustachu.
Profession: fakir assez escroc, grand gobeur de clous en sucre et lampeur de lames postiches. Ledit hindou débarque un jour à Roissy, direction La Mecque du kit, le Lourdes du mode d’emploi : Ikea, et ce aux fins d’y renouveler sa planche de salut et son gagne-pain en dur: un lit à clous.
La petite marchande de souvenirs
Dans une Hanoï endormie qui commence à peine à s’ouvrir au monde, Julien, jeune médecin français qui n’a connu ni guerre ni révolution, découvre chaque jour un peu plus un peuple marqué par l’histoire. Aux abords du lac de l’Épée, il croise souvent Lumière d’Automne. La jeune fille tente de nourrir sa famille en vendant des souvenirs aux touristes. Malgré tous les interdits qui les séparent, une complicité naît entre eux.
Mais Julien retrouve aussi une ancienne collègue, Clea, qui rêve d’un avenir avec lui. Peu avant Noël, une mystérieuse épidémie se déclare …
Vivre un grand amour, rester en vie, ne jamais reculer, Julien n’est pas sûr d’y parvenir, mais il a appris de son père à toujours choisir la voie difficile, qu’il pense être celle du bonheur.
Debout les morts
Un hêtre peut-il apparaitre en une seule nuit sans que personne l’ait planté ? Oui. Chez la cantatrice Sophia Séméonidis; et elle n’en dort plus. Puis elle disparaît sans que cela préoccupe son époux. Après une série de meurtres sinistres, ses trois voisins « dans la merde », aidés par l’ex-flic pourri Vandoodler, découvriront les racines du hêtre, vieilles de quinze ans, grasses de haines et de jalousie. On retrouve les qualités et l’humour de l’auteur de Ceux qui vont mourir te saluent (éd.Viviane Hamy, 1994) que la presse a largement salué. Fred Vargas est archéologue. Son roman L’Homme aux cercles bleus a obtenu les Prix du Festival de Saint-Nazaire en 92.
Le dernier Lapon
Depuis quarante jours, la Laponie est plongée dans la nuit. Dans l’obscurité, les éleveurs de rennes ont perdu un des leurs. Mattis a été tué, ses oreilles tranchées – le marquage traditionnel des bêtes de la région. Non loin de là, un tambour de chaman a été dérobé. Seul Mattis connaissait son histoire. Les Lapons se déchirent : malédiction ancestrale ou meurtrier dans la communauté ? Journaliste depuis 1986, Olivier Truc vit à Stockholm depuis 1994 où il est le correspondant du Monde et du Point, après avoir travaillé à Libération. Spécialiste des pays nordiques et baltes, il est aussi documentariste pour la télévision. » Ambiance polaire, traditions religieuses et querelles d’éleveurs, le Français Olivier Truc réussit un étonnant thriller qui n’a rien d’une promenade exotique. »
Télérama
Empreint de réalisme magique et d’un souffle inspiré des sagas islandaises, L’homme qui savait la langue des serpents révèle l’humour et l’imagination délirante d’Andrus Kivirähk.
Le roman qui connaît un immense succès depuis sa parution en 2007 en Estonie, retrace dans une époque médiévale réinventée la vie d’un homme qui, habitant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l’emporter.
Grand Prix de L’Imaginaire 2014
L’inconnue de Birobidjan
1950, New York.
Après Orson Welles et Arthur Miller, McCarthy et son équipe interrogent une certaine Maria Apron, 37 ans, actrice. Elle est accusée d’être entrée en Amérique avec un faux passeport et d’avoir assassiné un agent secret de l’OSS en Union sovétique. Pour se défendre, Maria Apron n’a que ses souvenirs. En actrice consommée, elle va, telle Shéhérazade, les distiller à ses accusateurs au cours des cinq journées que dure son interrogatoire.
Devant une cour médusée elle raconte sa vie pour sauver sa tête. Elle commence par une révélation scandaleuse : oui, elle a connu Staline ; elle a même été sa maîtresse ! Et cette histoire a détruit tous ses rêves. Car, pour lui échapper, Marina Gousseiev (c’est son vrai nom), talentueuse actrice moscovite, se fait passer pour juive et se réfugie au Birobidjan, Etat juif autonome créé par Staline le long du fleuve Amour.
Là, elle devient la maîtresse d’un espion américain qu’elle sauve du Goulag, avant de fuir aux Etats-Unis, où, ironie de l’histoire, McCarthy l’accuse d’espionnage… Avec Marina, on traverse une période extrêmement trouble de la Seconde Guerre mondiale et de l’immédiat après-guerre. De 1932 à 1950, on la suit de Moscou au fleuve Amour, du Goulag aux tribunaux de New York, passant du monde russe au monde yiddish, puis américain.
On vit la bataille de Moscou, la domination perverse de Staline sur son propre peuple, y compris les Juifs. On approche de l’intérieur certains faits de guerre méconnus, ainsi que l’épouvantable réalité du Goulag… On apprend l’existence d’un monde juif insoupçonné pendant la Seconde Guerre mondiale. Un monde d’une richesse intellectuelle étonnante, où le théâtre joue un rôle capital. L’Inconnue de Birobidjan : un panorama inédit de l’histoire contemporaine, une héroïne digne de Pasternak, et l’histoire incroyable de cette région juive autonome, le Birobidjan, personnage à part entière du roman.
La dette odieuse de l’Afrique – Livre neuf
Comment l’endettement et la fuite des capitaux ont saigné un continent – Léonce Ndikumana et James K. Boyce démasquent les liens intimes entre les prêts étrangers et la fuite des capitaux. Plus de la moitié de l’argent emprunté par les gouvernements africains dans les dernières décennies a « fuit » dans la même année, une partie importante étant déposée dans des comptes privés dans les mêmes banques qui ont fourni les prêts. Entre-temps, le service de la dette continue à drainer les ressources rares de l’Afrique, réduisant ainsi les fonds disponibles pour la santé publique et d’autres besoins de base. De façon provocatrice, les auteurs proposent que les gouvernements africains devraient répudier ces « dettes odieuses » dont leur peuple n’a tiré aucun avantage et que la communauté internationale devrait aider dans cet effort.
Vice et versailles
Au palais des monarques, le drame est roi : assassinats, forfaits en tous genres, règlements de comptes, empoisonnements, attentats, disparitions, duels, vols et complots hantent le domaine. Versailles, c’est la grande boutique des horreurs. Attention toutefois, l’histoire, dans la demeure de Louis XIV, a le goût du classicisme et de la bonne mesure : pas de chiens écrasés en costume d’époque, mais des machinations machiavéliques et implacables comme des tragédies grecques, des meurtres, sanglants et atroces, mais qui ne laissent pas de taches, des mystères, épais comme le velours des tentures et qui n’ont jamais été élucidés. Le palais du Roi-Soleil a aussi une part d’ombre, méconnue : plongeons en frissonnant dans son éclatante obscurité.
Princesse Sara – 6 – Bas les masques !
Alors que Pondichery est convaincu que la célèbre héritière Sara Crewe est défigurée, cette dernière travaille aux usines Delatour sous l’identité d’Émilie Saint-John. Elle imagine des automates merveilleux, dans l’espoir d’établir une relation privilégiée avec le vieil Ernest Delatour. Il faut à tout prix que ce dernier lui revende ses usines, qui autrefois portaient le nom de Crewe ! Mais Ernest ne se laisse pas attendrir facilement, contrairement à son petit-fils Léopold, qui est totalement tombé sous le charme. Pendant que les relations se nouent dans un jeu de chassé-croisé, un tigre rôde autour de la ville. Et si la simple présence de l’animal renversait les règles du jeu ?
Tome 3 – Fusion
Par amour pour Grace, Sam a décidé de quitter la meute. De rester humain plus d’un été. Pour que leur amour continue de s’épanouir. Toujours. Grace, qui a été mordue quand elle n’était qu’une enfant, est aujourd’hui devenue loup à son tour. Le destin n’aurait pu choisir pire moment pour la changer. Car alentour une spectaculaire chasse est ouverte. La fureur des habitants de Mercy Falls s’est encore déchaînée et ne cessera qu’avec le dernier loup abattu. Aidés de Cole et d’Isabel, Sam est prêt à tout pour sauver Grace et le reste de la meute. Dans un monde que semblent mener la haine et la mort, l’espoir est-il encore seulement possible ?
Encore une danse
Ils forment une bande d’amis: Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha. Ils ont grandi ensemble à Montrouge, banlieue parisienne. Ils ont habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés. Lorsqu’ils sont devenus adultes, leurs vies ont pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la réussite des uns, aux échecs des autres.
Misericordia
Dans le Berkshire et à Londres, au XVIIIe siècle. Etudiant prometteur, passionné d’anatomie, Tristan Hart a vingt ans quand il quitte sa campagne du Berkshire pour rejoindre Londres et suivre les enseignements du prestigieux chirurgien William Hunter. Pour Tristan, homme de raison et de logique, le futur de l’humanité passe par les progrès de la médecine. Et ses recherches en anatomie le rapprochent toujours davantage de la question du divin : y a-t-il un Dieu ? L’esprit gouverne-t-il le corps ?
Offering detailed, up-to-date, and original research into power-sector reform and regulation in Kenya, Tanzania, Uganda, Zambia, Namibia, and Ghana, this study is derived from a three-year peer review and learning process that involved senior executives at the electricity regulatory agencies in each of the countries. Among the individuals and institutions interviewed are energy ministers, utility chief executives, IPP chief executives, financiers, media organizations, and industry and consumer groups. The book contains an analysis of the knowledge and shared experiences gathered in Africa by African scholars. For each of the six countries highlighted, absorbing, lucid, and concise chapters discuss the historical evolution of the power sector, the development of power-sector reform policy and its implementation, the entry of IPPs and emergency electric suppliers, the performance of state-owned utilities, and independent regulation of the power sector.
Many agree that the foreign aid system – which today involves virtually every nation on earth – needs drastic change. But there is much conflict as to what should be done. In Aid on the Edge of Chaos, Ben Ramalingam argues that what is most needed is the creative and innovative transformation of how aid works. Foreign aid today is dominated by linear, mechanistic ideas that emerged from early twentieth century industry, and are ill-suited to the world we face today. The problems and systems aid agencies deal with on a daily basis have more in common with ecosystems than machines: they are interconnected, diverse, and dynamic; they cannot be just simply re-engineered or fixed. Outside of aid, social scientists, economists, business leaders, and policy makers have started applying innovative and scientific approaches to such problems, informed by ideas from the ‘new science’ of complex adaptive systems. Inspired by these efforts, aid practitioners and researchers have started experimenting with such approaches in their own work. This book showcases the experiences, insights, and often remarkable results of innovative thinkers and practitioners who are working to bring these approaches into the mainstream of aid. From transforming child malnutrition to rethinking economic growth, from building peace to reversing desertification, from rural Vietnam to urban Kenya, the ideas of complex systems thinking are starting to be used to make foreign aid more relevant, more appropriate, and more catalytic. Aid on the Edge of Chaos argues that such ideas and approaches should play a vital part of the transformation of aid. Aid should move from being an imperfect post-World War II global resource transfer system, to a new form of global cooperation that is truly fit for the twenty-first century.
