- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- A cœur perdu
- Vous ne pouvez pas ajouter un autre « Crimes à vendre » à votre panier. Voir le panier
Elizabeth Adler
A cœur perdu
A peine débarqué de son jet privé à New York, Ed Vincent reçoit quatre balles tirées à bout portant: à l’hôpital, les jours du milliardaire, mécène respecté de tous, semblent comptés. Avant de sombrer dans le coma, Ed n’a laissé qu’un seul indice, qu’un seul mot auréolé de mystère: Zelda. Une énigme qui prend rapidement le visage d’une jolie jeune femme éplorée qui ne quitte pas le chevet de son amant. Suspecte idéale, Zelda ne laisse pourtant pas le séduisant Marco Camelia indifférent… Ensemble, ils vont mener l’enquête et fouiller la vie de cet homme dont la fortune cache de tragiques événements. Ensemble, ils vont se lancer à cœur perdu dans un face-à-face surprenant avec la vérité…
Vous aimerez aussi
Adieu mon ange
Le corps d'une fillette est retrouvé sur le chemin de l'école. Pas d'indice, peu de suspects, et pourtant quelqu'un s'acharne sur Kate, cette mère meurtrie dans sa chair. Quelqu'un lui envoie de mystérieux messages informatiques. Quelqu'un achète des jouets pour une enfant disparue. L'inspecteur Harmon s'interroge : est-ce réellement du harcèlement ou les délires d'une mère en état de choc ? Dans un monde où l'ordinateur est roi, chaque visage peut se révéler être celui du coupable.
En vrille
Traumatisé par le suicide d'un collègue, Benny Griessel replonge dans l'alcool. Sa supérieure hiérarchique le protège en confiant à son adjoint Cupido l'enquête sur le meurtre d'Ernst Richter, créateur d'un site qui fournit en toute discrétion de faux alibis aux conjoints adultères. Richter faisait chanter ses clients. Est-ce là une piste ? L'analyse des relevés d'appels de son portable, l'épluchage des comptes de sa start-up, les interrogatoires de ses employés, les perquisitions ne donnent rien. Les soupçons se portent aussi sur François du Toit, un viticulteur en faillite. Rien de probant. Les Hawks sont dans l'impasse. La solution surgira, contre toute attente, de l'esprit embrumé d'un Griessel au bout du rouleau. Chaque roman de Deon Meyer aborde un sujet différent : ici, les vignobles du Cap et une technologie de pointe au service de l'enquête. Mais le facteur humain demeure déterminant et ses personnages sont plus poignants que jamais.
Court circuit
Un paquebot de luxe détourné par un psychopathe qui a court-circuité les commandes… Thorn, le taciturne antihéros de Marée rouge, ne s'attendait pas à devoir démêler un tel mystère. Pour sauver son vieil ami Sugarman, il se trouve précipité au cœur d'un imbroglio infernal : une curieuse affaire d'extorsion de fonds, une prise d'otages, un drame familial, le tout pimenté de quelques meurtres… Thorn n'aura décidément pas le temps de s'ennuyer ! D'autant plus que s'il n'intervient pas rapidement, la destination du bateau devenu incontrôlable pourrait bien être… le néant. Sexe, argent, amour et mort sur fond de secrets de famille, dans les décors sauvages de la Floride : un suspense implacable par James W. Hall, l'auteur d'En plein jour et de Bleu Floride.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.