- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- A cœur perdu
Elizabeth Adler
A cœur perdu
A peine débarqué de son jet privé à New York, Ed Vincent reçoit quatre balles tirées à bout portant: à l’hôpital, les jours du milliardaire, mécène respecté de tous, semblent comptés. Avant de sombrer dans le coma, Ed n’a laissé qu’un seul indice, qu’un seul mot auréolé de mystère: Zelda. Une énigme qui prend rapidement le visage d’une jolie jeune femme éplorée qui ne quitte pas le chevet de son amant. Suspecte idéale, Zelda ne laisse pourtant pas le séduisant Marco Camelia indifférent… Ensemble, ils vont mener l’enquête et fouiller la vie de cet homme dont la fortune cache de tragiques événements. Ensemble, ils vont se lancer à cœur perdu dans un face-à-face surprenant avec la vérité…
Vous aimerez aussi
Court circuit
Un paquebot de luxe détourné par un psychopathe qui a court-circuité les commandes… Thorn, le taciturne antihéros de Marée rouge, ne s'attendait pas à devoir démêler un tel mystère. Pour sauver son vieil ami Sugarman, il se trouve précipité au cœur d'un imbroglio infernal : une curieuse affaire d'extorsion de fonds, une prise d'otages, un drame familial, le tout pimenté de quelques meurtres… Thorn n'aura décidément pas le temps de s'ennuyer ! D'autant plus que s'il n'intervient pas rapidement, la destination du bateau devenu incontrôlable pourrait bien être… le néant. Sexe, argent, amour et mort sur fond de secrets de famille, dans les décors sauvages de la Floride : un suspense implacable par James W. Hall, l'auteur d'En plein jour et de Bleu Floride.
Adieu mon ange
Le corps d'une fillette est retrouvé sur le chemin de l'école. Pas d'indice, peu de suspects, et pourtant quelqu'un s'acharne sur Kate, cette mère meurtrie dans sa chair. Quelqu'un lui envoie de mystérieux messages informatiques. Quelqu'un achète des jouets pour une enfant disparue. L'inspecteur Harmon s'interroge : est-ce réellement du harcèlement ou les délires d'une mère en état de choc ? Dans un monde où l'ordinateur est roi, chaque visage peut se révéler être celui du coupable.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
Le condamné meurt à cinq heure
Défenseur des causes difficiles, certes, mais justes. Toujours justes. Quand maître Lejanvier sauve une tête, c’est une tête d’innocent. Maître Lejanvier a des principes. Et une réputation sans tache. Jamais il ne plaiderait pour un client qu’il jugerait coupable. C’est donc en toute bonne foi qu’il a mis son éloquence, son énergie, son prestige au service de Lazare. Et c’est en toute bonne foi qu’il a fait acquitter un meurtrier. Un meurtrier qui soudain menace de céder à un accès de remords et d’aller confesser son crime. A moins que maître Lejanvier ne consente à quelque petit sacrifice financier… Quelle ingratitude !