Barbara Haworth-Attard
Adam à tout prix
A comme Adam (j’en suis complètement dingue). B comme Bien évidemment, il ne sait même pas que j’existe…C comme Comme-si-ça-ne-suffisait-pas-j’ai-un-méga-spot-sur-le-visage-le-jour-de-la-rentrée ! D comme Dire que ma meilleure amie, elle, est super bien gaulée… E comme Et si je décidais de me relooker ? F comme Fini de complexer sur mes petits nénés. G comme Génial ! J’ai enfin trouvé un objectif pour cette année ! Message aux lecteurs non avertis : ne lisez ce livre que si vous comptez passer un moment hilarant !
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Lettres de mon moulin
Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses « Lettres de mon moulin ». La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums. Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d’œuvre de malice, de poésie et d'émotion.
Le jeu de l’amour et du hasard
Le père de Silvia (M. Orgon) souhaite que sa fille épouse le fils d’un de ses vieux amis. Mais Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père l’autorisation d’observer, sous le déguisement de sa servante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu’elle. Aussi, l’aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu’elle se rend compte qu’elle est attirée par le valet, qui lui fait une cour discrète, alors que le comportement de celui qui se présente comme son promis lui fait horreur, d’autant plus que M. Orgon, qui s’amuse de la situation, refuse d’interrompre le jeu.
Le Tartuffe
En laissant Tartuffe entrer dans sa maison, Orgon ne pouvait pas imaginer qu'il allait mettre en péril sa fortune, son honneur, son bonheur et l'unité de sa famille. Et pourtant, c'est bien à quoi travaille « l'imposteur », mais toujours à l'insu du maître de maison : si Tartuffe courtise la femme d'Orgon, c'est sous prétexte de l'entretenir de religion; s'il spolie ses enfants, c'est sous couvert de les remettre dans le droit chemin; s'il s'approprie les cordons de la bourse, c'est pour mieux organiser la dévotion familiale. Comment, dans ces conditions, Orgon aurait-il pu s'apercevoir de son aveuglement et donner au faux dévot la correction qu'il mérite? Avec Tartuffe, Molière livre une satire grinçante de toutes les hypocrisies, satire qui fait mouche et qui, 300 ans plus tard, reste toujours de mise.
À Matignon au temps de l’union de la Gauche
La lutte pour le pouvoir à la tête de l’État est de toutes les époques et de tous les régimes. Rarement, pourtant, elle avait été aussi impitoyablement disséquée par un témoin direct, par un des acteurs. On trouve dans ce livre des portraits et un foisonnement d’intrigues qui appartiennent désormais à l’histoire. Voici Rocard, Delors, Fabius, Chevènement ou Fiterman tels qu’on ne les a jamais vus, aux prises avec leurs ambitions et leurs stratégies. Au-delà des anecdotes pittoresques sur la vie quotidienne dans les palais nationaux, ce reportage tendrement ironique sur les coulisses gouvernementales est aussi le récit des relations complexes au sommet de l’État entre le président de la République, François Mitterrand, et le Premier ministre, Pierre Mauroy, la description précise des rouages de la «cohabitation» entre les deux principaux pôles de l’exécutif. Les compétences de Matignon, l’autorité de l’Élysée, sont analysées en détail. Cette chronique d’histoire immédiate est, en ce sens, un guide pour l’actualité.