Bamba Ndombasi Kufimba, Musangi Ntemo
Anthologie des Sculpteurs et Peintres Zaïrois contemporains
Belle anthologie d’artistes zaïrois .. de très belles découvertes d’artistes de qualité
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Marie Laurencin
Introduite, dès sa première participation au salon d’Automne en 1907, dans les milieux d’avant garde, autour de Picasso, Braque, Max Jacob, André Salmon, le Douanier Rousseau, puis une intime du Bateau Lavoir grâce à sa liaison avec Apollinaire, Marie Laurencin (1883-1956), assiste de très près à l’éclosion du cubisme. Ce milieu montmartrois, elle l’immortalisera à travers deux portraits de groupes dont le célèbre Apollinaire et ses amis (1912). Du cubisme elle retiendra la simplification des formes mais qu’elle adapte, avec un sens inné du portrait classique et une modernité soutenue, dans une palette en camaïeux de gris, bleus et ocres, cernés de noirs. Elle participera ainsi à la Maison cubiste, exposera aussi bien au salon qu’à l’Armory Show. Au lendemain de la Première Guerre, elle s’inscrit avec aisance dans le goût décoratif du temps, dans un genre maniériste et bientôt suave aux tons pastels, empreints de rêverie, privilégiant les sujets féminins et l’évocation de l’enfance. En même temps, elle s’affirme comme la portraitiste à la mode d’une société choisie où règnent la Baronne Gourgaud, la Comtesse Etienne de Beaumont ou Lady Cunard, entourées d’amis masculins dont Jean Cocteau (portrait de Coco Chanel, Nicole Groult) et comme décoratrice, en particulier pour les Ballets russes de Diaghilev (les Biches) et ceux de Roland Petit. Son art gagne encore en simplicité et en discrétion, réduit bientôt aux jeux des courbes et à l’alliance harmonieuse et douce des verts, des roses et des bleus. Cet itinéraire très personnel est reconstitué à travers 70 peintures et une vingtaine d’aquarelles dont la majeure partie en provenance du musée Marie Laurencin à Tokyo fondé en 1985 par Masahiro Tokano et dirigé par Hirohisa Takano-Yoshizaw. En coédition aec le musée Monet-Marmottan.
Découvrir et s’initier à la peinture sur Porcelaine
Je vous propose de découvrir et de vous initier à la peinture sur porcelaine grâce à une méthode simple et efficace basée sur la maîtrise d’un élément graphique réalisé d’un seul coup de pinceau : » la virgule « . Superposées, juxtaposées, les virgules ainsi exécutées se transformeront en fleurs et en feuilles dans un cheminement qui pourra paraître curieux, mais qui vous amènera rapidement à la composition d’œuvres originales. La technique alors maîtrisée, fruits, fleurs, oiseaux et paysages feront l’objet d’études particulières et approfondies. Vous découvrirez le bonheur de peindre, au gré de votre fantaisie le » blanc délicat » de la porcelaine, ainsi que le plaisir, sans cesse renouvelé, d’offrir de petits cadeaux personnalisés à ceux qui vous entourent. Je souhaite enfin que vous puissiez transmettre cet » Art de Passion » comme j’espère avoir su le faire modestement dans cet ouvrage. Lydie Guillem.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
L’or et la cendre – A la rencontre des Amériques – 1492
La prodigieuse aventure de Christophe Colomb en 1492 provoque une véritable révolution planétaire. Elle inaugure les traversées océaniques, révèle l’existence d’un archipel, puis d’un continent insoupçonné à l’Ouest.
Très beau livre relié, magnifiquement illustré par les photos des auteurs.
1- de découvertes en conquêtes
2- aux sources du monde précolombien
3- l apogée des amérindiens.
– 207 pages
– Cartonnage éditeur sous jaquette et étui assorti