Josette Déjean-Arrecgros
Apprendre à lire la nature
Inlassablement et toujours avec le même enthousiasme, Josette Déjean-Arrecgros poursuit son travail de pédagogue et nous fait grandir avec cet a d’éveiller tour à tour nos sens, notre intelligence et notre coeur. Il ne peut y avoir plus belle mission ni de plus beau sujet que d’apprendre à lire la nature. Extrait de la préface de Nicolas Hulot. 10 leçons pour mieux comprendre comment «fonctionne» nature : les espèces animales et végétales, le climat, les roche les sols, les écosystèmes, les chaînes alimentaires. Autant d’éléments que vous parviendrez à décrypter lors de vos promenades grâce à cet ouvrage. Un livre de base pour tous ceux qui s’intéressent à la nature Indispensable à tous les enseignants, animateurs, parents.
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Finis les régimes qui fatiguent, rendent pâles et aigris ! On peut perdre du poids sans perdre le moral. Pour le docteur Arnaud Cocaul, tout est une question de bon sens : pour maigrir, il faut manger… colorer l'assiette, manger varié, et surtout ne pas se priver. Le Plaisir sans les kilos passe au crible les différents régimes » miracles » qui se révèlent inadaptés à notre vie sociale et professionnelle et se soldent généralement par un échec. Les conseils simples et pratiques qu'il prodigue vont à l'encontre des idées reçues et nous encouragent à bouleverser nos habitudes alimentaires. Ce livre résolument novateur est une véritable bouffée d'air pour tous ceux et celles qui souhaitent se sentir mieux dans leur corps !
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
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« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »
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Côté pile, un visage d’ange et une image de rénovatrice. Côté face, une travailleuse acharnée aux méthodes de tueuse, une conception conservatrice de la famille, du travail et de l’éducation. Ségolène Royal a bien deux visages. Les auteurs, qui ont recueilli à Paris comme à Poitiers de nombreux témoignages inédits et rencontré ses proches, racontent la femme politique, appréciée pour son énergie et son volontarisme, qui séduit le grand public autant qu’elle agace les éléphants du PS. Mais aussi l’élue de Poitou-Charentes, que nombre d’anciens collaborateurs dépeignent comme autoritaire, cassante et manipulatrice. L’envolée de Ségolène Royal est due à une stratégie médiatique très calculée. Mais aussi à un événement qui a bousculé le jeu à gauche : sa victoire en 2004 aux élections régionales. Aymeric Mantoux et Benoist Simmat analysent le personnage et évaluent les atouts dont elle dispose, dressant un portrait sans concession de la première Française en mesure de devenir présidente de la République.