Matar Ndour, Oumar Ndao
Arènes Sénégalaises – Livre neuf
Livre bilingue français/anglais – Matar Ndour, photographe, montre ici les diverses facettes, aussi bien sportives que folkloriques, mystiques et populaires, qui se font jour dans un stade lors des grands combats.
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Les Rugbymen – 5 – On va gagner avec le lard et la manière
Dans le village de Paillar, le rugby est roi : même les ronds-points sont ovales ! L’équipe de Paillar n’a peur que d’une chose, c’est que des Anglais mal intentionnés transforment L’Albala-Digeo, le bar local, en salon de thé ! Pour le reste, ce ne sont pas les gnons, les beignes, les marrons et les tampons de l’équipe adverse qui feront reculer les joueurs du Paillar athletic club ! Au contraire, ils sont convaincus que les filles adorent leurs oreilles broyées ou leurs yeux pochés… Nos joueurs, Loupiote, La Couâne, L’Anesthésiste, La Teigne et Bourrichon vont vous faire pénétrer au cœur des vestiaires, des mêlées, des club-houses et des légendaires troisièmes mi-temps… Bref, au cœur de l’ovalie !
Pratique de l’équitation d’après les maîtres français
L’équitation de tradition française est le fruit d’une longue histoire débutant dans les académies équestres de la Renaissance. Inspiré par les écuyers italiens ayant créé leurs propres académies, Antoine de Pluvinel fonde la sienne en 1594 ; il est, avec Salomon de La Broue, un précurseur de cette tradition. François Robichon de La Guérinière poursuit cet enseignement au manège des Tuileries. L’équitation de tradition française se construit dans les académies qui enseignent aux jeunes nobles l’art de monter à cheval. L’accent est mis sur l’élégance dans des ballets de chevaux et des jeux équestres outre la seule capacité à chasser ou à se déplacer à cheval. Les manèges de Versailles jouent un rôle tout particulier qui permettent à l’équitation de tradition française de rayonner dans toute l’Europe sous forme de modèles d’architecture notamment là où la langue française s’imposent aux cours européennes.
Les Rugbymen – 9 – Si on gagne, c’est le gâteau sur la cerise !
A quelques jours du premier match de la saison, un gros problème se pose à nos Rugbymen : Sossatoulépla, le meilleur joueur de l’équipe adverse, n’est toujours pas là… Originaire d’Ovalialo, un petit îlot des Fidji au large de La Nouvelle-Zélande, il est tellement bien sous ses cocotiers qu’il en a oublié de rentrer en France. Pour tenter de sauver le match, les joueurs de Paillar partent à sa recherche dans ces îles lointaines et mystérieuses. De retour du Pacifique, la saison de rugby peut enfin battre son plein dans une succession de matchs et de 3e mi-temps bien arrosées…
Les Rugbymen – 2 – On ne gagne pas, on a perdu !
Dans le village de Paillar, le rugby est roi : même les ronds-points sont ovales ! L’équipe de Paillar n’a peur que d’une chose, c’est que des Anglais mal intentionnés transforment L’Albala-Digeo, le bar local, en salon de thé ! Pour le reste, ce ne sont pas les gnons, les beignes, les marrons et les tampons de l’équipe adverse qui feront reculer les joueurs du Paillar athletic club ! Au contraire, ils sont convaincus que les filles adorent leurs oreilles broyées ou leurs yeux pochés… Nos joueurs, Loupiote, La Couâne, L’Anesthésiste, La Teigne et Bourrichon vont vous faire pénétrer au cœur des vestiaires, des mêlées, des club-houses et des légendaires troisièmes mi-temps… Bref, au cœur de l’ovalie !