Matar Ndour, Oumar Ndao
Arènes Sénégalaises – Livre neuf
Livre bilingue français/anglais – Matar Ndour, photographe, montre ici les diverses facettes, aussi bien sportives que folkloriques, mystiques et populaires, qui se font jour dans un stade lors des grands combats.
Vous aimerez aussi
Les sports – Encyclopoche Larousse
Quelles sont les épreuves d'athlétisme ? Quelles étaient les épreuves des premiers jeux Olympiques ? Et quelles sont les principales disciplines olympiques aujourd'hui ? Qu'est-ce qu'une course contre la montre ? Comment s'appelle le grand Tour cycliste d'Italie ? Quelles sont les trois armes utilisées à l'escrime ? Comment compte-t-on les points au golf ? Quel est le plus grand buteur de l'histoire du football ? Comment se déroule une épreuve de biathlon ? Découvrez toutes les réponses à ces questions dans cette encyclopédie Larousse du sport de 1977.
Le Phénix – Le retour de Bernard Tapie
Alors que Bernard Tapie était en prison, pour avoir truqué un match de l’Olympique de Marseille et surtout pour s’être moqué pendant des années des lois et des magistrats, son fils Laurent, réunissant quelques journalistes, leur avait raconté une histoire à dormir debout : ce n’est pas Tapie qui avait escroqué le Crédit Lyonnais, au début des années 1990, comme tout le monde le disait alors, mais le contraire. Encore une entourloupe de l’homme d’affaires déchu ? Et pourtant, Laurent Tapie avait raison. Le 7 juillet 2008, au terme d’un véritable Everest judiciaire, un tribunal arbitral a condamné sans appel le CDR à verser 285 millions d’euros – auxquels s’ajouteront les intérêts – aux liquidateurs des sociétés de Bernard Tapie, au titre du manque à gagner et du préjudice moral. Non seulement la banque, alors publique, a capté une plus value de près de 2 milliards de francs sur la vente d’Adidas qui aurait dû revenir à celui qui était alors ministre de Pierre Bérégovoy, mais elle l’a en outre mis délibérément en situation de banqueroute, l’empêchant de briguer la mairie de Marseille…
Pratique de l’équitation d’après les maîtres français
L’équitation de tradition française est le fruit d’une longue histoire débutant dans les académies équestres de la Renaissance. Inspiré par les écuyers italiens ayant créé leurs propres académies, Antoine de Pluvinel fonde la sienne en 1594 ; il est, avec Salomon de La Broue, un précurseur de cette tradition. François Robichon de La Guérinière poursuit cet enseignement au manège des Tuileries. L’équitation de tradition française se construit dans les académies qui enseignent aux jeunes nobles l’art de monter à cheval. L’accent est mis sur l’élégance dans des ballets de chevaux et des jeux équestres outre la seule capacité à chasser ou à se déplacer à cheval. Les manèges de Versailles jouent un rôle tout particulier qui permettent à l’équitation de tradition française de rayonner dans toute l’Europe sous forme de modèles d’architecture notamment là où la langue française s’imposent aux cours européennes.
Tout seul
Début décembre, l’AFP s’est procuré des communiqués annonçant le livre « Tout seul » de Raymond Domenech : « Chaque chapitre porte les traces de son long combat de sélectionneur avec Zinedine Zidane, Nicolas Anelka, Thierry Henry ou les plus jeunes joueurs d’une génération perdue » et fait état des « heures heureuses de la Coupe du monde 2006 » (finale perdue contre l’Italie aux tirs au but) et les moments où « on sent monter les difficultés et le malaise, dont Raymond Domenech ne se détourne pas ». A 60 ans, Raymond Domenech a signé un livre sans « surprises, révélations, regrets », donc rien de très croustillant, mais un « témoignage sincère, sans langue de bois ni volonté de minimiser ses propres erreurs ». Une sorte de mea-culpa alors ? Après la défaite face à l’Afrique du Sud lors de la coupe du monde 2010, Raymond Domenech a quitté ses fonctions de sélectionneur, son contrat se terminant le 31 juillet 2010. C’est Laurent Blanc qui lui a succédé, puis, le 8 juillet 2012, Didier Deschamps a été nommé sélectionneur de l’équipe de France.

