- Home
- >
- Fantastique
- >
- Aria (03) – La septième porte
Michel Weyland
Aria (03) – La septième porte
Une fillette aux pouvoirs magiques, un chef de guerre miné par une étrange maladie vont unir leurs pouvoirs aux forces d’Aria pour franchir la septième porte et surmonter d’inquiétantes épreuves…
Vous aimerez aussi
Les aventures de Tom Bombadil
Au milieu des années cinquante, un professeur d’Oxford à l’imagination inépuisable créait une épopée fabuleuse qui allait devenir l’objet d’un culte jaloux pour toute une génération de lycéens anglais avant de conquérir le monde entier. Aujourd’hui, les lecteurs du « Seigneur des anneaux » se comptent par millions, mais ces adeptes des « Hobbits » et de leur pays des merveilles continuent à se comporter comme une secte secrète ou une maçonnerie d’initiés. Afin de faciliter l’accès des plus jeunes à son royaume fantastique, J.R.R. Tolkien publia « Bilbo le Hobbit », sésame de l’œuvre, en 1937 et, plus tard, des récits comme « Les aventures de Tom Bombadil », le joyeux drille, qui prolongent l’enchantement sur le rythme des comptines enfantines.
Duma Key
Duma Key, une île de Floride à la troublante beauté, hantée par des forces mystérieuses, qui ont pu faire d’Edgar Freemantle un artiste célèbre… mais, s’il ne les anéantit pas très vite, elles auront sa peau ! Dans la lignée d’Histoire de Lisey ou de Sac d’os, un King subtilement terrifiant, sur le pouvoir destructeur de l’art et de la création
Je vous le dis franchement : je stresse! Nous vivons vraiment clans un univers IM-PI-TOYABLE ! Prenez par exemple Jean-Claude, propriétaire, entre autres, du Cirque des Damnés, une boîte branchée des plus rentables. Eh bien, il n’est entouré que de gens qui veulent soit lui faire la peau, soit prendre sa place, voire les deux. Tous des vampires, bien sûr, avec des dents qui rayent le parquet. Vous me direz que, même s’il ale sens de l’humour, J. -C. , lui aussi est un vampire et que sa principale ambition semble être de faire de moi son esclave. Peut-être finalement devrais-je laisser les loups-garous et autres se dévorer entre eux. Et plutôt me consacrer à empêcher mes chers zombies de nuire.
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »