- Home
- >
- Fantastique
- >
- Aria (14) – Le voleur de lumière
Michel Weyland
Aria (14) – Le voleur de lumière
Aria part à la recherche de sceptres lumineux au pouvoir étrange, confiés par son père à un ami, dans son village natal. Pour les récupérer, elle devra affronter Aménophar, un terrible tyran…
Vous aimerez aussi
Le langage des pierres
Au XVe siècle, dans un pays qui ressemble aux Iles Britanniques, Will, un jeune garçon de treize ans, est arraché à ses parents adoptifs par le mage Gwydion. Ce dernier, persuadé que l'adolescent est la réincarnation d'Arthur et qu'il a le pouvoir d'épargner au pays le bain de sang qui approche, veut en faire son apprenti. Il va l'initier au langage des pierres, aux pratiques magiques, aux jeux d'adresse, à ceux de la diplomatie, et lui inculquer les rudiments de la sagesse. Car le Royaume vit une époque troublée : les pierres magiques, autrefois symbole de paix et de protection contre les invasion, ont perdu leur pouvoir. Et un sorcier, tenaillé par la soif du mal, a parié sur le chaos et la guerre afin d'assurer sa prise de pouvoir sur le monde. Gwydion et Will parviendront-ils à sauver le Royaume du désastre annoncé ?
La légion de la colombe noire – Tome I
Kennedy, dévastée par la mort de sa mère, apprend que ce drame est lié à des forces surnaturelles. Deux frères jumeaux, Jared et Lukas, qui la sauvent d’un dangereux esprit envoyé pour la tuer, lui révèlent qu’elle devra prendre la place de sa mère au sein de la Légion, une société secrète de chasseurs de fantômes dont les cinq membres ont été assassinés et dont les enfants sont les héritiers.
Duma Key
Duma Key, une île de Floride à la troublante beauté, hantée par des forces mystérieuses, qui ont pu faire d’Edgar Freemantle un artiste célèbre… mais, s’il ne les anéantit pas très vite, elles auront sa peau ! Dans la lignée d’Histoire de Lisey ou de Sac d’os, un King subtilement terrifiant, sur le pouvoir destructeur de l’art et de la création
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.