Lorenz Homberger, Jean-Paul Colleyn
Bamana – Un art et un savoir-vivre au Mali
Bamana, Un art et un savoir-vivre au Mali est le catalogue officiel de l’exposition du Museum Rietberg (Zürich) et du Museum for African art (New York). 263 pages ; 234 illustrations (masques et statues) en couleur, 50 photographies de terrain.
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Petites histoires de mon ShowBiz
En plus de 40 ans d’émissions de radio et de télévision, Jean-Paul Rouland a rencontré la plupart de nos grandes stars : Lino Ventura, Yves Montand, Michel Simon, Sacha Guitry, Maurice Chevalier, Simone Signoret … sans compter les histoires qu’on lui a rapportées, toutes aussi savoureuses les unes que les autres. Avec son talent, Jean-Paul Rouland nous montre l’envers du décor et révèle des anecdotes inconnues du public. Après le succès des Petites histoires de l’histoire de France et des Mystères de l’histoire de France, ce formidable conteur nous plonge dans l’univers du show-business et nous fait connaître des personnalités attachantes comme Pierre Mondy, Antoine Blondin, Léon Zitrone, Raimu, Henri Salvador, Jean Richard ou Elvire Popesco.
Esprit Kachina
ESPRIT KACHINA – Edition bilingue (anglais/français)
Poupées, mythes et cérémonies chez les Indiens Hopi et Zuni
Textes Français-Anglais de B. Wright, P. Amrouche, F. Ndiaye et N. Rheims
Plus de 100 poupées kachina reproduites et décrites
Poupées, mythes et cérémonies chez les Indiens Hopi et Zuni. Catalogue de l’exposition de la Galerie Flak (avril-juin 2003). Essais de Pierre Amrouche (Kachina et Surréalisme. La geste Hopi d’André Breton et ses amis) et Barton Wright (Poupées Kachina, mythes et cérémonies des Indiens Hopi). Nombreuses illustrations en couleurs.
Pour en savoir plus : www.galerieflak.com/ouvrage-esprit-kachina/
Deux heures à tuer au bord de la piscine
Victor Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte, enfin, pour la première fois… Quand Victor Lanoux trimballe sa carcasse au bord d’une piscine, d’un plan d’eau, avec même deux heures à tuer, il est permis de se poser des questions. Surtout que l’on sait que nulle caméra ne s’agite dans les parages campagnards. Et vous avez raison de trouver étrange le tête-à-tête de cet homme avec lui-même. De l’insolite, du baroque, du singulier, du jamais vu. Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte enfant, il quitte son amnésie, afin de se mettre à table et de faire une sorte de point. On croyait, certains privilégiés du moins, connaître le comédien, deviner l’homme au caractère peu malléable, voire fougueux. Il n’en était rien. Quand là, triturant ses bâtons qui l’aident à tenir debout, il nous distille les joies, les brûlures de son existence, il n’essaie pas d’enjoliver, d’apitoyer. Il est vrai, authentique, touche juste. Et, dans ces remous de la piscine, remous causés par sa canne d’homme blessé, d’homme à vif, on l’entend évoquer toutes les étapes de sa vie et se rappeler ce que lui avait dit le poète René Char : « Victor, la vie, c’est l’éclair. »
Le Film Club
Jesse est un garçon de 15 ans. Depuis quelque temps, l’école l’ennuie et ses notes dégringolent. Face à ce constat, son père, David Gilmour, va lui proposer un accord pour le moins original : Jesse pourra arrêter les cours à condition de regarder avec lui trois films par semaine. Mois après mois, le père et le fils regardent tout, des Quatre Cents Coups à Rosemary’s Baby en passant par Basic Instinct, Nikita et bien d’autres. Les films de Louis Malle, Alfred Hitchcock, Brian de Palma, Martin Scorsese, Quentin Tarantino, Federico Fellini… Grâce à leur ciné-club, ils discutent musique, travail, drogue, argent, amour et amitié. Jesse évoque ainsi ses problèmes et les partage avec son père. Le cinéma devient l’occasion pour les deux hommes de débattre, d’argumenter mais aussi de se confier et de se rapprocher.