
Le Quadrant du Cashflow
ETAT NEUF
Un guide pour atteindre la liberté financière
Le Quadrant du CASHFLOW® révèle pourquoi certaines personnes travaillent moins que d’autres, gagnent plus d’argent, paient moins d’impôts et apprennent à devenir financièrement libres.
Vous est-il jamais arrivé de vous demander :
Pourquoi certaines investisseurs font de l’argent en risquant peu alors que la plupart des autres investisseurs s’en tirent sans gains ni pertes ?
Pourquoi la majorité des employés passent d’un emploi à l’autre alors que d’autres quittent leur emploi et bâtissent des empires commerciaux ?
Que signifie pour ma famille et moi cette transition entre l’ère industrielle et l’ère de l’information ?
Comment puis-je tirer parti de cette transition et tracer ma voie vers la liberté financière ?
Le Quadrant du CASHFLOW® a été écrit pour vous si vous êtes prêt à :
Abandonner la sécurité d’emploi et à vous aventurer dans le monde de la liberté financière.
Effectuer de profonds changements dans votre vie.
Prendre le contrôle de votre avenir financier.
La suite du best-seller de Robert T. Kiyosaki, Père riche, père pauvre.
Père riche, père pauvre
ETAT NEUF
Ce que les gens riches enseignent à leurs enfants à propos de l’argent – et que ne font pas les gens pauvres et de la classe moyenne ! Père riche, Père pauvre -un livre qui…? Brise le mythe selon lequel il faut gagner beaucoup d’argent pour devenir riche.? Remet en question cette croyance voulant que votre maison est un actif.? Explique aux parents pourquoi ils ne doivent pas se fier au système d’éducation pour enseigner les rudiments de l’argent à leurs enfants.? Vous enseigne quoi enseigner à vos enfants afin qu’ils connaissent plus tard la réussite financière. ROBERT KIYOSAKI a remis en question et changé la perception de l’argent de dizaines de millions de gens partout dans le monde. Avec des opinions qui vont souvent à l’encontre de la sagesse populaire, Robert est maintenant connu pour son franc-parler, son insolence et son audace. Il est considéré à l’échelle mondiale comme un défenseur passionné de l’éducation financière. « La principale raison pour laquelle les gens sont aux prises avec des problèmes financiers est qu’ils ont passé plusieurs années à l’école, mais n’ont rien appris en ce qui concerne l’argent. Il en résulte que les gens apprennent à travailler au service de l’argent… mais n’apprennent jamais à mettre l’argent à leur service. »-
Robert Kiyosaki Père riche, Père pauvre -Le meilleur ouvrage de tous les temps en matière de finances personnelles
« Père riche, Père pauvre est un point de départ pour quiconque cherche à prendre le contrôle de son avenir financier. »
Oiseaux du Sénégal – Livre neuf
Oiseaux du Sénégal est un voyage merveilleux et très instructif du monde des espèces aviaires magnifiques qui parcourent nos eaux, terres et cieux.
Oiseaux du Sénégal se veut être une vulgarisation des connaissances scientifiques sur les oiseaux en général et sur ceux du Sénégal en particulier, destiné à tous les amoureux de la nature. Ce livre richement illustré s’adresse aussi bien au citoyen(ne) qui prend conscience de son environnement, aux jeunes étudiants d’aujourd’hui qui veulent avoir des renseignements, qu’au visiteur qui cherche simplement à reconnaître les oiseaux qu’il découvre.
Ce livre inédit propose des explications lucides, une fiche par oiseau avec les principaux signes distinctifs et quelques informations contextuelles, avec une photo originale par oiseau soigneusement pris par l’auteur, ce qui permet d’identifier chaque oiseau à coup sûr.
Jean-Marie Dupart est ingénieur agronome, photographe, passionné d’environnement et d’ornithologie. Il a parcouru les marais landais et les montagnes basques appareil en bandoulière. Au Sénégal depuis plusieurs années, il a travaillé en collaboration avec des parcs nationaux et, notamment, avec le Parc National de la Langue de Barbarie, et plus récemment avec le Parc du Djoudj.
L’Europe vieillit et se dépeuple.L’Afrique déborde de jeunes et de vie.Une migration de masse va se produire.Son ampleur et ses conditions constituent l’un des grands défis du XXème siècle.
L’Union Européenne compte aujourd’hui 510 millions d’habitants vieillissants ; l’Afrique 1’25 milliard, dont 40 pour cent ont moins de 15 an. En 2050,450 millions d’Européens feront face à 2’5 milliards d’Africains. D’ici à 2100, 3 personnes venant au monde naîtront au sud du Sahara.
L’égoïsme nationaliste et l’angélisme humaniste sont uniment dangereux. Guidé par la rationalité des faits, cet essai de géographie humaine assume la nécessité d’arbitrer intérêts et idéaux
Chandelles noires
Dans les milieux des grands lycées privés anglais, où l’on jongle volontiers avec le sophisme, il arrive aussi qu’on jongle avec des objets contondants, meurtriers… Des élèves pareils à des volées de corbeaux ou des profs en robe professorale qui soupent aux chandelles, qui a poussé l’humour noir aussi loin?
Vingt mille lieues sous les mers
Grand format – Etat neuf – Le professeur Aronnax, son domestique Conseil et le harponneur Ned Land, qui cherchaient à capturer un fantastique monstre marin, se retrouvent prisonniers du capitaine Némo, à bord de son sous-marin le Nautilus.
Quel lourd secret cache Némo pour vouloir les retenir ainsi à jamais ? C’est alors que parallèlement au fabuleux périple maritime qu’ils entament, s’engage une lutte psychologique et culturelle entre Aronnax et Némo.
À l’envoûtement créé par les aventures et les découvertes fabuleuses, s’ajoute le piment des joutes scientifiques et historiques auxquelles s’adonnent le professeur et le capitaine.
Le syndrome [E]
Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle…
Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Henebelle, lieutenant de police à Lille.
Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés…
Il n’en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko en congé forcé.
Deux pistes pour une seule et même affaire qui va réunir Henebelle et Sharko.
Des bidonvilles du Caire aux orphelinats du Canada, les deux nouveaux équipiers vont mettre le doigt sur un mal inconnu, d’une réalité effrayante et qui révèle que nous pourrions tous commettre le pire.
Ceux qui ne connaissent pas le syndrome [E] ne savent pas encore de quoi ils sont capables…
Prisonniers du paradis
Un avion qui fait un amerrissage forcé avec à son bord des sages-femmes et des bûcherons – à proximité quand même d’une île – cela n’existe que chez Paasilinna. Voici les naufragés qui s’organisent, chacun retrouvant vite ses habitudes : les Finlandais distillent de l’alcool et ouvrent le « Café de la jungle ». Les Suédoises mettent sur pied un centre de planning familial – n’oublions pas qu’il y a vingt-huit hommes et vingt-six femmes échoués sur la plage. Une plage de sable blanc bordée de cocotiers et où finalement, entre chasse, pêche et culture, la vie ne va pas être désagréable du tout. Au point que certains n’auront aucune envie de retrouver la « civilisation » quand un navire américain s’approche et que son commandant veut évacuer les joyeux naufragés. Des problèmes aigus vont alors se poser et il faudra tout l’humour de Paasilinna pour tenter de les résoudre.
Albert Camus écrivait en 1953 dans ses Carnets : « Je demande une seule chose, et je la demande humblement, bien que je sache qu’elle est exorbitante : être lu avec attention. » Pour lui rendre justice, croiser sa pensée et son existence, saluer une vie philosophique exemplaire, j’ai souhaité écrire ce livre après l’avoir lu avec attention. » (M. Onfray) Pour mettre fin à une légende fabriquée de toutes pièces par Sartre et les siens, celle d’un Camus « philosophe pour classes terminales », d’un homme de gauche tiède, d’un penseur des petits Blancs pendant la guerre d’Algérie, Michel Onfray nous invite à la rencontre d’une œuvre et d’un destin exceptionnels. Né à Alger, Albert Camus a appris la philosophie en même temps qu’il découvrait un monde auquel il est resté fidèle toute sa vie, celui des pauvres, des humiliés, des victimes. Celui de son père, ouvrier agricole mort à la guerre, celui de sa mère, femme de ménage morte aux mots mais modèle de vertu méditerranéenne : droiture, courage, sens de l’honneur, modestie, dignité. La vie philosophique d’Albert Camus, qui fut hédoniste, libertaire, anarchiste, anticolonialiste et viscéralement hostile à tous les totalitarismes, illustre de bout en bout cette morale solaire.
Un candide en Terre sainte
D’après les Évangiles, et dans sa courte vie tant cachée que publique, le Galiléen s’est rendu, sans visa ni carte d’identité, en Israël, Palestine, Jordanie, à Gaza, au Liban, en Égypte et en Syrie. Je me suis faufilé dans tous ces pays : il y faut plus d’un passeport et des détours.
Jésus pouvait traverser la mer de Génésareth, aller « au-delà du Jourdain « , et revenir le lendemain sur l’autre rive. Ce n’est plus possible.
Aussi ce voyage d’un flâneur des deux rives n’a-t-il pu s’effectuer d’un seul trait. C’est un pari que de refaire l’itinéraire de Jésus à travers le Proche-Orient d’aujourd’hui, pour observer comment juifs, chrétiens et musulmans vivent à présent leur foi.
Les surprenantes et souvent rebutantes vérités qui se dévoilent en Terre sainte ont valeur d’avertissement. Plus qu’un voyage au bout de la haine, ce carnet de route peut servir à la connaissance du monde profane tel qu’il va.
Tout à la fois témoignage, chronique et méditation, l’enquête peut dès lors se lire comme un pèlerinage au cœur de l’homme, qu’il soit croyant ou agnostique, d’ici ou de là-bas
La vallée
» Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu… » Un appel au secours au milieu de la nuit. Une vallée coupée du monde. Une abbaye pleine de secrets. Une forêt mystérieuse. Une série de meurtres épouvantables. Une population terrifiée qui veut se faire justice. Un corbeau qui accuse. Une communauté au bord du chaos. Une nouvelle enquête de Martin Servaz.
L’instant présent
Lisa et Arthur n’ont rendez-vous qu’une fois par an. Il passe sa vie à la chercher… … elle passe la sienne à l’attendre. Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d’art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate. Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n’offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l’aimer : « Ce qui m’arrive est inimaginable, et pourtant bien réel… » Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps. Un thriller psychologique vertigineux au final stupéfiant.
Soly Cissé – Réflexivité – Maturité
L important ouvrage concernant cette rétrospective présente dans un grand format et sur 200 pages une belle palette de l immense variété de création de cet artiste inspiré. Format 39 cm * 28 cm
Cet ouvrage impressionnant a été publié à l’occasion de l’exposition SOLY CISSE – REFLEXIVITE – MATURITE de 2008.
Dix années de sa vie en peinture, c’est ce que Soly Cissé a voulu livrer au public. Du 11 avril au 4 mai 2008, les cimaises du Musée d’art contemporain de l’Ifan abritent les toiles de l’artiste.
Au premier regard, un petit frisson, mélange de frayeur et de stupéfaction. L’on recule puis avance, mu par une indicible curiosité et comme happé par cet étrange décor façonné par l’artiste Soly Cissé. Il y a de la nuit dans ses oeuvres et l’action créatrice rencontre la dimension divine du geste. Car le noir, symbole de néant et d’absolu, d’obscurité aussi, délimite le vaste champ des possibles : ‘Le monde à l’origine n’était qu’obscurité.
Découvertes Gallimard n° 543 – Claude Lévi-Strauss a traversé le XXᵉ siècle en observant et en comparant les sociétés les plus variées, des Indiens d’Amérique à l’Europe occidentale, en passant par l’Inde ou le Japon. Le structuralisme, auquel son nom est attaché, est moins pour lui une doctrine qu’une «technique de dépaysement», qui permet d’élargir notre expérience à toutes les formes de l’humanité, même les plus dédaignées. Si sa réflexion est d’abord anthropologique (Les Structures élémentaires de la parenté), son œuvre est à la fois celle d’un philosophe et d’un écrivain (La Pensée sauvage, Tristes Tropiques), d’un savant et d’un esthète (Mythologiques, Regarder écouter lire). Toujours, il reste fidèle à cette pensée sauvage «bricoleuse», commune à tous les hommes, dont il a expliqué les principes et qu’il pratique lui-même en mettant en relation systèmes de parenté, mythes et arts provenant d’horizons les plus divers.
Vincent Debaene et Frédéric Keck racontent comment, à travers les bouleversements du siècle passé, s’est construit le regard éloigné que Claude Lévi-Strauss porte sur le monde. Un regard qui a profondément renouvelé notre perception de l’homme et de la culture.
Je ferai de toi un homme heureux
Norvège, 1960 : la modernité s’empare enfin des foyers et les corvées des mères de famille se voient simplifiées grâce à l’arrivée de l’eau courante, du réfrigérateur, des machines à laver… La bien nommée « Cité de l’Avenir » a su s’accorder à son époque : ici règnent – en apparence, du moins – la joie de vivre et le contrôle social. Huit familles y vivent très proches les unes des autres. Les femmes au foyer ne se gênent pourtant pas pour se critiquer mutuellement sur leur façon de se vêtir ou le mode de vie des uns et des autres. Ici, les voisines se font mutuellement leurs permanentes à domicile, ça papote dans tous les coins, et avec un peu de chance, on peut apercevoir la dame du troisième étage qui fait le ménage chez elle, chaque vendredi, complètement nue. Et voilà qu’un jour, un jeune homme se présente et propose d’installer des judas aux portes…
Entre ciel et terre
« Certains mots sont probablement aptes à changer le monde, ils ont le pouvoir de nous consoler et de sécher nos larmes. Certains mots sont des balles de fusil, d’autres des notes de violon.
Certains sont capables de faire fondre la glace qui nous enserre le cœur et il est même possible de les dépêcher comme des cohortes de sauveteurs quand les jours sont contraires. »
Parfois, à cause des mots, on meurt de froid. Comme Bardur, pêcheur à la morue islandais, il y a un siècle. Trop occupé à retenir des vers du Paradis perdu de Milton, il oublie sa vareuse en partant en mer.
De retour sur la terre ferme, son meilleur ami entame un périlleux voyage pour rendre à son propriétaire, un vieux capitaine devenu aveugle, le livre funeste. Pour savoir aussi s’il veut continuer à vivre.
Entre ciel et terre, d’une force hypnotique, nous offre une de ces lectures trop rares dont on ne sort pas indemne. Une révélation…
La fortune de Sila
Paris, juin 1995. Dans un grand restaurant, un serveur est violemment frappé par un client. Autour de lui, personne n’intervient. Ni le couple russe qui contemple cette scène avec des sentiments mêlés, ni la femme du client en colère, ni les deux jeunes gens, deux Français, venus fêter une première embauche à la banque. Une simple anecdote? Pas même un fait divers? Dans le cours des vies, aucun événement, si minime soit-il, n’est anodin. Et la brutalité de l’un, l’indifférence ou la lâcheté des autres vont bientôt se révéler pour ce qu’elles sont vraiment: le premier signe de leur déclin. De la chute du mur de Berlin à la crise financière de 2008, dans un monde façonné par l’argent, les destins croisés des acteurs de cette scène inaugurale, de l’oligarque russe au financier français en passant par le spéculateur immobilier, tissent peu à peu une toile. Et au centre de la toile, Sila, le serveur à terre, figure immobile autour de laquelle tout se meut.
Encabanée
Anouk a quitté son appartement confortable de Montréal pour un refuge forestier délabré au Kamouraska. Encabanée loin de tout dans le plus rude des hivers, elle livre son récit sous forme de carnet de bord, avec en prime listes et dessins. Cherchant à apprivoiser son mode de vie frugal et à chasser sa peur, elle couche sur papier la métamorphose qui s’opère en elle : la peur du noir et des coyotes fait place à l’émerveillement ; le dégoût du système, à l’espoir ; les difficultés du quotidien, au perfectionnement des techniques de déneigement, de chauffage du poêle, de cohabitation avec les bêtes qui règnent dans la forêt boréale? « Encabanée » est un voyage au creux des bois et de soi. Une quête de sens loin de la civilisation. Un retour aux sources. Le pèlerinage nécessaire pour revisiter ses racines québécoises, avec la rigueur des premiers campements de la colonie et une bibliothèque de poètes pour ne pas perdre le nord. Mais faut-il aller jusqu’à habiter le territoire pour mieux le défendre ?
L’hôtel des Oiseaux
1970. Une explosion a lieu dans un sous-sol, à New York, causée par une bombe artisanale. Parmi les apprentis terroristes décédés : la mère de Joan, six ans. Dans l’espoir fou de mener une vie ordinaire, la grand-mère de la fillette précipite leur départ, loin du drame, et lui fait changer de prénom : Joan s’appellera désormais Amelia. À l’âge adulte, devenue épouse, mère et artiste talentueuse, Amelia vit une seconde tragédie qui la pousse à fuir de nouveau. Elle trouve refuge à des centaines de kilomètres dans un pays d’Amérique centrale, entre les murs d’un hôtel délabré, accueillie par la chaleureuse propriétaire, Leila. Tout, ici, lui promet un lendemain meilleur : une nature luxuriante, un vaste lac au pied d’un volcan. Tandis qu’Amelia s’investit dans la rénovation de l’hôtel, elle croise la route d’hommes et de femmes marqués par la vie, venus comme elle se reconstruire dans ce lieu chargé de mystère. Mais la quiétude dépaysante et la chaleur amicale des habitants du village suffiront-elles à faire oublier à Amelia les gouffres du passé ? A-t-elle vraiment droit à une troisième chance ? Dans ce roman foisonnant, Joyce Maynard, avec la virtuosité qu’on lui connaît, emporte les lecteurs sur quatre décennies. Riche en passions et en surprises, L’hôtel des Oiseaux explore le destin d’une femme attachante, dont la soif d’aimer n’a d’égale que celle, vibrante, de survivre.
Traversée de Paris
Durant l’Occupation, deux compères entreprennent nuitamment la traversée de Paris afin de livrer un cochon découpé dans des valises. Toutefois, si le premier, Martin, est un gars honnête et courageux, le second, Grandgil, se révèle vite antipathique : il extorque de l’argent à Jamblier, le propriétaire du cochon, traite les tenanciers d’un bar de « salauds de pauvres » et assomme un agent de police. Lorsque, Martin découvre que Grandgil est un peintre aisé qui n’est là que pour s’amuser, il entre en fureur et, au cours de la bagarre qui s’ensuit, le poignarde avec son couteau. Plus tard, il se livre à la police avec un sentiment de justice accomplie.
L’Hôtel de Ville de Dakar
Etat neuf – L’Hôtel de Ville de Dakar, coeur emblématique du pouvoir municipal
C’est un lieu d’une grande portée symbolique. Dans la capitale du Sénégal (plus de 3 millions d’habitants), où se concentre 80% de l’activité économique, le symbole est peut-être encore plus fort qu’ailleurs. Car l’endroit est chargé d’histoires ; celle avec un grand « H » qui lui donne sa profondeur mais aussi une multitude de petites histoires qui en font la richesse.
Cet ouvrage raconte sa construction en 1914, évoque les différents maires qui l’occupèrent, les évènements culturels qu’il accueillit et décrit enfin les travaux qui, en 2020, lui permirent de retrouver son éclat.
L’âge d’or
Fin des années 1960. Rock et pattes d’éph, insouciance et soleil sur la peau satinée des femmes. Ce sont les derniers jours de l’âge d’or du Liban, mais personne ne le sait encore. Certainement pas Georgina, jeune chrétienne à la beauté troublante. Ni Roland, son premier amour, qui la guette au bord d’une piscine, dans cette torpeur suave où s’agite leur groupe d’amis noceurs, à l’ombre des conversations d’adultes et des turbines d’avion – grondement de la terreur à venir. Pendant ce temps, Ali Hassan Salameh, fils d’un leader historique palestinien, s’apprête à prendre les armes. Il deviendra l’homme le plus beau et le plus dangereux du Moyen-Orient. En traçant les destinées de Georgina, devenue Miss Univers, idole chérie d’un peuple enfantin, et d’Ali Hassan, chef de guerre musulman recherché de tous et surtout du Mossad, Diane Mazloum signe une fresque vibrante qui nous emporte au cœur des années 70 et de la guerre civile libanaise. Georgina est l’histoire d’un amour, d’une famille, d’un pays, dans la fièvre d’une époque où l’on se déchire entre frères. La tragédie d’un peuple pour qui rien ne sera jamais plus comme avant.
Indu boy
Fille unique élevée sans amour, elle est éduquée en garçon – et en blanc pour se battre contre les Anglais qui se croient propriétaires de l’Inde. Son père est en prison, sa mère, tuberculeuse, hante les sanatoriums européens tout en contaminant sa fille. Celle qui a choisi le surnom d’Indu Boy dans sa première enfance devient, loin de son pays natal, une jeune Occidentale polyglotte. Elle s’appelle Indira Nehru. Avec ses cheveux coupés à la Jeanne d’Arc, la fille de brahmane fait scandale en se mariant à un parsi désargenté, Feroze Gandhi. Il l’aime. Et elle ? Pas du tout. Elle a juste choisi un père pour ses futurs enfants. Sans la force d’Indu Boy, Indira n’aurait pas pu devenir quatre fois Premier ministre de l’Inde, vaincre le Pakistan, aider à la naissance du Bangladesh en guerrière, tenir tête aux présidents américains, combattre les sikhs du Temple d’Or, à Amritsar. Tout lui réussit, sauf la famille. Elle divorce et perd son plus jeune fils. Alors, tout bascule. Celle qui était athée devient une bigote de l’hindouisme, celle qu’on adorait se fait haïr sans le vouloir. Celle que le sexe révulsait vieillit sans amour. Est-ce le remords ? Tout indique qu’Indira Gandhi a contribué à son propre assassinat. Elle meurt foudroyée par ses gardes sikhs en 1984. Un destin dont Catherine Clément a fait une légende.
