- Home
- >
- Biographie/Autobiographie
- >
- Barbara une si belle histoire
Annie, Bernard Réval
Barbara une si belle histoire
Le 24 novembre 1997, à seize heures dix, Barbara s’endormait pour la dernière fois. Trois générations de fervents perdaient ce jour-là une mère, une soeur, une amie, et on a peine à imaginer la force du lien qui unissait la chanteuse à son public.
Vous aimerez aussi
Mozart – L’itinéraire libertin
De Mozart on connaît bien sûr l'enfant prodige, l'adolescent rebelle, le génie foudroyé à trente-cinq ans. Mais il en est un autre, plus proche de nous, qu'Eve Ruggieri accompagne tout au long d'un itinéraire sentimental et libertin où l'on découvre son insatiable soif d'amour et de plaisirs. Des premiers émois de l'adolescence, des palpitations de Chérubin, aux jeux érotiques chez la Cousinette : d'une folle passion abusée aux conquêtes musiciennes transposées de l'alcôve aux scènes d'opéra, il n'est de note chez Mozart qui ne chante les feux du cœur et des sens. C'est à cette délicieuse fête intime que vous êtes conviés.
Johnny et Sylvie
Ce 13 octobre 2007, la France rencontre l'Angleterre pour la Coupe du monde de rugby. Les anciens amants sont de toute évidence heureux de se revoir… et de l'afficher en public en choisissant de se retrouver dans les tribunes VIP du Stade de France, à Saint-Denis. Sylvie et Johnny bras dessus, bras dessous pour encourager les Bleus, voilà une belle complicité qui ne manque pas d'émouvoir leurs nombreux fans également présents. Toutefois, les stars ne sont pas seules. Sylvie est accompagnée de son mari, le producteur américain Tony Scotti. Johnny, lui, est apparu au bras de son épouse Laeticia qui ne dissimule guère son émotion. Les deux couples sont très proches. La première, Sylvie, a félicité Laeticia et Johnny lors de leur mariage en 1996. Laeticia, elle, n'ignore rien de la connivence exemplaire qui unit son idole de mari à la mère de David. Et de toute façon, le divorce des deux stars de la chanson remonte à vingt-sept ans. « Ce fut une très belle histoire de jeunesse, confie Sylvie. C'était viscéral, sensuel, fort et emporté, mais comme toutes les passions, elles se brûlent avec le temps ».
La rage au cœur
Ce qui caractérise le plus Ingrid Betancourt ? Son amour pour la Colombie et sa haine pour tous ceux qui la détruisent. La Rage au cœur se lirait presque comme un roman. Et pour cause : tous les ingrédients sont réunis. Jeune femme de bonne famille, avec des parents engagés dans la politique – son père était ministre de l'Éducation dans les années soixante-dix et sa mère a été élue député libéral dans les années quatre-vingt –, elle suit leur chemin en abandonnant un premier mari pour se donner entièrement à son pays. Son cheval de bataille : la corruption, dans un pays où les narcotrafiquants sont rois et où les politiciens sont pour la plupart achetés. Pleine d'idéaux qui confinent parfois à la naïveté, elle raconte ici toutes ces années de lutte. De ses premiers succès électoraux où elle avait pris pour emblème le préservatif « avec Ingrid, vous êtes bien protégés » aux années noires où elle dut se séparer des ses enfants, cédant à des menaces de mort.
Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.